Les premiers cours d’apprentissage du piano ont débuté, samedi, à l’école de musique abritée par la maison de la culture défunt moudjahid Saïdi-Mohamed de Chlef, dans le cadre de l’ouverture de l’année scolaire musicale, a-t-on appris de responsables du secteur.
Le programme d’enseignement étalé sur trois ans comprend des leçons données à des groupes constitués de 10 à 20 enfants les samedis et mardis par des diplômés de l’Institut national supérieur de musique.
Le service de vente en ligne de billets, lancé par le Théâtre régional d’Oran (TRO) Abdelkader Alloula, a obtenu durant le Ramadhan des «résultats positifs et encourageants», atteignant un taux de ventes en ligne de plus de 60% pour chaque spectacle, a indiqué, à l’APS, le directeur du TRO, Mourad Senouci.
Mardi 31 mars 2020, Samia Allad, une poétesse de Kabylie, enfant des Aït Lhacene, un village perché dans les montagnes de Illoula Oumalou, à une soixantaine de kilomètres au sud-est de Tizi Ouzou, a rendu son dernier souffle à l’hôpital Belloua (Redjaouna), dans la capitale du Djurdjura, après avoir été terrassée, pendant de nombreuses années, par une dure et longue maladie.
La 12e édition du Festival culturel local de l’Inchad s’est clôturée jeudi soir à la maison de culture Moufdi Zakaria de Ouargla, avec la remise des prix aux lauréats, en présence d’un public nombreux.
«Ce sont les âmes des ancêtres qui nous occupent, substituant leur drame éternisé à notre juvénile attente, à notre patience d’orphelins ligotés à leur ombre de plus en plus pâle, cette ombre impossible à boire ou à déraciner, - l’ombre des pères, des juges, des guides que nous suivons à la trace... »
Pendant le mois sacré du Ramadhan, la ville de Sidi Lakhdar, dans la wilaya de Mostaganem, s’illumine au rythme de soirées artistiques vibrantes, offrant aux habitants des instants de détente et de spiritualité après les longues journées de jeûne.
Au fil des siècles, le narratif de l’Histoire des Hommes semée d’alliances et de trahisons, de guerres, puis de réconciliations, de sang, beaucoup de sang et de paix brève dans un éternel retour comme des mers recommencées, s’affirme plus complexe qu’il n’y paraît.
Si la pièce intitulée Errabaâ, lla ! (La quatrième….Non !), écrite, mise en scène et produite par Mohamed Adar (coopérative Boudoud el Intadj) a été présentée en 2014, elle aurait très certainement été vue comme une allégorie de la situation politique vécue en Algérie à ce moment-là, ce qui lui aurait, à tort ou à raison, conféré un peu plus de sens comme l’étaient, dans un tout autre contexte, les pièces adaptées par Abdelkader Alloula (1939-1994) de l’œuvre de l’écrivain turc Aziz Nesin (1915-1995).
Le ministère de la Culture et des Arts a engagé un large processus pour l’inscription de plusieurs sites archéologiques dans différentes wilayas, dont Tébessa, sur la liste indicative du patrimoine mondial en Algérie, a affirmé, jeudi, Salah Amokrane, cadre de ce ministère.
Le Festival a pour vocation de «déceler les nouveaux talents qui porteront la flamme de ce genre musical, en exploitant leur capacité de s’adapter aux divers genres musicaux modernes.
Le film documentaire du réalisateur Ali Fateh Ayadi, Les prisonniers algériens de l’île Sainte-Marguerite, qui met en lumière, une page sombre de l’histoire de la France coloniale et de ses crimes commis contre les Algériens, a été projeté mercredi soir à Alger, dans le cadre des célébrations du 63e anniversaire du «Jour de la victoire» (19 Mars 1962)
Le rideau est tombé sur la 11e édition du Festival de l’Inchad Religieux au Théâtre Régional de Mostaganem, offrant au public une soirée riche en émotions et en spiritualité.
La profusion des séries comiques, de «drama» et de feuilletons est devenue une tradition du mois de Ramadhan «en raison de l’absence de sponsor durant les autres mois de l’année». C’est ce qu’affirme le journaliste et producteur des séries dramatiques, Ameur Bahloul, en plaidant l’intervention de l’Etat, pour que cette production soit possible tout au long de l’année. Dans l’entretien qu’il nous a accordé, il revient sur le «bond qualitatif chez les jeunes comédiens et techniciens», mais aussi sur le cinéma qui ne peut évoluer «sans liberté de création». Il parle aussi du «manque» flagrant de scénaristes sur la scène et sur sa série, Al Ard qui tranche avec les sujets habituels de drogue, mœurs, violence et délinquance.
Pour quelqu’un qui veut devenir célèbre, la prestation assurée lundi au TRO n’est peut-être pas la meilleure manière qui soit pour y arriver.
Dans une salle comble, le public a passé des instants de joie et de détente avec les mélodies profondes et fascinantes de l’artiste.
Comme une angoisse enfouie au fond des tripes, on écrit pour trouver un espace d’amour, de justice, de paix et de sérénité. Ecrire pour renaître à une façon de (re) vivre, en fouillant son passé.
Les ensembles de musique El Ferda et Imerhane ont enchanté, lundi, le public, relativement nombreux, de l’Opéra d’Alger Boualem Bessaïeh, embarqué dans les partitions de deux prestations époustouflantes aux contenus authentiques, rendus dans des formes empreintes de modernité.
La 9e édition du Festival culturel local de l’inchad, à laquelle participent 11 troupes venues de plusieurs wilayas du pays, a été ouverte dans la nuit de dimanche à lundi à la maison de la culture Abdelmadjid Chafaï de Guelma.
Jean-Philippe Ould-Aoudia, président de l’association les Amis de Max Marchand, de Mouloud Feraoun et de leurs compagnons, relevant, d’une part, que l’information selon laquelle, pendant la guerre d’indépendance de l’Algérie (1954-1962)