Pour aider les harraga, ayant choisi de retourner volontairement au pays, à se réintégrer, l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) bureau d’Alger, a organisé, la semaine dernière durant deux jours, une formation d’orientation sur le marché du travail, à leur intention.
Plus de 300 journalistes, éditeurs, universitaires, étudiants et acteurs des médias ont participé à la 2e Convention de Lusaka, la capitale zambienne, du 11 au 13 mai. Une convention conçue pour protéger les libertés des médias et la sécurité des journalistes sur le continent africain.
Au programme, plusieurs interventions, suivies de riches débats, ayant pour thèmes «Sport-tourisme, une expérience vécue», «Le centre d’entraînement en escalade de Beni Snous, un exemple de développement de tourisme», «Valorisation du tourisme de randonnée pédestre», «La randonnée dans la promotion du tourisme» et enfin «L’agence de voyages, le développement touristique à travers le sport».
60 ans se sont écoulés depuis le décès (le 4 mai 1963) de Mohamed Khemisti, le premier ministre des Affaires étrangères de l’Algérie indépendante, assassiné le 11 avril 1963 à sa sortie du Parlement à Alger.
Un rapport de l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC), publié fin 2022, accable le makhzen en considérant le Maroc comme le «premier producteur et exportateur mondial de cette drogue».
Un atelier sur l’initiation à l’impression 3D a été animé, hier en fin d’après-midi, à l’Institut français, par Lamine Irzouni, à l’intention d’un large public très intéressé par cette technologie.
Après Tahar Djaout en 1991 (Les vigiles), Kamel Daoud en 2018 (Zabor ou les Psaumes) et Boualem Sansal en 2022 (Abraham ou la cinquième alliance), les lauréats de l’édition 2023 du prix littéraire Méditerranée sont l’Espagnol Javier Castillo pour son roman La petite fille sous la neige (éditions Albin-Michel) et Philippe Vilain pour La malédiction de la Madone (éditions Robert-Laffont).
Il se définit comme « écriveur», un artiste qui écrit beaucoup de lettres, qui aime à en écrire. Plasticien, graphiste, calligraphe, c’est peut-être tout cela.
Ayant lancé plusieurs projets de développement local dans les 53 communes, les autorités de wilaya se sont attelées, avant-hier, à l’évaluation de la situation des programmes du développement local.
Assurant des repas chauds et riches depuis le début du mois sacré dans des restaurants cédés par des bienfaiteurs, les associations dont Doha, Sanabil el Kheir et le Croissant-Rouge algérien, sous l’égide de l’APC, avec pour slogan «Le Ramadhan nous réunit» se sont unis pour organiser un immense ftour collectif au stade communal à l’intention des démunis, des passagers dans la ville et de tous les citoyens désireux de partager des moments empreints de solidarité, de bienveillance et de partage.
Un programme riche et varié est proposé, cette dernière semaine de Ramadhan, par l’Institut français de Tlemcen.
Elle figure parmi les dix finalistes, sélectionnés au Prix Première 2023 et au Prix Mare Nostrum 2023 – Grand Prix méditerranéen de littérature et spiritualité- pour son premier roman Brûleurs édité chez Lattès. Dans cet entretien, Neïla Romeyssa, 24 ans, se lâche spontanément et avec humilité.
Les Journées du patrimoine, intitulées «Les nuits de la calligraphie et du manuscrit» reviennent, dans leur 6e édition, avec de nouveaux sujets, liés principalement aux trésors inestimables des manuscrits à l’échelle nationale.
Le troisième jour du Ramadhan semble avoir enregistré une certaine «retenue» chez les consommateurs n’ayant plus cette frénésie des achats, ce désir kafkaïen de gonfler des chaînes pour s’acquérir des produits déjà en leur possession…
La direction du commerce et de la promotion des exportations a procédé, avant-hier, à l’ouverture d’un marché de proximité au Centre des arts et des expositions (Carex) à Koudia, dans la périphérie de la ville.
4 millions d’Ukrainiens avaient afflué vers différents pays d’Europe en trois mois, l’année dernière. Les gouvernements européens avaient trouvé des solutions urgentes pour gérer ce flux. Sans inquiétude, ni paranoïa.
Les grottes de Beni Add, dans la commune de Aïn Fezza, à 12 km du chef-lieu de wilaya. Une cavité forée il y a 65 000 ans dans la roche calcaire du massif de Tlemcen. Une merveille de plus de 700 mètres de profondeur, avec une température constante de 13 degrés toute l’année.
Perte d’identité ? Celle du nom ou carrément… reniement de soi ?
Le bureau du procureur, près le parquet de Maghnia, a tenu à éclairer l’opinion publique, suite à l’agression par piqûre avec une seringue, d’une élève par des inconnus dans la commune de Sidi Medjahed, dans la daïra de Beni Boussaid.
Créatrice du média Commun Exil où elle recueille des témoignages de personnes exilées et du podcast «Algéroisement vôtre», qui raconte son enfance à Alger, Neila Rommeyssa raconte, dans son premier roman Brûleurs (harraga), à travers Salim, tout le drame des jeunes Algériens, dont le rêve est de traverser la Méditerranée… irrégulièrement.