Pas moins de 32 projets de loi seront au programme de la quatrième session parlementaire pour l’exercice 2024-2025, qui s’est ouverte hier. Le bureau de l’Assemblée devait se réunir pour arrêter le programme des prochaines plénières et les projets inscrits à l’ordre du jour, apprend-on auprès d’une source parlementaire.
Les présidents des deux Chambres du Parlement, Assemblée populaire nationale (APN) et Conseil de la nation, ont prononcé hier de longs discours à l’occasion de l’ouverture de la quatrième session ordinaire de la neuvième législature 2024-2025, et ce, en présence du Premier ministre et son staff gouvernemental.
C’est la rentrée pour les parlementaires. Le coup d’envoi de cette quatrième session ordinaire parlementaire 2024-2025 de la neuvième législature est prévu demain.
Le premier secrétaire du Front des forces socialistes (FFS), Youcef Aouchiche, s’est dit satisfait des résultats obtenus par son parti à l’élection présidentielle anticipée du 7 septembre. «Il est vrai que nous n’avons pas gagné l'élection présidentielle, mais nous n’avons pas perdu non plus. Nous avons réussi à renforcer l’ancrage du parti, à élargir sa base militante à l’échelle nationale et à le placer comme première force politique de l’opposition», a-t-il soutenu hier lors d’une conférence de presse animée au siège du FFS à Alger.
Dans son discours d’investiture, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a annoncé l’organisation d’un dialogue national avec l’ensemble des forces vives du pays, et ce, pour construire une véritable démocratie.
Depuis le début de l’année, la page «Féminicides Algérie» a recensé une série de féminicides témoignant d’une violence insistante à l’égard des femmes dans le pays. 34 femmes ont été assassinées et ces agressions ont été perpétrées par un membre de leur famille ou un proche du cercle familial.
La Cour constitutionnelle a indiqué que le nombre de suffrages exprimés lors du scrutin présidentiel anticipé du 7 septembre 2024 est de 11 226 065 sur un corps électoral de 24 351 551 électeurs.
La réunion présidée par le Premier ministre, Nadir Larbaoui, a été axée sur la prise en charge immédiate des familles impactées, l’indemnisation des pertes et la restauration et la réhabilitation du réseau routier et des services publics endommagés.
Le premier secrétaire du Front des forces socialistes (FFS) et candidat malheureux à l’élection présidentielle de ce 7 septembre, Youcef Aouchiche, ne se faisait pas d’illusion quant à l’issue de ce scrutin et encore moins aux conditions de l’organisation d’une élection libre et transparente.
Indignation, révolte, incompréhension… Youcef Aouchiche, candidat du Front des forces socialistes (FFS), n’a pas lésiné sur les qualificatifs pour exprimer sa «colère» contre les résultats de l’élection présidentielle annoncés, dimanche en fin d’après-midi, par Mohamed Charfi, président de l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE).
Le président de l’ANIE, Mohamed Charfi, a tenu à préciser hier que globalement aucun incident grave n’a été signalé lors de la campagne électorale, tout comme durant l’élection. «Cette élection s’est déroulée dans de bonnes conditions, dans le calme, l’honnêteté, la transparence et le sérieux», s’est-il félicité.
Il est 11h. Youcef Aouchiche, candidat du Front des forces socialistes (FFS) à l’élection présidentielle, arrive en compagnie de sa femme et son fils à l’école Mohamed Said Meziane, sise au village Aït Hakoun, dans la commune de Assi Youcef, à Boghni, wilaya de Tizi Ouzou, pour accomplir son devoir de vote.
Les trois candidats en lice pour la présidentielle du 7 septembre ont tous eu, durant les 21 jours de campagne électorale, une même position en matière de politique étrangère.
Youcef Aouchiche, candidat du Front des forces socialistes (FFS) à la présidentielle du 7 septembre a, une fois de plus, choisi Bab El Oued pour clôturer sa campagne électorale lancée le 15 août à partir de ce quartier populaire. Il est revenu sur ce lieu emblématique pour animer son dernier meeting, à la mythique salle Atlas.
Youcef Aouchiche promet que s’il est porté à la magistrature suprême, il changera «le système de gouvernance» et lancera «des réformes politiques et institutionnelles profondes» dans l’objectif «d’instaurer la démocratie» et de «consolider la séparation des pouvoirs».
Le candidat du Front des forces socialistes (FFS) à l’élection présidentielle du 7 septembre, Youcef Aouchiche, a appelé hier à partir de la wilaya de Bouira à un sursaut populaire le jour «J» pour qu’il y ait un vote massif en faveur de son projet.
Youcef Aouchiche, candidat du Front des forces socialistes (FFS) à l’élection présidentielle du 7 septembre, poursuit son périple électoral. Lors des 15e et 16e jours de la campagne électorale, le premier secrétaire du FFS a choisi la capitale des Aurès pour sensibiliser les populations chaouies à voter pour le candidat du changement et donc pour son programme qui propose une batterie de mesures «visant à rendre l’espoir aux Algériens».
Le candidat du FFS a rappelé que son parti prêche un «débat constructif» et mène une «campagne différente», «modeste» mais «propre et respectueuse de l’éthique politique».
Youcef Aouchiche, candidat du Front des forces socialistes (FFS) à la présidentielle du 7 septembre, s’engage, à partir de la wilaya de Ouargla, à réhabiliter la politique sociale et à assurer une répartition équitable des richesses afin de corriger les inégalités entre les régions.
Le candidat du FFS est parti à Ghardaïa et ira à El Oued, Ouargla et Tamanrasset afin d’exposer aux populations du Sud «un plan d’urgence pour diminuer les disparités sociales».