A l’aune de la célébration du 66e anniversaire des événements liés à la grève des Huit-Jours en janvier 1957, l’UGCAA, bureau de Tiaret, a pensé à honorer certaines des meilleures enseignes commerciales et de services dans la ville.
Le secteur des transports du moins les transporteurs publics vivent des moments de tumulte qui ne semblent pas vouloir s’arrêter et qui ne sont pas faits pour apaiser le climat social tendu, car sous-tendu par un pouvoir d’achat en déclin.
Branle-bas de combat jeudi dans l’enceinte des campus de Zaaroura en marge de l’examen d’accès au grade de doctorat à cause d’une lettre anonyme qui aurait été introduite à partir de Tiaret à destination du ministère de tutelle pour apparemment discréditer l’examen, jusqu’à preuve du contraire, alors que le corps enseignant de la faculté des lettres et des langues étrangères a dépensé de gigantesques efforts pour garantir le succès à cet examen qui concernait 350 candidats sur les 960 inscrits pour la didactique et 100 sur 400 pour le SDL (scène du langage).
Une petite parenthèse pourrait expliciter cette donne entrepreneuriale quand on sait que 16 projets inscrits localement, dont certains achevés, attendent toujours le quitus des autorités centrales pour pouvoir entrer en activité.
Rappeler des pages mémorables postindépendance, notamment celles liées à la grève des commerçants des Huit-Jours (janvier 1957), leurs impacts sur le Mouvement national, sur l’éveil de la conscience et l’inscription de la question algérienne dans le concert des nations, rappeler les douleurs du peuple et les contextualiser pour mieux comprendre les enjeux, présent et futur, a été une halte de plus pour l’UGCAA (Union générale des commerçants et artisans algériens), bureau de Tiaret.
Alimentées à partir du barrage Bekhadda, en plus des forages, les populations du chef-lieu de wilaya de Tiaret et certaines localités à proximité, entre autres Mechraa Sfa, Rahouia, Si Djillali Benamar, Tidda et Guertoufa, vont devoir se résoudre, à moyen terme, si d’aventure il n’y aurait pas de précipitations, à vivre avec de probables restrictions dans l’alimentation en eau potable.
«Boucler la rocade des Hauts-Plateaux et cap sur le Grand Sud.»
La cour de justice de Tiaret, siégeant en appel, a condamné, mercredi, après un report d’une semaine, M. S., 25 ans et D. A., 23 ans, deux des quatre principaux accusés à une peine de 20 ans de prison ferme après qu’ils eurent été condamnés le 22 novembre 2022, en première instance, à la réclusion à perpétuité pour «assassinat du docteur Mohamed Adjrad.
Mardi après-midi, au centre d’information et d’orientation relevant de la direction du tourisme et des arts, des représentants du mouvement associatif et ceux affublés du titre d’influenceurs ont été conviés à une rencontre pour le moins originale.
Beaucoup de chauffeurs de taxis et transporteurs publics de Tiaret ont tenu hier un mouvement de protestation pacifique, qui allait quand même tourner au vinaigre, pour protester contre ce que l’un des deux syndicats initiateur qualifie «d’abus dans la prise de décision du directeur».
Branle-bas de combat hier dans l’enceinte du collège Aisset Benaouda au niveau de la proche banlieue, Karman.
La faucheuse continue de moissonner des vies de très jeunes enfants y compris dans cette macabre série noire qui a pour nom l’accident de la route.
Capitale des Hauts-Plateaux de l’Ouest algérien, dont des points culminent jusqu’à 1200 mètres d’altitude, la région de Tiaret a reçu de faibles quantités de neige qui ont fait beaucoup plus de joie chez la population de Frenda et ses environs et une déception mêlée à de la satisfaction de voir enfin le retour de la pluie après de longues semaines de beau temps.
Jeudi à 9h40, une unité de la Protection civile est intervenue pour sauver pas moins de 19 écoliers de l’établissement Meghraoui Mohamed alors qu’ils présentaient des signes d’indisposition après qu’ils eurent été asphyxiés par le monoxyde de carbone.
La Chambre de commerce et d’industrie, par abréviation CCI Sersou, Tiaret, vit au rythme d’une élection très proche (avant fin janvier courant) mais reste paradoxalement sclérosée du fait de la conjugaison d’autres facteurs, dont deux ont sérieusement déteint sur ses activités.
Le secteur de l’éducation à Tiaret, en dépit des efforts louables et palpables que l’Etat consent pour le promouvoir et lui valoir un environnement socio-pédagogique, voire infrastructurel autrement meilleur, vit paradoxalement des situations ubuesques qui le condamnent fatalement à s’embourber et perdre de l’estime.
Pour mettre à disposition des éleveurs et notamment pour la transhumance en période dite « azabas» (période hivernal) par opposition aux «achabas» au niveau de la steppe, le HCDS (Haut Commissariat du développement de la steppe) a mis en «location dans la seule wilaya de Tiaret pas moins de 72 700 hectares de parcours pour permettre aux éleveurs de faire paître leurs troupeaux» indique un communiqué.
Alors qu’il est attendu ce jeudi dans la daïra de Oued Lili, ex-Diderot et ses deux communes que sont Sidi Ali Mellal et Tidda, avant-dernière étape avant d’aller à Mechraa Sfa (ex-Prévost-Paradol) et clore sa longue tournée des 42 communes de la wilaya, les sorties du chef de l’exécutif seront désormais ciblées.
S’il vous arrive d’évoquer le nom de Karman en milieu Tiaréti, beaucoup d’entre les présents supposeront que vous faites allusion à une contrée lointaine, en Iran par exemple.
En marge de sa visite dans la daïra de Meghila, au nord de la wilaya de Tiaret, jeudi dernier, le chef de l’exécutif a touché du doigt à un problème majeur, préoccupant et que d’aucuns ont tort de relativiser voire de sous-estimer la portée quand on se remémore les drames humains vécus depuis le début des années 1990 à ce jour.