Réalisé en 2010 et occupé en 2011, le siège de l’Agence nationale de l’emploi situé au niveau de la cité 282 Logements risque de s’effondrer à tout moment car il présente certaines malfaçons jusqu’à ses fondations.
Des travaux d’aménagement au niveau de la Maison de la presse, située rue Saim Djillali au cœur de la ville de Tiaret, devront commencer ces jours-ci pour qu’elle soit livrée et inaugurée le 3 mai prochain, coïncidant avec la Journée internationale de la liberté de la presse», a déclaré hier Ali Bouguerra, à l’entame de sa visite hebdomadaire consacrée aux projets, dont ceux en souffrance dans la ville de Tiaret.
La célébration, jeudi, dans l’enceinte de l’Institut spécialisé d’enseignement et de formation professionnels Kadda Belgacem du double anniversaire de la création de l’UGTA en 1956 et de la nationalisation des hydrocarbures en 1971 a été marquée à Tiaret du sceau de l’austérité et pour la première fois sans la participation des entreprises et des filiales liées à Sonatrach.
Les 68 travailleurs de l’Office national de développement de l’élevage équin et camelin en Algérie, dont le siège se trouve à Tiaret, sont sur le qui-vive et viennent de lancer, à l’aune de la visite du ministre de l’agriculture, qu’on annonce imminente, un ultime SOS pour situer la donne, assainir les rapports et entrouvrir des perspectives qui ne passent que par une nouvelle politique claire à destination du monde équin sur lequel gravitent beaucoup d’autres entités.
Grandiose cérémonie liée à l’hommage qu’a rendu hier dans l’enceinte de la bibliothèque Centrale Mohamed El Mili à l’une des grandes figures du mouvement national, moudjahid et ministre du travail dans le premier gouvernement postindépendance en la personne de feu Boudissa Safi décédé le 22 février dernier dans sa région natale, Ksar-Chellala, 116 kilomètres à l’est de Tiaret.
Samedi 18 février, Journée nationale du chahid, les autorités locales, à leur tête le chef de l’exécutif, Ali Bouguerra, procédaient au niveau de la ferme Abdellaoui dans la commune de Sougueur à la mise en marche du gaz de ville au profit de 301 foyers non sans procéder, comme l’exige le rituel à l’allumage de la torche de circonstance érigée au niveau de cet ex-DAS domaine autogéré de l’Etat.
Sur une ingénieuse idée d’un ex-wali, l’association Kafil El Yatim, en charge des orphelins et de leurs parents, s’est engagée dans un ambitieux projet de réalisation d’un complexe pour orphelins venu en appoint de ses activités nombreuses dédiées à cette frange de la société qui voit malheureusement des pans de la société glisser vers le dénuement et la pauvreté en dépit, il est vrai, de l’apport et l’implication de l’Etat à travers les DASS.
C’est en marge d’un instructif café-débat organisé, samedi dernier, par l’association Essalam El Akhdar, à la Maison de l’environnement sous le thème «Transformer l’éducation pour transformer le monde» et subséquemment de «L’éducation citoyenne au profit du développement durable», qu’un hommage appuyé a été rendu à une figure de proue de la société civile tiarétie en la personne de Abdelkader Boutheldja.
L’EPIC haras national Chaou Chaoua ou plus prosaïquement «jumenterie de Tiaret», actuellement sous le statut de ferme pilote, l’une des six fermes du genre se trouvant sur le territoire de la wilaya de Tiaret, demeure une belle vitrine que les responsables locaux,centraux et même le citoyen lambda ne se lassent pas de vanter quand il s’agit d’afficher les atouts de la région.
Comme à l’accoutumée, Ali Bouguerra n’a pas laissé passer l’opportunité de sa présence à côté du DG de l’AADL en visite à Tiaret pour s’adresser à l’opinion publique à travers les représentants des médias et de la presse nationale.
En marge d’une visite éclair qui a mené, hier, le wali de Tiaret accompagné du DG d’AADL dans certains chantiers relevant du secteur de l’habitat, dont des projets de réalisation de logements induits par le programme AADL2 (3874 unités), «Ali Bouguerra a plutôt rassuré les protestataires qui s’estimaient lésés par les dernières affectations».
Le recteur de l’université Abderrahmane Ibn Khaldoun, docteur Belgoumène Berrezoug, a reçu jeudi dernier une délégation mixte composée de cadres des ministères de l’Enseignement supérieure et de la Recherche scientifique ainsi que ceux de la Santé et de la Population, en mission de prospection dans la région.
Dans une énième protestation pacifique devant le siège de la direction régionale qu’au niveau du siège de la wilaya, les souscripteurs au programme 2013 dit AADL2 – Tiaret ne décolèrent pas depuis que beaucoup d’entre-eux se sont vus affecter loin de leurs choix.
A l’aune de la célébration du 66e anniversaire des événements liés à la grève des Huit-Jours en janvier 1957, l’UGCAA, bureau de Tiaret, a pensé à honorer certaines des meilleures enseignes commerciales et de services dans la ville.
Le secteur des transports du moins les transporteurs publics vivent des moments de tumulte qui ne semblent pas vouloir s’arrêter et qui ne sont pas faits pour apaiser le climat social tendu, car sous-tendu par un pouvoir d’achat en déclin.
Branle-bas de combat jeudi dans l’enceinte des campus de Zaaroura en marge de l’examen d’accès au grade de doctorat à cause d’une lettre anonyme qui aurait été introduite à partir de Tiaret à destination du ministère de tutelle pour apparemment discréditer l’examen, jusqu’à preuve du contraire, alors que le corps enseignant de la faculté des lettres et des langues étrangères a dépensé de gigantesques efforts pour garantir le succès à cet examen qui concernait 350 candidats sur les 960 inscrits pour la didactique et 100 sur 400 pour le SDL (scène du langage).
Une petite parenthèse pourrait expliciter cette donne entrepreneuriale quand on sait que 16 projets inscrits localement, dont certains achevés, attendent toujours le quitus des autorités centrales pour pouvoir entrer en activité.
Rappeler des pages mémorables postindépendance, notamment celles liées à la grève des commerçants des Huit-Jours (janvier 1957), leurs impacts sur le Mouvement national, sur l’éveil de la conscience et l’inscription de la question algérienne dans le concert des nations, rappeler les douleurs du peuple et les contextualiser pour mieux comprendre les enjeux, présent et futur, a été une halte de plus pour l’UGCAA (Union générale des commerçants et artisans algériens), bureau de Tiaret.
Alimentées à partir du barrage Bekhadda, en plus des forages, les populations du chef-lieu de wilaya de Tiaret et certaines localités à proximité, entre autres Mechraa Sfa, Rahouia, Si Djillali Benamar, Tidda et Guertoufa, vont devoir se résoudre, à moyen terme, si d’aventure il n’y aurait pas de précipitations, à vivre avec de probables restrictions dans l’alimentation en eau potable.
«Boucler la rocade des Hauts-Plateaux et cap sur le Grand Sud.»