Nous sommes intéressés par les différents produits algériens, comme le ciment, le clinker et le verre. Nous cherchons aussi des produits pharmaceutiques et agricoles ainsi que de l’ammoniac», a déclaré Vusumuzi Ntonga, ambassadeur du Zimbabwe en Algérie, au sortir d’une rencontre B2B au Batimex, un Salon organisé par l’agence Eleven Events.
-Vous avez évoqué le manque d’artisans en Algérie. Comment améliorer la construction dans le pays ? Il ne s’agit pas d’être résigné. Si je suis architecte, c’est que je pense qu’on peut construire un monde meilleur. C’est mon principe. En revanche, il ne faut pas le faire en dépit et au-delà de ce qui existait. Aujourd’hui, malheureusement, nous avons perdu le tissu artisanal pour faire de l’habitat individuel, mais nous avons un tissu industriel ou semi-industriel sur lequel il faut s’appuyer. Il est plus compliqué de construire des petites maisons que des ensembles d’unités. Il y a donc deux stratégies. La première est de s’appuyer sur ce qui existe et qui fonctionne. Il s’agit d’introduire un volant qualitatif, d’abord tester avant de passer à la quantité.
Le 3e Salon international du bâtiment et de l’aménagement (Batimex) se déroule du 24 au 27 janvier, à l’hôtel Sheraton, à Annaba.
Nadir Filali, directeur de l’agence Eleven Events, est organisateur du Salon international du bâtiment et de l’aménagement (Batimex). Il revient sur cette manifestation, l’une des plus importantes en matière de construction et de bâtiment en Algérie.
Le jeudi 18 janvier 2024 à midi, tous les billets ont été vendus. Je lève mon chapeau pour l’artiste algérien qui a voulu que ce spectacle soit unique en son genre. Je salue aussi l’immense travail de promotion fait par la presse nationale pour cet événement. Nous avons pu réunir 150 artistes sur scène, soutenus par des sponsors qui ont bien cru au projet, et par le ministère de la Culture et des Arts», a déclaré Abdelkader Bouazzara, directeur de l’Opéra d’Alger et organisateur du gala.
Le troisième Festival international du monodrame féminin aura lieu à El Oued du 27 au 30 janvier. Cette édition est dédiée à la Palestine et à la comédienne Fatima Hlilou.
La soirée de clôture de la première édition de «Mawahub», un programme d’incubation dédié aux industries culturelles et créatives (ICC) et au Web 3.0, a été marquée, le 15 janvier, par l’annonce des huit projets retenus.
Un grand spectacle en solidarité avec les Palestiniens est prévu le samedi 20 janvier 2024 à l’Opéra d’Alger Boualem Bessaïh, à Ouled Fayet, à l’ouest de la capitale, «Salam lel Falestine» (Paix pour la Palestine).
La ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji, a exposé, lundi 8 janvier, les grandes lignes du projet de loi sur l’industrie cinématographique devant la commission de la culture, de la communication et du tourisme de l’APN.
Le projet de loi relatif à l’industrie cinématographique sera présenté, ce lundi 8 janvier 2024, à l’Assemblée Populaire Nationale (APN), chambre basse du Parlement, un mois après son adoption en Conseil des ministres.
Le hall d’entrée du Théâtre national Mahieddine Bachtarzi d’Alger (TNA) porte désormais le nom de Allalou ou Sellali Ali, l’un des pères fondateurs du théâtre algérien.
L’édition du FNTP 2023 est dédiée au comédien Sid Ahmed Agoumi. «Agoumi n’est plus à présenter. Nous sommes ravis que le parcours de ce grand artiste algérien soit évoqué lors du festival», a déclaré Mohamed Yahiaoui, commissaire du festival, lors d’une conférence de presse, organisée hier, à l’espace M’hamed Benguettaf, au TNA.
Un débat sur le bilan des douze années du Festival local du théâtre professionnel de Sidi Bel Abbès a été organisé à la faveur de la 13e édition de ce festival qui s’est déroulé du 7 au 10 décembre 2023.
Le jury, présidé par l’enseignant universitaire, Azouz Benamar, a décidé d’accorder le ticket de qualification au 16e Festival national du théâtre professionnel d’Alger (FNTP), qui se déroulera du 22 au 31 décembre, à une pièce mise en scène par le jeune Adel Touil, assisté de Imed Hamou, d’après un texte d’Ould Abderrahmane Kaki, Ifrikya qabla I (Ifrikya avant 1).
En compétition au 13e Festival culturel local du théâtre professionnel de Sidi Bel Abbès, Plasma est la première pièce mise en scène par le jeune comédien Saïd Zakaria de l’association Mohamed Ben Mohamed de Mostaganem.
Mohamed Amine Mouffok est comédien. Il a participé au 13e Festival culturel local du théâtre professionnel de Sidi Bel Abbès qui s’est déroulé jusqu’au 10 décembre, avec la pièce Dar Rabi (La maison de Dieu), d’après un texte d’Ould Abderrahmane Kaki. C’est sa première mise en scène au théâtre. Dar Rabi narre l’histoire de détenus ayant fui la prison qui se retrouvent dans un endroit en plein désert et qui doivent décider de rester ou de fuir des gardes qui étaient à leurs trousses. En plus du théâtre, Mohamed Amine Mouffok est présent dans le cinéma. Il a été distribué dans plusieurs films dont Paysage d’automne de Merzak Allouache, La vie d’après d’Anis Djaâd et Les harkis de Philippe Faucon.
Douar El oumyane (Le village des aveugles) de Mohamed Mustapha Yahiaoui est en compétition au 13e Festival culturel local du théâtre professionnel de Sidi Bel Abbès qui se déroule jusqu’au 10 décembre.
Le coup d’envoi du 13e Festival culturel local du théâtre de Sidi Bel Abbès a été donné, dans la soirée du 7 décembre, au Théâtre régional de la capitale de la Mekerra.
-Qu’est-ce qui marque la 13e édition du Festival culturel local du théâtre professionnel de Sidi Bel Abbès cette année ? Cette édition a été précédée par des présélections des pièces participantes au niveau de Miliana. Par le passé, la présélection se faisait à travers le visionnage des pièces sur support vidéo devant un comité restreint qui fait le tri. J’ai pensé à créer un deuxième espace au festival de Sidi Bel Abbès avec une présélection dans une autre ville. Miliana est un des principaux viviers du théâtre amateur en Algérie. J’ai assisté par le passé à plusieurs manifestations théâtrales où les troupes venant de Miliana étaient primées. Il n’y a qu’à citer des noms connus natifs de cette ville comme Sid Ahmed Kara, Mohammed Charchal, Rédha Takhrist... L’association Mahfoud Touahri est très active. Des comédiens célèbres comme Sirat Boumediène et Rouiched venaient souvent à Miliana. Ce mouvement s’est malheureusement arrêté. J’ai décidé donc, en coordination avec la maison de la culture et le secteur de la culture de Aïn Defla, de fédérer nos moyens et organiser un événement à Miliana, une présélection sous la forme d’un festival en présence de ceux qui étaient présents dans les manifestations théâtrales depuis les années 1990 dans cette ville.
La 13e édition du Festival culturel local du théâtre professionnel de Sidi Bel Abbès aura lieu du 7 au 10 décembre.