En marge de sa dernière visite à Tiaret, le docteur Youssef Belmehdi, ministre des Affaires religieuses et des Waqfs, a procédé à l’inauguration de la grande salle des conférences de 2000 places, baptisée au nom du père de la sociologie moderne, Abderrahmane Ibn Khaldoun, sur proposition du membre du gouvernement.
En marge de la Journée internationale des forêts célébrée le 21 mars dans la capitale des Hauts-Plateaux de l’Ouest, Tiaret, beaucoup de projets, initiés localement, tant dans le cadre du PCD que de ceux instigués sous l’intitulé de l’initiative locale, ont été dévoilés par le chef de l’exécutif, Ali Bouguerra.
Deux cent soixante douze (272) hectares de terres dites vides labourables, situées dans le domaine forestier dans la wilaya de Tiaret ont été concédés à 212 personnes sur sept périmètres», a fait savoir un cadre de la conservation forestière de Tiaret en marge de la Journée nationale des forêts célébrée, jeudi, à Guertoufa une commune voisine du chef-lieu de wilaya, Tiaret.
Après plusieurs couacs, reports, boycotts mais aussi tractations et repositionnements revoilà un semblant de sérénité qui semble s’installer dans l’Assemblée populaire communale (APC) du chef-lieu de Tiaret.
Le dossier lié à l’évacuation des logements de fonction du secteur de l’éducation continue de susciter de grandes inquiétudes à Tiaret, à l’heure où le ministère de tutelle, la justice, voire certaines Assemblées populaires communales s’emploient à démêler l’écheveau d’un problème à la fois complexe s’il ne prenait pas en certains cas des contours dramatiques.
Parcours du combattant jeudi à Tiaret. Direction, Tousnina, «la ville des eaux» située à 35 km du chef-lieu où le chef de l’exécutif accompagné du secrétaire général de la wilaya et du P/APW sont allés s’enquérir des travaux de projets de trois forages devant constituer des apports supplémentaires à même d’atténuer, relativement, la crise de l’eau.
Les biens-vacants continuent de susciter les convoitises dont certains les plus immodérés. Si beaucoup de biens ont été transférés, sans problème, en application du décret 12-427 du 16 décembre 2012, d’autres, acquis, voire exploités suivant location, suscitent ici et là des grincements de dents.
Les voix citoyennes, de plus en plus audibles et véhémentes, s’expriment sur les réseaux sociaux, les médias et/ou dans presque toutes les discussions, y compris celles dans les chaumières pour décrire cet état lamentable de la chaussée dans la ville de Tiaret.
L’un des sept espaces commerciaux spécialement dédiés aux consommateurs durant le mois sacré par la direction du commerce a été ouvert ces derniers jours au niveau du centre commercial dit des 26 Locaux, plus connu localement par marché de Trig El Beidha.
L’espace d’un week-end, pas moins de 140 enfants souffrant de diverses pathologies liées à la cardiologie pédiatrique ont été diagnostiqués, orientés et certains d’entre eux indiqués la prescription appropriée», nous a déclaré, avant-hier, un cadre de la santé de la wilaya de Tiaret.
En marge de sa visite, hier, à Tiaret, le PDG de Sonelgaz, alors qu’il pénétrait une habitation précaire, a «instruit ses administrés à suspendre provisoirement l’alimentation en gaz jusqu’à ce que l’habitation en question soit mieux aérée».
Bonne et opportune initiative que celle organisée, hier, par la Ligue de wilaya de volley-ball de Tiaret qui, en organisant un séminaire à l’attention de techniciens, «tente d’impulser une nouvelle dynamique à travers cette volonté de voler un peu haut et sortir des ornières».
D’importants dossiers liés au commerce et subsidiairement aux préparatifs liés au mois du Ramadhan, l’aménagement urbain, l’agriculture et les travaux publics, entre autres, ont été au menu de la rencontre tenu ces derniers jours sous les auspices de Rabah Mourad Bezza, secrétaire général de la wilaya en l’absence, ce jour-là, du chef de l’exécutif. En plus du wali délégué de Ksar Chellala, Daoudi Tewfik et les chefs de daïra, la rencontre s’est tenue en présence des directeurs d’exécutifs.
Djamel Laroussi, né le 5 janvier 1964 à Tiaret, autodidacte, carrure imposante et verbe facile, incarne, localement, l’essence même d’un artiste passionné.
Secteur aux perspectives prometteuses qu’ont boosté plusieurs programmes gouvernementaux, l’agriculture à Tiaret est bien plus qu’une vocation que se transmettaient les gens de génération en génération.
La JSM Tiaret, club phare des Hauts Plateaux de l’Ouest du pays, vit l’une des pires crises depuis son existence en 1947. Et pour cause, moins de 20 jours après l’élection d’un président en lieu et place du directoire, voilà que des couacs surviennent.
Nadhora, à 70 km de Tiaret, a été, jeudi, une étape pleine d’appréhensions, de prise de décisions mais aussi d’heureuses perspectives pour les populations de cette région qui ont longtemps pâti des conséquences de l’enclavement mais aussi du terrorisme.
Cataloguée comme région recelant d’excellentes terres à hauts rendements céréaliers, mais handicapée par la faiblesse de ressources hydriques, Oued-Lilli (ex-Diderot), qui englobe plusieurs centaines de douars, sort des ornières, en dépit des préjugés, des séquelles induites par les effets ravageurs du terrorisme mais aussi et surtout par cette aspiration citoyenne légitime de se hisser au diapason du développement.
«La wilaya déléguée de Ksar Chellala, qui s’étale sur 12 390 km2 et ses 164 000 habitants disséminés à travers six communes, dispose déjà d’infrastructures administratives acceptables et jouit d’atouts hydro-agricoles inestimables nonobstant sa position géographique à cheval sur plusieurs routes nationales qui la prédispose à un développement harmonieux, notamment en matière agricole et d’élevage», a déclaré Brahim Mered, ministre de l’intérieur et des collectivités locales et de l’aménagement du territoire, jeudi dernier, en marge de la cérémonie tenue dans la salle des conférences Houari Boumediene pour officialiser l’installation de Tewfik Daoudi en tant que wali déléguée de cette nouvelle entité administrative qui englobe six communes dont le chef-lieu Ksar Chellala.
Le wali de Tiaret a gelé officiellement les activités de l’APC de Rahouia, ex-Montgolfier, 40 km au nord de Tiaret alors que ses membres s’étaient fourvoyés depuis des mois dans d’inextricables dissensions qui ont handicapé le développement dans cette importante localité céréalière de la région.