En regardant en arrière, en regardant ma vie passée, j’ai l’impression que ma vie a été assez unifiée, à partir de mon petit village natal, que je prenais pour le nombril du monde. J’ai été jeté, par les circonstances, de plus en plus loin, au-delà des frontières de mon pays, de mes communautés naturelles, ethniques, culturelles et religieuses.
Au début de l’année 1954, Badji Mokhtar avait participé à la création du Comité révolutionnaire d’unité et d’action (CRUA), avec Mostefa Benboulaïd.
Malgré un léger retard que les entreprises engagées dans les chantiers activent pour rattraper, les travaux de réalisation de la station de dessalement de Koudiet Edrraouche, dans la commune de Berrihane, 40 km au sud-ouest du chef-lieu de la wilaya d’El Tarf, avancent à un rythme soutenu dans le but de réceptionner cette infrastructure névralgique dans les délais fixés, soit avant la fin du mois de décembre prochain.
L’événement dans le village de Tadchiret de la commune de Tefreg, située à 35 km au nord de Bordj Bou Arréridj est sans doute la restauration de la mosquée Sidi Abdallah Ben Djaafar El Yaadali.
La wilaya de Jijel a commémoré, cette semaine, le 64e anniversaire de la mort du martyr commandant Hocine Rouibah et ses neuf compagnons dans la région d’Aïn Lebna, dépendant de la commune d’Erraguene Souissi, située à l’extrême sud-ouest de la wilaya de Jijel.
Une chaussée décapée, puis abandonnée depuis des semaines ne cesse d’alimenter les discussions au boulevard Mohamed Khennaoui de la cité Djebel Ouahch, dans la banlieue nord de la ville de Constantine.
Jeudi 10 novembre 1955 à 18h30, les sirènes de la prison du Coudiat avaient été déclenchées et leurs bruits avaient retenti dans tout le centre-ville de Constantine. L’établissement, dont la construction remonte à 1850, se trouve à quelques dizaines de mètres de la place de la Pyramide.
Les habitants de cette partie de la ville attendent toujours leur raccordement au réseau de transfert des eaux à partir du barrage de Béni Haroun depuis la méga station de Djebel Ouahch.
La présence des cadres du ministère l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville lors des cérémonies de remise des clés traduit l’intérêt accordé par l’Etat à ces projets dans les différentes formules.
Dans un article publié dans le journal Echihab du 13 juillet 1934, il est noté que sur la liste des 149 élèves de cheikh Abdelhamid Benbadis à Djamaâ Lakhdar de Constantine dans les années 1930, 10 d’entre eux sont issus de la région de Ghassira dans les Aures.
l En plus des perturbations dans la disponibilité de l’aliment pour les animaux, les éleveurs évoquent les difficultés rencontrées pour commercialiser leur produit et se procurer des lapins de race.
Des besoins importants en matière de projets de développement ne cessent d’être exprimés par les populations des communes de la wilaya de Skikda, notamment celles se trouvant dans des zones éloignées.
Dans la nuit du 21 au 22 mars 1956, Mostefa Ben Boulaïd, chef historique de la Zone I des Aurès Nememchas, était allongé dans son refuge de la région de Nara (dans l’actuelle commune de Menaâ, à 77 km de Batna), en train d’examiner le poste radio largué dans un colis en parachute par un avion français, quelques jours auparavant.
Lundi 21 octobre 2024 à 10h. Nous quittons la ville de Batna par une journée ensoleillée en direction de la commune d’Ichemoul, située à 52 km au sud-est. «Vous voyez le rond-point là-bas, vous tournez à gauche, puis vous prenez la route de la montagne», nous indique un policier posté dans un barrage dressé à l’entrée de Batna. Nous nous engageons sur la RN3 en double voie, par une pente raide, mais rapide, avant de nous retrouver sur une vaste plaine menant vers Tazoult.
Il y a une dizaine de jours, des travaux ont été menés à une cadence «élevée» pour achever le bitumage et l’aménagement du tronçon routier situé entre la salle omnisports de la Cité de la gare et le rond-point du marché couvert menant vers l’entrée de l’agglomération de Oued El Hdjar dans la commune de Didouche Mourad.
Ce phénomène est devenu fréquent dans cette partie de la ville où, juste à côté, l’école primaire Mohamed El Ghassiri en a subi les effets, ce qui a contraint la direction de l’éducation à décider sa fermeture.
Il est vraiment curieux et désolant à la fois de constater que des sommes importantes ont été dépensées pour installer un réseau d’éclairage public sur une route nationale, qui s’est avéré défaillant et non opérationnel.
Il y a 70 ans, presque jour pour jour, des hommes valeureux, nationalistes et désintéressés avaient décidé de passer à l’action en déclenchant une insurrection qui va changer le cours de l’histoire en Algérie et libérer le peuple après 132 ans de colonialisme.
Le trafic des traitements destinés aux diabétiques a pris de l’ampleur ces derniers temps à l’échelle nationale, en raison de la forte demande sur ces produits, qui font défaut durant certaines périodes de l’année dans les pharmacies, ce qui a conduit à la naissance de véritables réseaux organisés qui se sont spécialisés dans ce créneau juteux, profitant de la situation de détresse des malades.
Dans l’obscurité presque totale, un faisceau de lumière éclaire légèrement deux stèles. Un zoom laisse apparaître un croissant et une étoile. C’est la tombe d’un musulman. D’un ton faible et à peine compréhensible, la voix off d’un vieil homme raconte un drame, le décès d’un Algérien sur le chemin de fer.