La nuit du 5 au 6 décembre 1986, Malik Oussekine, jeune Algérien, est mort à la suite d’une intervention de la police, alors que Paris était secouée par des manifestations estudiantines contre une nouvelle réforme de l’éducation.
Aujourd’hui vendredi 20 mai, à 13h 35, les habitants de plusieurs communes de la wilaya de Tlemcen ont été secoués par des répliques sismiques causant plus de peur que de mal… Les secousses telluriques ont duré quelques secondes seulement.
Onze harraga sont décédés et 5 autres portés disparus dans des circonstances qui demeurent toujours inconnues. Ils auraient lutté contre la furie de la mer pendant 14 heures, avant que leur embarcation ne fasse naufrage.
Plus d’une semaine après la fin du mois sacré, les prix des fruits et légumes n’ont pas seulement stagné, mais ils ont encore augmenté. Une hausse que les marchants argumentent par des explications pas toujours convaincantes.
A la veille de la fin du Ramadhan, malgré les prix abordables des vêtements, notamment ceux pour enfants, les ménagères ne se bousculent pas aux portes des magasins.
Après Tahar Djaout (1991) pour son roman Les vigiles aux éditions seuil et Kamel Daoud (2018) pour Zabor ou les Psaumes publié chez Barzakh, Boualem Sansal est le lauréat de l’édition 2022 pour son dernier roman Abraham ou la cinquième Alliance (Gallimard), un prix reçu, samedi dernier, au prestigieux hôtel Pams de Perpignan. «Que dire, sinon je suis flatté par ce prix, parce que méditerranéen et parce que son jury est des plus prestigieux.
Sous le thème évocateur «Ciné Ftourkoum, célébrons les grands classiques du cinéma algérien», l’Institut français et la cinémathèque Chanderli (ex-Colisée) programme, en ce mois sacré à 22h, en partenariat avec le Centre national de la cinématographie et de l’audiovisuel (CNCA), quatre longs métrages des années fastes de la production nationale.
Comme chaque année, à l’approche du Ramadhan, Maghnia accueille un flot humain de toutes les régions du pays pour s’approvisionner en épices.
Huit jeunes de la commune de Nedroma sont décédés dans un naufrage, avant-hier, dans les eaux algériennes, après une tentative d’émigration vers la rive sud de l’Espagne, a-t-on appris de l’organisation ibérique Heroes del mar (Héros de la mer).
Huit jeunes de la commune de Nedroma sont décédés, hier mardi 22 mars, dans un naufrage dans les eaux algériennes, après une tentative d’émigration vers la rive sud de l’Espagne, a-t-on appris auprès de l’organisation ibérique Heroes del mar (Héros de la mer).
Dans un contexte particulier, Covid-19 et conflits armés (guerre entre la Russie et l’Ukraine, entre autres), la nécessité de «chasser» les fake news et la vérification des sources sont primordiales (dixit le Pdg de l’Agence du développement des médias, Thierry Vallat).
Hommage à la culture et à la beauté terguies. Kella est un roman qui ne laisse pas indifférent.
Autrefois centre de formation des fonctionnaires de l’éducation, de la poste, de Sonelgaz, de la Cnas et de l’agriculture, l’école syndicale, Ahmed Hamloul, située à Abou Tachfine, comprenant plusieurs salles de classe, un bloc administratif, une cantine, une salle de conférences et une bibliothèque entre autres, est abandonnée depuis les années 1980.
La maison de la Culture Abdelkader Alloula organise la 3e édition nationale du salon national des femmes artistes. La galerie des arts Abdelhalim Hemch accueille, depuis hier et jusqu’au 8 mars, les œuvres de 24 plasticiennes (deux par artiste) et 11 artistes photographes, amateurs et professionnelles de 10 wilayas du pays.
Le go fast s’ébranle, puis se lance tel un bolide en direction du pays de Cervantès. A bord, douze jeunes migrants, sans passeport ni visa. Pour seuls bagages, des rêves. Des chimères, peut-être.
Le service de wilaya de la sécurité publique a enregistré pendant le mois de janvier 54 accidents de la circulation ayant causé le décès d’une personne et des blessures graves à 64 autres dont 58 hommes et 6 femmes.
Confessions, rébellion silencieuse, résignation ou expressions spontanées tout simplement… Samira Bendris-Oulebsir, auteure et éditrice, raconte et se raconte, -peut-être sans le vouloir - une vie, la sienne, la nôtre, par procuration, peut-être… sans forfanterie, ni fioritures, dans un style simple, mais beau.
Tailler un arbre, c’est tout un métier, un art. Le platane, quadrillant les allées et les placettes de la ville, fortement apprécié pour l’ombrage qu’il procure, sa robustesse, sa beauté, est une référence identitaire de Tlemcen.
«Notre ville est devenue un dépotoir à ciel ouvert. C’est à croire que nos élus sont atteints de presbytie ou se sont accommodés avec ce décor repoussant», fustigent les habitants d’Oujlida, cité périphérique nouvelle, à Tlemcen. Les immondices jonchent le sol à quelques mètres de commerces et d’un établissement scolaire.
Dans un communiqué en date du 23 janvier dernier, le Syndicat national autonome des professeurs de l’enseignement primaire (SNAPEP) a dénoncé l’absence de protocole sanitaire dans les établissements scolaires, notamment ceux des zones d’ombre, «le manque des moyens pédagogiques, des équipements comme les chauffages et l’inexistence des agents de nettoyage», entre autres.