Le troisième Festival international du monodrame féminin aura lieu à El Oued du 27 au 30 janvier. Cette édition est dédiée à la Palestine et à la comédienne Fatima Hlilou.
La soirée de clôture de la première édition de «Mawahub», un programme d’incubation dédié aux industries culturelles et créatives (ICC) et au Web 3.0, a été marquée, le 15 janvier, par l’annonce des huit projets retenus.
Un grand spectacle en solidarité avec les Palestiniens est prévu le samedi 20 janvier 2024 à l’Opéra d’Alger Boualem Bessaïh, à Ouled Fayet, à l’ouest de la capitale, «Salam lel Falestine» (Paix pour la Palestine).
La ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji, a exposé, lundi 8 janvier, les grandes lignes du projet de loi sur l’industrie cinématographique devant la commission de la culture, de la communication et du tourisme de l’APN.
Le projet de loi relatif à l’industrie cinématographique sera présenté, ce lundi 8 janvier 2024, à l’Assemblée Populaire Nationale (APN), chambre basse du Parlement, un mois après son adoption en Conseil des ministres.
Le hall d’entrée du Théâtre national Mahieddine Bachtarzi d’Alger (TNA) porte désormais le nom de Allalou ou Sellali Ali, l’un des pères fondateurs du théâtre algérien.
L’édition du FNTP 2023 est dédiée au comédien Sid Ahmed Agoumi. «Agoumi n’est plus à présenter. Nous sommes ravis que le parcours de ce grand artiste algérien soit évoqué lors du festival», a déclaré Mohamed Yahiaoui, commissaire du festival, lors d’une conférence de presse, organisée hier, à l’espace M’hamed Benguettaf, au TNA.
Un débat sur le bilan des douze années du Festival local du théâtre professionnel de Sidi Bel Abbès a été organisé à la faveur de la 13e édition de ce festival qui s’est déroulé du 7 au 10 décembre 2023.
Le jury, présidé par l’enseignant universitaire, Azouz Benamar, a décidé d’accorder le ticket de qualification au 16e Festival national du théâtre professionnel d’Alger (FNTP), qui se déroulera du 22 au 31 décembre, à une pièce mise en scène par le jeune Adel Touil, assisté de Imed Hamou, d’après un texte d’Ould Abderrahmane Kaki, Ifrikya qabla I (Ifrikya avant 1).
En compétition au 13e Festival culturel local du théâtre professionnel de Sidi Bel Abbès, Plasma est la première pièce mise en scène par le jeune comédien Saïd Zakaria de l’association Mohamed Ben Mohamed de Mostaganem.
Mohamed Amine Mouffok est comédien. Il a participé au 13e Festival culturel local du théâtre professionnel de Sidi Bel Abbès qui s’est déroulé jusqu’au 10 décembre, avec la pièce Dar Rabi (La maison de Dieu), d’après un texte d’Ould Abderrahmane Kaki. C’est sa première mise en scène au théâtre. Dar Rabi narre l’histoire de détenus ayant fui la prison qui se retrouvent dans un endroit en plein désert et qui doivent décider de rester ou de fuir des gardes qui étaient à leurs trousses. En plus du théâtre, Mohamed Amine Mouffok est présent dans le cinéma. Il a été distribué dans plusieurs films dont Paysage d’automne de Merzak Allouache, La vie d’après d’Anis Djaâd et Les harkis de Philippe Faucon.
Douar El oumyane (Le village des aveugles) de Mohamed Mustapha Yahiaoui est en compétition au 13e Festival culturel local du théâtre professionnel de Sidi Bel Abbès qui se déroule jusqu’au 10 décembre.
Le coup d’envoi du 13e Festival culturel local du théâtre de Sidi Bel Abbès a été donné, dans la soirée du 7 décembre, au Théâtre régional de la capitale de la Mekerra.
-Qu’est-ce qui marque la 13e édition du Festival culturel local du théâtre professionnel de Sidi Bel Abbès cette année ? Cette édition a été précédée par des présélections des pièces participantes au niveau de Miliana. Par le passé, la présélection se faisait à travers le visionnage des pièces sur support vidéo devant un comité restreint qui fait le tri. J’ai pensé à créer un deuxième espace au festival de Sidi Bel Abbès avec une présélection dans une autre ville. Miliana est un des principaux viviers du théâtre amateur en Algérie. J’ai assisté par le passé à plusieurs manifestations théâtrales où les troupes venant de Miliana étaient primées. Il n’y a qu’à citer des noms connus natifs de cette ville comme Sid Ahmed Kara, Mohammed Charchal, Rédha Takhrist... L’association Mahfoud Touahri est très active. Des comédiens célèbres comme Sirat Boumediène et Rouiched venaient souvent à Miliana. Ce mouvement s’est malheureusement arrêté. J’ai décidé donc, en coordination avec la maison de la culture et le secteur de la culture de Aïn Defla, de fédérer nos moyens et organiser un événement à Miliana, une présélection sous la forme d’un festival en présence de ceux qui étaient présents dans les manifestations théâtrales depuis les années 1990 dans cette ville.
La 13e édition du Festival culturel local du théâtre professionnel de Sidi Bel Abbès aura lieu du 7 au 10 décembre.
Le gang du bois du temple est le dernier long métrage du réalisateur franco-algérien, Rabah Ameur-Zaïmeche, projeté en avant-première algérienne aux 18es Rencontres cinématographiques de Béjaïa (RCB), qui se sont déroulées du 23 au 28 septembre dernier.
L’ambassade suisse à Alger a célébré du 19 au 21 novembre le modèle architectural helvète avec l’ouverture d’une nouvelle résidence et la rénovation du jardin. Jean-Pierre Fux, ambassadeur de suisse à Alger, a précisé, lors d’une réception, le 21 novembre au soir, que le bâtiment, qui abrite les services de la représentation diplomatique, à la rue Slimane Amirat, à El Mouradia, à Alger, a déjà dix ans d’existence (au niveau de l’ex-Domaine Les Tamaris).
Au 26e Salon international du livre d’Alger (SILA), qui s’est déroulé du 25 octobre au 4 novembre, nous avons rencontré certains d’entre eux. Ils estiment que le SILA est un grand moment de rencontres avec les auteurs et les lecteurs-acheteurs. «Mais, il faut penser au reste de l’année», disent-ils. Azzedine Guerfi, directeur des éditions Chihab, regrette la baisse du nombre de librairies au niveau national. «Il y a de moins en moins d’espaces pour vendre des livres.
Samia Zenadi est codirectrice des éditions APIC à Alger. Elle revient sur les difficultés de publier des livres en Algérie.
C’est une expression de fidélité à un homme qui a livré sa vie à l›islam et son pays l›Algérie», a souligné Mohamed Iguerb, commissaire du SILA, lors d’un colloque international consacré à l’auteur de Les conditions de la renaissance.