Chef de service des maladies infectieuses à l’hôpital de Tamanrasset et spécialiste des maladies tropicales, le Dr Elias Akhamouk affirme que la tuberculose «est, certes, contagieuse, mais elle se traite facilement».
Après quatre renvois, le procès de la secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT) s’est ouvert jeudi dernier devant le tribunal de Sidi M’hamed à Alger. L’affaire, qui remonte à 2015, concerne une plainte déposée contre Mme Hanoune, alors députée, par l’ancienne ministre de la Culture, Nadia Labidi, pour «diffamation» à la suite de ses déclarations sur «des marchés que la ministre a accordés à la société dont elle était actionnaire et d’autres faits liés à sa gestion».
Confirmation de la peine de 12 ans de prison infligée à Saïd Bouteflika, Ali Haddad et Ahmed Mazouz, de celle de 15 ans contre Mahieddine Tahkout et de 10 ans contre les frères Kouninef (Réda, Tarek et Karim).
Le sort des 72 prévenus jugés dans le cadre de l'affaire dite des SMS, au centre de laquelle se trouve Saïd Bouteflika, frère conseiller du défunt Président déchu, sera connu aujourd'hui.
La défense des prévenus poursuivis dans le cadre du procès de l’affaire dite des SMS a, dans sa majorité, déconstruit les accusations, alors que celle de Saïd Bouteflika a présenté un chapelet de ce qu’elle a estimé être de «graves violations de la procédure» dans ce dossier.
La défense de Saïd Bouteflika a dénoncé des irrégularités dans l'instruction.
Le procès de l’affaire dite des SMS échangés entre Saïd Bouteflika et des hommes d’affaires a repris hier matin devant la chambre pénale près la cour d’Alger. Ce deuxième jour a été marqué par l’audition de nombreux prévenus. D’abord, Djallal Djouadi, neveu de Mahieddine Tahkout, accusé d’avoir fait sortir 69 voitures du parc de Cima Motors, alors que celle-ci était sous administrateur judiciaire. Il nie les faits et déclare : «Ils m’ont accusé sans aucune preuve.
En fin de journée et après la demande de l’AJT (Agent judiciaire du Trésor) à tous les prévenus condamnés du paiement solidaire de 500 milliards de dinars, en dédommagement du préjudice subi, le représentant du ministère public et en moins de 20 minutes a résumé les faits de cette affaire.
Le procès en appel de l’affaire dite des SMS échangés entre Saïd Bouteflika, frère et conseiller du défunt Président, et des hommes d’affaires a repris hier à la chambre pénale près la cour d’Alger, avec l’audition des nombreux prévenus.
Six mois après cassation par la Cour suprême du verdict de la chambre criminelle près la cour d’Alger, le procès du général-major à la retraite Ali Ghediri a été enfin fixé au 16 mai prochain.
Le procès en appel de l’affaire dite des SMS a repris hier avec les plaidoiries de la défense relatives aux vices de forme. Bon nombre d’entre eux ont fait état devant la présidente de la chambre pénale près la cour d’Alger, de «violations» de la procédure.
En dépit de son insistance et d’une longue bataille, le collectif des avocats constitué dans l’affaire dite des SMS, dans laquelle est poursuivi Saïd Bouteflika et de nombreux hommes d’affaires, n’a pas pu arracher auprès de la présidente de la chambre pénale près la cour d’Alger, le report (le quatrième) du procès.
La chambre pénale près la cour d’Alger a statué, hier, sur le sort des 37 prévenus poursuivis en appel dans l’affaire Sonatrach, après sa mise en délibéré mardi dernier en fin de journée.
Baisser de rideau, tard dans la journée de mardi dernier, sur les débats du procès en appel de Sonatrach devant la chambre pénale près la cour d’Alger et le sort des 37 prévenus, dont quatre sociétés pétrolières internationales, l’italienne Saipem, le canadien SLC-Lavalin, le britannique Petrofac INC et le japonais JGC, sera tranché dimanche prochain.
Le procès en appel de Sonatrach a repris hier à la cour d’Alger avec le réquisitoire et les plaidoiries des parties civiles mais aussi de la défense. Lors de son réquisitoire, le représentant du ministère public n’y a pas été par le dos de la cuillère.
Renvoyé devant la chambre pénale près la cour d’Alger, le procès de l’affaire Sonatrach, qui regroupe plusieurs contrats impliquant BRC, SLC-Lavalin, Saipem, Petrofac, JGC et une trentaine de prévenus parmi eux trois anciens ministres, trois anciens PDG de Sonatrach et un PDG de Sonelgaz, s’est poursuivi hier avec l’audition des prévenus.
Jusqu’en fin de journée, le procès de Sonatrach n’était toujours pas ouvert. Ne voyant pas finir l’examen d’une autre affaire prévue le même jour, la présidente a décidé de faire l’appel des prévenus et de leur demander de revenir aujourd’hui avant de les libérer.
Moins chers, faciles à transporter et à cacher, les psychotropes sont devenus un véritable danger pour les jeunes de plus en plus nombreux à avaler ces «tueurs à petit feu».
Commissaire divisionnaire et chef de service de recherche et d’analyse criminelle au niveau de la Direction de la police judiciaire, Faouzi Moualek, évoque des saisies massives de psychotropes, durant les trois dernières années, principalement, la Prégabaline, plus connue sous le nom «saroukh» (la fusée). Dans cet entretien, il apporte un éclairage en revenant sur son introduction illicite à travers la Libye et sa consommation de plus en plus importante en raison de sa disponibilité, son prix et sa facilité de dissipation.
Pour la première fois, un ministre de l’après-2019 se retrouve au centre d’une affaire de corruption, qui lui a valu la mise en détention. Il s’agit de Nassim Diafat, ex-ministre délégué chargé de la Micro-entreprise, qui avait rejoint le gouvernement de Abdelaziz Djerad le 2 janvier 2020 avant de le quitter le 8 septembre 2022, sous Aïmene Benabderrahmane.