Qe suis la véritable trace, le plus solide des indices attestant de tout ce que nous avons vécu en dix ans en Algérie. Je cache l’histoire d’une guerre entière, inscrite sur ma peau depuis que je suis enfant.» Aube, jeune Algérienne qui doit se souvenir de la guerre d’indépendance, qu’elle n’a pas vécue, et oublier la guerre civile des années 1990, qu’elle a elle-même traversée. Sa tragédie est marquée sur son corps : une cicatrice au cou et des cordes vocales détruites. Muette, elle rêve de retrouver sa voix.
Jeudi dernier, les autorités locales ont accueilli à l’aéroport Messali Hadj, un groupe d’enfants de notre diaspora en France pour «passer leurs vacances d’été dans mère-patrie».
Suite à une opération de raccordement aux réseaux de gaz naturel et d’électricité, dans la wilaya de Tlemcen, au profit de 300 foyers situés dans des villages frontaliers (Beni Boussaid, Sidi Medjahed, Yenbou et Terny), à présent, le taux de couverture en gaz et en électricité a atteint 100% au niveau de ces régions reculées.
l La longue liste de la 9e édition du prix littéraire Mohammed Dib a été dévoilée, jeudi dernier, à la bibliothèque publique portant le nom de l’auteur de L’Incendie, à Tlemcen.
Une centaine d’immigrés de 3e âge, résidant en région parisienne, sont en cure à la station thermale de Hammam Boughrara dans la daïra de Maghnia.
La seconde édition de Les galets de Sidi Ahmed paraît chez Kounouz Yughurta, basée à Constantine, avec 197 exemplaires numérotés. Editée la première fois aux Editions El Qobia en 2021, l’œuvre est pleine d’intelligence et d’émotion.
Sous le slogan «Notre empreinte dans le monde de l’innovation», ce Salon, qui met sous le feu des projecteurs le talent des stagiaires et des apprenties, se veut une opportunité pour mettre en valeur leur sens de la création, assurer la qualité des produits locaux, incruster dans leur esprit la culture de l’innovation et les inciter à la créativité.
Ecrivain et musicien, Omar Taleb, d’origine algérienne né à Maghnia, est le fondateur du Festival et du prix littéraire Les Lorientales. Humble, il se livre avec passion. Sans fioriture.
Entre 2017 et 2024, le régime de Mohammed VI a reçu de l’Union européenne une enveloppe de 65 millions d’euros pour le contrôle de la frontière. Le site marocain d’informations Enass, le seul média qui continue de faire front au régime, a révélé, dans une enquête, la politique migratoire mise en œuvre au Maroc, l’hypocrisie et l’esprit mercantiliste des sujets de sa majesté.
Avant-hier, pour la deuxième semaine, les ouvriers de la commune, des associations, des sportifs, des citoyens lambdas se sont armés du slogan «ce n’est que si tout le monde se rassemble que nous pourrons redonner de l’éclat à Tlemcen» pour entamer cette opération de nettoyage de leurs quartiers et cités et l’entrée de l’autoroute de Aïn Lahdjar, et ce dans le but de garantir un environnement sain.
L’école des sergents des douanes d’Ouled Mimoun (située à l’est de la wilaya de Tlemcen) a ouvert ses portes, depuis avant-hier et ce, pour trois jours consécutifs, à la population, aux étudiants, lycéens et à la presse.
71 étudiants, parmi lesquels on compte 29 jeunes femmes de 32 étrangers (venus de pays africains) ont reçu ces derniers jours leurs diplômes de Magister, et ce après deux années d’études à l’Institut panafricain des sciences de l’eau, de l’énergie et des changements climatiques de l’université Aboubekr Belkaïd, dans différentes filières, notamment l’ingénierie de l’eau et les politiques de l’eau, l’ingénierie de l’énergie et les politiques de l’énergie et l’ingénierie du changement climatique.
Notre confrère journaliste, retraité de l’APS Tlemcen, Abdelmadjid Berrezal, vient de publier aux éditions Konouz, Sidi Bachir Djouadi, l’indomptable d’Aït Boumehdi (1957-1962), un livre de 150 pages sur la guerre de Libération nationale.
LLancés à Tlemcen il y a quelques semaines seulement, des projets stratégiques, considérés comme prioritaires, sont menés tambour battant pour être achevés dans les délais escomptés.
«J’ai dressé le portrait de mon père pour donner de la chair et sortir de l’anonymat ces hommes déracinés réduits à leur condition d’ouvriers, tiraillés entre deux pays. Et avant tout, j’ai voulu rendre hommage à l’homme sans qui je ne serais pas la femme que je suis», se confie l’autrice.
Selon Mohamed Attar, professeur d’histoire à l’université Abou bakr Belkaïd de Tlemcen, «la bataille de Fellaoucene, qui s’est déroulée le 20 avril 1957 au djebel Fellaoucene, s’étendant entre les communes de Fellaoucene et Nedroma, qui se distingue par son relief accidenté et ses pistes difficiles d’accès, a duré plusieurs jours durant lesquels les moudjahidine de la Wilaya V historique ont infligé au colonisateur des pertes importantes, grâce à leur bravoure et leur habileté».
Du 11 au 12 mai à Montrouge, en région parisienne (France), aura lieu le 1er Salon business autour de la diaspora arabo-amazighe. Selon Saïda Eddyb, l’attachée de presse, «l’idée de ce salon est de mettre en avant les talents de notre diaspora, mais aussi, de rencontrer des exposants qui ont lancé leurs entreprises proposant des produits ou services».
Trois chauffeurs activant sur l’application Yassir, résidant à Tlemcen, ont été victimes d’un guet-apens préparé par des individus dans la wilaya de Sidi Bel Abbès.
1001 leyla… est le dernier ouvrage de Sari-Ali Hikmet. Il s’agit d’une traduction des poèmes mystiques de Cheikh Benyelles, figure du soufisme maghrébin, l’homme qui, aussi, a appelé en 1911 à la «hidjra» pour protester contre la conscription obligatoire des jeunes Algériens dans l’armée coloniale.
Une soirée événement, sous le slogan «En avant toutes» a été organisée par l’Institut français, en hommage aux sportives tlemcéniennes, ces derniers jours à l’hôtel Agadir.