Il est difficile de se frayer un chemin dans les allées du marché Boumezzou, situé à la place du 1er Novembre, en plein centre-ville de Constantine.
Jeudi 6 avril, vers 16h30, un accident spectaculaire s’est produit sur le boulevard de la Soummam, à proximité de la cité Les Mimosas, en allant vers la cité Boussouf à Constantine, quand un bus de transport du personnel d’un laboratoire pharmaceutique est entré en collision avec un véhicule de marque Peugeot 307.
Le problème de réalisation d’un cimetière pour la nouvelle ville Ali Mendjeli, dans la daïra d’El Khroub, sera-t-il enfin réglé ? C’est la question que la population de cette mégacité se pose toujours, au moment où les autorités tentent de trouver des solutions en raison de l’indisponibilité d’assiettes de terrain, alors qu’il fallait penser à un lieu pour enterrer les morts, il y a plus de vingt ans, quand ce pôle urbain avait pris naissance dans l’urgence et la précipitation pour reloger les habitants des bidonvilles et des sites menacés par les glissements.
On ne peut guère décrire l’état dans lequel se trouve actuellement la place du 1er Novembre (ex-place de la Brèche) située en plein centre-ville de Constantine. Un centre-ville qui ne ressemble à aucun autre lieu dans les grandes villes en Algérie.
Les habitants de nouveaux pôles urbains de Massinissa et Aïn Nehas, dans la commune d’El Khroub, dont ceux ayant bénéficié de logements de type AADL, et ceux qui se sont vu attribuer des logements sociaux, éprouvent les pires difficultés pour rejoindre les villes de Constantine, El Khroub et Ali Mendjeli.
Cela fait quatre ans que les habitants de la cité des 100 Logements promotionnels LSP Boubliaâ à l’UV17 d’Ali Mendjeli ne cessent d’exprimer leurs inquiétudes au sujet de ce qui se passe quotidiennement sous leurs yeux dans les locaux situés en bas des immeubles.
Depuis la fermeture de la rue Tatache Belkacem, reliant le pont de Bab El Kantara au pont Sidi M’cid et le CHU de Constantine, la circulation automobile est devenue très intense sur le pont Sidi Rached.
Le mois de ramadhan a toujours été la période idéale attendue par les adeptes du gain facile et rapide pour multiplier leurs pratiques frauduleuses, même si cela se fait aux dépens de la santé des consommateurs.
Il y avait une grande animation, jeudi, premier jour du Ramadhan au siège de l’UGTA Abdelhak Behamouda, situé à la rue Amar Chitour, qui abrite chaque année un marché de la solidarité durant le mois de ramadan.
Le ramadan a mal commencé pour une bonne partie de la population de la ville de Didouche Mourad, située à 15 km au nord de Constantine.
A la rue Abderrahmene Bouderbala (ex-rue Petit), les scènes des files d’attente devant la station des taxis en direction de la cité Boussouf (Constantine) sont devenues une partie du quotidien dans cette partie de la ville.
Après plusieurs jours durant lesquels plus de 120 vendeurs informels ont imposé leur loi, en squattant la voie publique sur les rues Didouche Mourad et 19 juin 1965, les services de la sûreté de wilaya ont décidé de sévir pour «nettoyer» les lieux.
Un nouveau drame est survenu, hier, sur les côtes de la wilaya de Skikda, après une tentative d’émigration clandestine qui a échoué en raison du mauvais temps, emportant des vies humaines. L’incident, qui a fait le tour des réseaux sociaux dès la matinée d’hier, a aussi provoqué les inquiétudes des familles des harraga, sans nouvelles de leurs proches, qui ont tenté un départ vers l’inconnu.
Il y a quelques jours, des équipes de travailleurs des entreprises communales de Constantine s’affairaient à terminer les dernières opérations de peinture des murs et le chaulage des arbres sur les bordures de la route de la Corniche reliant le quartier de Bab El Kantara (Constantine) à la localité de Bekira, dépendant de la commune de Hamma Bouziane, sur une distance de 8 km.
Contrairement à l’année passée, la forte demande sur la semoule à Constantine a commencé déjà dès le mois de février dernier, soit plus d’un mois avant le Ramadhan.
Il y a des faits qui ont marqué l’histoire de la ville de Constantine et la mémoire collective de ses habitants, mais qui demeurent méconnus à ce jour. Parmi ces évènements, celui de l’incendie de la rue Larbi Ben M’hidi, survenu le 12 août 1984, et qui a coûté la vie à cinq braves hommes de la Protection civile, mérite bien d’être rappelé et porté par devoir de mémoire à la connaissance de la jeune génération. Un rappel aussi contre l’amnésie qui continue de frapper tout ce qui touche la mémoire de la ville.
Le 16 août 2013 à l’aube, Ahmed Boussaïd, notre ami et collègue au bureau d’El Watan à Constantine nous avait quittés. Il était décédé suite à une crise cardiaque à l’âge de 66 ans, alors qu’il se trouvait en vacances avec sa famille à Sousse, en Tunisie. La nouvelle de sa disparition était tombée tel un couperet parmi tous ses amis et collègues de la presse. Neuf ans déjà sont passés et le souvenir du défunt demeure encore vivace.
La décision de mise à la retraite avant le 1er septembre prochain des professeurs et enseignants des universités, dont l’âge est supérieur ou égal à 70 ans, continue de susciter des débats.
La saison agricole 2021-2022 restera parmi les plus mauvaises pour les céréaliculteurs des communes de Hamma Bouziane, Messaoud Boudjeriou, Ibn Ziad, Ain S’mara, Ouled Rahmoune et une partie de Beni Hmidène, Zighoud Youcef et El Khroub.
Artiste-peintre autodidacte, passionnée de littérature, de lectures philosophiques, de musique et de sculpture, Aya Bennacer a créé l’événement pour sa première apparition publique.