Pour ceux qui le connaissent, Améziane Ferhani était un passionné des arts et de la culture. En sa qualité de journaliste, il a contribué à l’animation de la vie culturelle depuis le milieu des années 1970, d’abord au journal El Moudjahid, puis à l’hebdomadaire Algérie Actualité.
Le front éditorial a joué un rôle crucial dans la révélation des tortures coloniales durant la guerre de Libération et la dénonciation de la colonisation, a affirmé vendredi à Alger l’éditeur suisse et militant anticolonialiste, Nils Andersson.
L’écrivain Lazhari Labter a, sans doute, raison de souhaiter que le nom d’Anna Gréki, de son vrai nom Colette Anna Grégoire, soit apposé quelque part en Algérie en hommage à cette militante de la cause nationale algérienne.
La nécessité d’écrire l’histoire de la glorieuse Révolution de Novembre 1954 par des plumes algériennes et sa transmission dans des approches méthodologiques adaptées aux jeunes générations a été le thème d’une conférence, animée, vendredi à Alger, par de hauts responsables du ministère des Moudjahidine et des Ayants-droit.
Si l’année dernière Al Moâtassim-Billah Midni était considéré comme le plus jeune auteur de livres pour jeunesse au Salon international du livre d’Alger (SILA), il y revient, cette année, avec sa casquette d’écrivain. Ce jeune lycéen a tout l’étoffe d’un petit génie. Un regard vif et intelligent à la fois se cache derrière ses lunettes.
Depuis dix jours, le SILA bat son plein. Il enregistre au quotidien un nombre impressionnant de visiteurs, venus de toutes les wilayas du pays, et ce, eu égard du mauvais temps qui sévit sur la capitale en début de semaine.
Le Salon international du livre se termine, nous allons devoir ranger nos livres et remiser cette heure de gloire, relative, accordée annuellement à l’activité livresque. Le Salon, manifestation institutionnelle, faut-il le rappeler, fut un grand succès populaire, témoignant d’un engouement certain pour la lecture, sous toutes ses formes, y compris les plus décriées par les puristes, mais aussi des transformations sociales que connaît notre pays.
L’auteur prolifique, plus connu pour ses chansons et ses sketchs comiques qui nous font rire de nos travers, a eu, en fin de semaine écoulée, dans ce qui constitue une première, à se mettre en face du public.
Le deuxième Salon des Games & Comic Con Dzaïr (GCCDZ), dédié aux passionnés de comics, mangas, gaming, cinéma et cosplay, s’est ouvert jeudi au Palais de la culture Moufdi-Zakaria, à Alger.
En marge du salon international du livre d’Alger, le thème du patrimoine algérien à l’UNESCO, a fait l’objet d’une rencontre, mardi dernier, au niveau du pavillon Panaf.
La grande salle de conférences de la maison de la culture Dr Ahmed Aroua de Koléa était pleine à craquer lors de la clôture de la 13e édition de Koléandalouse.
l De passage à Alger, nous avons eu le bonheur de renouer avec une salle de théâtre après près de deux années sans humer l’air de l’une d’elles. Cela a coïncidé avec la deuxième représentation de Aqd el jawhar de M’hamed Benguettaf, une reprise décidée à la faveur de la célébration du 70e anniversaire du déclenchement de la lutte de Libération nationale.
Une conférence sur l’industrie du livre, la dynamique entrepreneuriale et les besoins culturels de la communauté algérienne établie à l’étranger, a été animée, mardi à Alger, par des académiciens-universitaires et des éditeurs, qui ont dressé un état des lieux sur la situation du livre en Algérie.
Son roman Orbital s’est vu récompensé mardi par le prestigieux prix littéraire britannique.
Les auteurs et critiques littéraires algériens ont été surpris par l’engouement des jeunes pour les genres de littérature considérés comme mineurs. Deux camps, aux positions tranchées, s’étaient formés : rejet franc d’un côté et accueil enthousiaste de l’autre.
L’expérience de l’écrivain, poète et sociologue algérien dans l’écriture et les mythes fondateur a été au centre d’une conférence, lundi dernier, au niveau de l’espace Panef du Salon international du livre d’Alger.
La toute nouvelle maison d’édition privée Pro-Cible vient d’éditer, à l’occasion du 27e Salon international du livre d’Alger, un roman intitulé «Eruptions», signé par l’auteur Zahir Battache.
C’est un témoignage édifiant venu du XXe siècle. L’actualité immédiate du génocide en cours à Ghaza fait écho aux humiliations anciennes subies par le peuple palestinien sur sa terre.
l Le journaliste et écrivain algérien, Salah Badis, et l’écrivain suisse et tchadien, Noël Nétonon Ndjékéry, ont mis en avant, dimanche, lors d’une conférence organisée dans le cadre de la 27e édition du Salon international du livre d’Alger (SILA), la question des langues.
Le stand de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) à la 27e édition du Salon international du livre d’Alger (SILA) au Palais des expositions des Pins maritimes, à Alger, connaît une grande affluence du public venu découvrir un large éventail d’ouvrages d’auteurs sahraouis.