Le monde de la tech et celui de l’automobile semblent voués à se rapprocher. Pourtant, alors que Xiaomi paraît avoir réussi son entrée dans le secteur des voitures électriques, Apple a quant à lui renoncé à son ambitieux projet automobile. Comment expliquer cette différence de destin entre ces deux géants de la tech ?
Le paysage automobile en Algérie compte actuellement quelques marques de voiture qui attendent le feu vert des autorités pour alimenter le marché. Parmi ces marques, il y a le chinoise GAC (Guanzhu Automobile Company) qui vient de faire son entrée sur le marché algérien.
Dans un contexte marqué par la relance du secteur à travers l’industrie automobile, la marque JAC annonce que son usine est fin prête. Selon le directeur commercial de la marque, Idir Amari, les travaux de construction de l’usine sont achevés à 100%.
Annoncé en 2023, le Fiat Topolino est un quadricycle urbain léger qui reprend les caractéristiques de sa cousine, la Citroën Ami, donc sans permis et accessible dès l’âge de 14 ans.
Volkswagen annonce une nouvelle vague de quatre véhicules électriques d’ici 2027 reposant sur une nouvelle plateforme modulaire MEBrevo à moteur avant, avec tout d’abord une ID.2 dès l’an prochain, concurrente de la Renault 5 notamment, puis un modèle moins long de 3,88 m au lieu de 4,05 m, qui viendra logiquement concurrencer la Hyundai Inster, la Citroën ë-C3 et bien entendu la future Twingo 100% électrique très inspirée par la toute première génération.
Une nouvelle étape vient d’être franchie dans le secteur automobile en Algérie. Le projet d’implantation d’une usine du constructeur automobile coréen Hyundai se dessine.
Au regard des évolutions enregistrées ces dernières semaines, notamment grâce aux partenariats et joint-ventures scellés, l’industrie automobile du pays se réveille dans un contexte de défis et d’enjeux multiples en Algérie et à l’international.
Volvo lève le voile sur sa nouvelle grande berline ES90, uniquement proposée en électrique, comme les SUV EX30 et EX90. Concurrente des Audi A6 e-tron, BMW i5 et Mercedes EQE, la voiture s’affiche comme un fleuron technologique revendiqué.
Située dans la zone industrielle de Larbaâ, Toudja, dans la wilaya de Béjaïa, l’usine de VMS Industrie prévoit de produire jusqu’à 70 000 unités d’ici fin 2025.
Après une série de problèmes de conception, le moteur essence 1.2 PureTech, qui équipe bon nombre de véhicules du groupe Stellantis, connaît encore un souci technique.
Stellantis El Djazair et la direction de la formation et de l’enseignement professionnels de la wilaya d’Alger (DFEP/WA) annoncent la signature d’une convention cadre visant à développer de nouvelles spécialités dans le secteur automobile en Algérie.
Il y a quelques décennies, lorsque l’on imaginait les années 2000, on visualisait des voitures volantes. En 2025, cela pourrait enfin être chose faite.
L’importation de véhicules de moins de trois ans continue d’alimenter les débats. Dans une réponse écrite adressée au député de l’Assemblée populaire nationale (APN), Ben Ali Tahar, le ministre des Finances, Abdelkrim Bouzred, a indiqué qu’aucune décision de gel de l’importation des véhicules de moins de trois ans n’avait été prise.
La direction générale des impôts ( DGI) a lancé hier «une plateforme numérique dénommé (Quassimatouka), dédiée à l’acquisition en ligne de la vignette automobile, en utilisant la carte interbancaire (CIB) ou Edahabia. C’est ce qu’indique un communiqué de la DGI.
La filière de l’industrie automobile du pays est en passe de franchir une nouvelle étape. L’entreprise publique EPE Anabib SPA, filiale de la Société nationale de sidérurgie (SNS), a signé, ce lundi, un accord préliminaire avec la société chinoise SARL Auto Lumière, spécialisée dans la fabrication de pièces de rechange automobiles.
Le ministre de l’Industrie, Sifi Ghrieb, a procédé ce samedi à l’installation de deux commissions chargées du suivi et de l’encadrement de l'activité de fabrication de pièces de rechange automobiles, indique un communiqué du ministère.
Prête à l’exploitation depuis 2024, l’usine Renault Algérie Production (RAP) n’a toujours pas obtenu son agrément. Une année durant laquelle la division algérienne de la marque au losange tablait sur un volume de production important devant répondre à une partie de la demande du marché.
Après des années de «disette» dans le secteur automobile, une nouvelle dynamique s’installe, annonçant des projets d’avenir stratégiques et de grande envergure. L’Algérie jette non seulement les bases d’une industrie automobile, mais œuvre parallèlement pour la création de tout un écosystème qui est appelé à accompagner le secteur.
Le ministre de l’Industrie, Sifi Ghrieb, annonce le lancement d’un réseau national de pièces de rechange automobiles, composé de tous les producteurs locaux de ces pièces, avec pour objectif de développer cette industrie et d’accompagner l’industrie automobile en Algérie à travers l’augmentation du taux d’intégration national, indique un communiqué du ministère.
Le géant allemand de l’automobile Volkswagen se profile à l’horizon.