Huit camions à bennes-tasseuses au profit de huit des 42 communes de la wilaya ont été remis en marge d’une cérémonie solennelle organisée dans l’enceinte du hall de la wilaya par les autorités locales sous la houlette du wali.
Inaugurée en grande pompe après bien de couacs et mise en service en 2008, la station d’épuration des eaux usées de Tiaret par abréviation «STEP-Tiaret» fait encore parler d’elle, plus de quinze années après sa réalisation, équipement et formation y compris par l’entreprise Allemande LIND.
Hier, cela faisait trois jours que les travailleurs de l’Entreprise publique de transport urbain ETUS-Tiaret étaient en grève du fait du «refus de la direction de les autoriser à tenir une assemblée générale élective et procéder à l’élection d’un nouveau syndicat à même de mieux les représenter». Cela suppose «le gel des activités de l’actuel syndicat avant terme», dénoncent certaines voix.
Après le déluge de commentaires sur la blogosphère après le tragique décès d’un patient, Dahmani Ahmed, âgé de 64 ans, atteint d’un cancer du poumon, dans son lit, apparemment «par asphyxie après un bref incendie provoqué par la victime qui voulait prendre une cigarette» selon la déclaration initiale du directeur d’hôpital Youssef Damerdji, Kaidi Sofiane, place aux enquêtes initiées simultanément et par le ministère de la santé qui a dépêché à Tiaret des inspecteurs et par les services de police judiciaire sous l’autorité de la justice qui ont procédé aux prélèvements d’usage.
Quatre jours durant, du 22 au 25 mai, ce sont 17 troupes musicales, issues de 15 wilayas, qui se sont succédé sur la scène de la maison de la culture Ali Maâchi de Tiaret, réaménagée après sa fermeture près de trois années durant, pour donner la pleine mesure de leur talent devant un public comblé.
De riches et denses activités ont été organisées, jeudi et vendredi, à Tiaret pour célébrer le 67e anniversaire de la Journée nationale de l’étudiant.
Avec la mise en service du bureau postal réhabilité à Zaaroura cette semaine, Algérie Poste continue d’étendre sa présence à travers le territoire de la wilaya. «Globalement, l’entité dispose de 85 bureaux disséminés à travers les 42 communes de la wilaya dont 21 à Tiaret-ville et un bureau itinérant», dira Mourad Selimani.
Le coup de starter a été donné lundi dernier en marge de la visite hebdomadaire au niveau du chef-lieu de wilaya de Ali Bouguerra, wali de Tiaret, accompagné du secrétaire général de la wilaya, le P/APW et certains directeurs d’exécutifs et le staff de l’assemblée populaire communale.
En marge de sa visite, jeudi passé, dans la lointaine localité de Zmalet El Emir Abdelkader, 166 kilomètres à l’extrême est de la wilaya, le chef de l’exécutif a décidé de «la suspension des opérations de forage par des agriculteurs et autres investisseurs à qui il a été octroyé des décisions dûment établies par la commission de wilaya du fait du stress hydrique que connaît la région de Tiaret à l’instar de beaucoup de régions du pays».
En marge des festivités du 78e anniversaire des évènements du 8 mai 1945, les autorités locales de Tiaret ont procédé au niveau de la ferme pilote Haider aux environs du chef-lieu de wilaya, à la remise de 125 actes de concession agricole à leurs bénéficiaires.
Une troisième grande opération de remises d’actes administratifs et de décisions d’octroi d’aides à la construction s’est déroulée lundi dernier à Aïn Deheb, en marge de la célébration du 78e anniversaire des douloureux événements du 8 Mai 1945.
La direction des moudjahidines et le département histoire de l’université de Tiaret, en présence de la famille révolutionnaire et du mouvement associatif local, ont célébré, avant-hier, la journée nationale de la mémoire.
Il s’agit de la quatrième édition du Festival national de la chanson engagée. 18 wilayas seront représentées à cette édition chacune avec une troupe musicale, exception faite à la wilaya hôte, Tiaret qui aura à présenter trois troupes.
La nouvelle de la perte de pas moins d’une trentaine de moutons au niveau d’une exploitation agricole d’élevage au lieu-dit Les Trois fermes relevant de la commune de Sebaine, 45 kilomètres au nord-est de Tiaret, a soulevé une vive polémique qu’ont amplifiée les réseaux sociaux au lendemain des fêtes de l’Aïd El Fitr.
Des dizaines de sportifs, présidents de ligues sportives, cadres et principaux acteurs du mouvement associatif de la wilaya de Tiaret ont organisé avant-hier un sit-in devant le nouveau siège de la jeunesse et des sports situé sur la route d’Alger pour une énième protestation sur la situation du secteur qu’ils considéraient comme sinistré.
Cela fait déjà neuf mois que le centre médical relevant de la commission des œuvres sociales de l’éducation de Tiaret a été mis en service.
«Quelque 64 fellahs ont été inscrits en plus des fermes pilotes pour être retenus au titre du plan de culture du tournesol que notre pays compte intégrer cette année alors que cette option constitue un autre défi à même d’atténuer la facture alimentaire et l’autosuffisance en matière d’huiles végétales».
Les Bleus de la JSMT joueront aujourd’hui gros face au leader, l’ES Ben Aknoun. Un duel footballistique qui mettra aux prises deux des quatre concurrents encore en lice bien que les hommes du coach Osmane auront l’avantage psychologique du terrain et de ce merveilleux public, qui n’a pas lésiné sur les moyens, il y a quelques jours, pour transformer le cœur battant de la ville, la place des martyrs, sous une marée humaine tout en transe et chantant à la gloire de cet éternel amour voué à «Ezzerga».
Bien que le développement de la pisciculture intégrée connaît un extraordinaire engouement de la part des agriculteurs, les produits halieutiques élevés localement, pour une centaine d’entre eux, n’arrivent pas encore dans les assiettes des citoyens de Tiaret, confrontés à la cherté des produits carnés, rouges ou blancs, alors que certains, à l’exemple de Bedrani Bedrane, pionnier dans cette activité, font face à certains aléas, surmontables, d’autant que les pouvoirs publics, tant centraux que locaux, misent sur ce segment pour participer, relativement, à freiner la dépendance.
Sur instruction du wali, assailli par une demande citoyenne sans cesse renouvelée, huit brigades conduite par le chef de daïra et composées d’unités de la police et de la gendarmerie et des services techniques habilités, un nouveau recensement vient d’être effectué pour recenser les familles qui résident réellement dans ces logements datant de la fin des années 1950 et dont certains menacent ruines.