Dans cet entretien accordé à El Watan en marge du congrès qui se tient à Oran, le Dr Mohamed Yousfi, président de la Société algérienne d’infectiologie, préfère rester prudent quant à la fin de la pandémie de Covid-19. «La pandémie n’est pas finie», a-t-il alerté tout en appelant à tirer les leçons de la dure épreuve liée à la Covid-19.
Une analyse de l’impact de la pandémie de Covid-19 réalisée par le Centre de recherche en économie appliquée pour le développement (Cread), à la demande du ministère de la Santé, révèle que la population algérienne cible a manifesté sa réticence à la vaccination anti-Covid-19 à cause des effets secondaires et le manque d’information sur la provenance des vaccins.
Ils étaient plusieurs centaines de médecins spécialistes en orthopédie et traumatologie dont plusieurs professeurs tunisiens à assister, hier, à l’ouverture des Journées inter-congrès de la Société algérienne de chirurgie orthopédique et traumatologique «SACOT» à Annaba.
Soins de support pour assurer une meilleure qualité de vie des patients cancéreux» est le thème de la quatrième journée scientifique, à laquelle ont pris part de nombreux paramédicaux, organisée hier par l’Association des infirmiers en cancérologie (AIC) du Centre Pierre et Marie Curie (CPMC).
Depuis le déclenchement de la pandémie de Covid en Algérie, le marché des compléments alimentaires a connu un véritable boom, alors que l’activité elle-même échappe à toute forme de contrôle à cause d’un vide réglementaire.
Je travaille dans un laboratoire spécialisé dans tout ce qui est plantes et santé. Mon intervention était axée sur la problématique des plantes intégrées dans un complément alimentaire, et qui constituent une préoccupation mondiale, vu qu’elles sont assez difficiles à appréhender.
Le comité de pilotage et de suivi du Plan national cancer 2015- 2019, à sa tête le coordonnateur, le Pr Messaoud Zitouni, formule de nouvelles propositions pour la mise en œuvre du Plan national cancer pour lutter contre ce fléau dont l’incidence dépasse les 50 000 nouveaux cas par an. Un rapport sera remis au président de la République dans les prochaines semaines.
L’Agence nationale des produits pharmaceutiques (ANPP) a réceptionné, au courant de l'année dernière, 215 demandes d’homologation de dispositifs médicaux fabriqués localement, a indiqué hier le directeur de l'homologation au niveau de l’agence, Nabil Gheraieb.
Le directeur de l’Institut Pasteur d’Algérie, le Dr Fawzi Derrar, a déclaré hier que le virus Sars CoV-2 est toujours en circulation et la pandémie n’est pas finie, lors de la journée organisée, par l’IPA, sur l’importance de la vaccination, dans le cadre de la semaine mondiale de la vaccination, et pour sensibiliser les journalistes de la presse nationale sur l’importance de la vaccination.
Alors que le continent connaît une baisse continue des cas Covid, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) vient de lancer un pavé dans la mare concernant les véritables statistiques de la pandémie en Afrique.
La pandémie de Covid-19 continue de reculer sensiblement en Algérie. Depuis quelques semaines, le bilan quotidien du ministère de la Santé fait part d’une grande décrue enregistrée dans le nombre des nouveaux cas et des décès.
Les chiffres sont stabilisés depuis plusieurs mois à un taux inférieur à dix cas par jour, selon les données livrées par le ministère de la Santé. Effectivement, il y a eu même quelques jours de «zéro cas».
Les services de vaccination anti-Covid génèrent des déchets médicaux qu’il faut gérer d’une manière appropriée.Dans cette perspective, l’Unicef Algérie a pris en charge cette problématique, notamment dans les camps de réfugiés sahraouis.
Le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, a plaidé, avant-hier à Alger, en faveur du développement de la prise en charge de proximité de la santé mentale au niveau des établissements publics de santé, a rapporté l’agence APS.
Les cris de détresse des associations et des parents d’enfants atteints d’une maladie génétique grave, à savoir la phénylcétonurie qui est la plus fréquente des maladies rares en Algérie, ont enfin trouvé écho.
Suit aux instructions du président de la République portant sur l’enquête sur les causes de la pénurie de médicaments, les associations membres de l’Alliance nationale de lutte contre le cancer, à travers tout le territoire national, se félicite de cette décision.
Depuis la création de la faculté de pharmacie à l’université d’Alger, un éventail de partenariats a été signé, depuis le début de l’année en cours, avec les laboratoires pharmaceutiques dans le but d’encourager la recherche scientifique pour le développement de l’industrie pharmaceutique en Algérie.
Sommes-nous au bout de la pandémie liée à la Covid-19 ? Peut-on désormais se permettre de retirer les masques ? Que nous réserve l’avenir ?
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a déclaré samedi soir qu’une enquête sur les raisons des ruptures de stock de certains médicaments dans les hôpitaux est en cours, lors d’une entrevue avec des représentants de la presse nationale, diffusée sur les chaînes de la Télévision et de la Radio nationales.
Un malade testé positif à la Covid-19 l’est resté pendant 16 mois jusqu’à sa mort, le plus long cas d’infection connu, selon une étude consacrée à l’évolution du virus chez les patients immunodéprimés.