Un nouveau drame vient d’endeuiller des familles algériennes, après celui de Fouka, dans la wilaya de Tipasa, où au mois de mai dernier, 11 jeunes avaient trouvé la mort en Méditerranée. Mardi, 15 harraga, dont deux femmes et sept mineurs, sortis du point dit «Guelta» des côtes de Chlef en début de semaine dernière, sont décédés dans un naufrage dans les eaux espagnoles du côté de Valence.
«Les travailleurs marocains gagneraient des salaires plus élevés en Israël qu’au Maroc», informe le quotidien L’Opinion.
Vendredi 24 juin 2022. 23 personnes sont décédées, après que 2000 migrants d’origine subsaharienne aient tenté de franchir la clôture de l’enclave espagnole de Melilla, à partir de Nador, dans le Rif marocain.
Fermée depuis 2003, la mine d’El Abed (sud de Tlemcen) considérée comme la plus grande réserve de mine et de plomb à l’échelle africaine, incite la population et des personnalités dont la militante des droits de l’homme, l’avocate Latifa Dib à interpeler le président de la république pour la remise en service de ce grand gisement.«Estimées à millions de tonnes de plomb et de zinc, les réserves de cette mine suffisent pour les 90 ans à venir et sa réexploitation permettra, non seulement à l’Algérie de se repositionner dans le domaine de l’exploitation minière mais également un développement et prospérité pour toute la région», dit avec conviction Mme Dib.
Pour étouffer le scandale qui a coûté la vie à 27 migrants subsahariens aux portes de Melilla, les autorités marocaines se sont empressées d’enterrer 21 corps en catimini.
Douze associations et mouvements de défense des droits humains, marocains et européens, ont publié un communiqué commun pour dénoncer l’accord entre l’Espagne et le Maroc sur l’immigration et réclament une enquête approfondie et indépendante pour identifier les responsables de la mort tragique de 27 migrants subsahariens et deux gendarmes marocains aux portes de Melilla.
La principale organisation marocaine de défense des droits humains a réclamé une enquête hier, au lendemain de la tentative d’entrée de près de 2000 migrants subsahariens dans l’enclave espagnole de Melilla, au cours de laquelle 18 personnes ont péri, une «tragédie» sans précédent au Maroc. «Nous appelons à l’ouverture d’une enquête rapide et transparente», a déclaré à la presse Mohamed Amine Abidar, le président de la section de l’Association marocaine des droits de l’homme (AMDH) à Nador, dans le nord du Maroc. Une association espagnole a évoqué le chiffre de 60 morts parmi les migrants, 4 décès chez les gendarmes marocains et plus de 700 blessés jugés dans un état grave.
Dans une lettre adressée au président de la république, l’association Amel El Hayet des cancéreux de Ghazaouet exprime son angoisse et sa consternation quant à la «fermeture, depuis septembre 2021, du service de radiothérapie du centre de lutte contre le cancer de Chetouane (Tlemcen). Une structure devant accueillir les patients de plusieurs wilayas de l’Ouest, dont Aïn Témouchent, Saïda, Naâma, Tissemsilt, Relizane, Mostaganem, El Bayadh».
Dans un communiqué, qui nous a été transmis, signé hier, lundi 13 juin 2022, les «journalistes marocains contre la normalisation» accablent l’Etat marocain et attirent l’attention de l’opinion publique nationale et internationale sur les dangereuses dérives du makhzen et sa «profanation de (notre) pays».
Tout en dévoilant les noms des plages autorisées à la baignade dans les communes côtières de Tlemcen, la Protection civile avertit que la baignade dans les autres plages, notamment Makhled, Ouerdania, Anabra, Maarouf, Boukenais, Bekhata et Barbadjani, sont, elles, formellement interdites.
34 œuvres sur 38 candidatures en arabe, 8 sur 9 en tamazight et 38 sur 42 en français ont été retenues pour cette huitième édition dont les lauréats seront connus le 22 octobre prochain.
L’infrastructure, «pensée» à l’époque de la «îssaba», a coûté pas moins de 500 milliards de centimes, les équipements autant. Sauf que ce centre de lutte contre le cancer, deux ans après son inauguration, est loin d’offrir les services attendus par les décideurs et la population de sept wilayas de l’ouest du pays.
La nuit du 5 au 6 décembre 1986, Malik Oussekine, jeune Algérien, est mort à la suite d’une intervention de la police, alors que Paris était secouée par des manifestations estudiantines contre une nouvelle réforme de l’éducation.
Aujourd’hui vendredi 20 mai, à 13h 35, les habitants de plusieurs communes de la wilaya de Tlemcen ont été secoués par des répliques sismiques causant plus de peur que de mal… Les secousses telluriques ont duré quelques secondes seulement.
Onze harraga sont décédés et 5 autres portés disparus dans des circonstances qui demeurent toujours inconnues. Ils auraient lutté contre la furie de la mer pendant 14 heures, avant que leur embarcation ne fasse naufrage.
Plus d’une semaine après la fin du mois sacré, les prix des fruits et légumes n’ont pas seulement stagné, mais ils ont encore augmenté. Une hausse que les marchants argumentent par des explications pas toujours convaincantes.
A la veille de la fin du Ramadhan, malgré les prix abordables des vêtements, notamment ceux pour enfants, les ménagères ne se bousculent pas aux portes des magasins.
Après Tahar Djaout (1991) pour son roman Les vigiles aux éditions seuil et Kamel Daoud (2018) pour Zabor ou les Psaumes publié chez Barzakh, Boualem Sansal est le lauréat de l’édition 2022 pour son dernier roman Abraham ou la cinquième Alliance (Gallimard), un prix reçu, samedi dernier, au prestigieux hôtel Pams de Perpignan. «Que dire, sinon je suis flatté par ce prix, parce que méditerranéen et parce que son jury est des plus prestigieux.
Sous le thème évocateur «Ciné Ftourkoum, célébrons les grands classiques du cinéma algérien», l’Institut français et la cinémathèque Chanderli (ex-Colisée) programme, en ce mois sacré à 22h, en partenariat avec le Centre national de la cinématographie et de l’audiovisuel (CNCA), quatre longs métrages des années fastes de la production nationale.
Comme chaque année, à l’approche du Ramadhan, Maghnia accueille un flot humain de toutes les régions du pays pour s’approvisionner en épices.