Le changement climatique, ou réchauffement de la terre causé par les gaz à effet de serre produits principalement par l’activité humaine, est aujourd’hui ressenti partout dans le monde. L’agriculture étant considérée comme secteur économique le plus sensible aux effets négatifs de ce phénomène.
Le ministre de l'Agriculture, Youcef Cherfa, lance un programme national pour la construction de 30 silos de stockage de céréales, visant à renforcer la sécurité alimentaire en Algérie.
La réunion du Gouvernement de ce jeudi a eu à l'ordre du jour la sécurité alimentaire et hydrique, le développement économique local et l'urbanisme.
Depuis le début du XXe siècle, l’Afrique a connu pendant plusieurs décennies un déclin généralisé de la qualité des sols agricoles, un phénomène qui se poursuit aujourd’hui et qui a un impact négatif sur la capacité de production agricole et la sécurité alimentaire du continent.
La quête d’amélioration du niveau de vie des habitants de la planète nécessitera une utilisation plus importante des engrais dont la production est fortement liée au gaz naturel.
Dans le cadre des efforts visant à améliorer les capacités de stockage et à garantir la sécurité alimentaire, la wilaya de Annaba se voit attribuer d’importants projets. Le wali de Annaba, Abdelkader Djellaoui, a annoncé le lancement de la construction de silos et de quatre centres de proximité dédiés au stockage des céréales.
Le Conseil de sécurité a tenu, hier soir, à la demande de l’Algérie et de trois autres pays, une séance publique sur la sécurité alimentaire à Ghaza.
Sur les plans agricole et agroalimentaire, aux perturbations ayant marqué l’année 2023 en matière de distribution de certains produits de base et la flambée des prix qui s’est poursuivie tout au long de cette période poussant l’inflation vers le haut, des changements positifs étaient également au rendez-vous.
Le monde devrait abriter près de 10 milliards de personnes d’ici 2050. Nourrir durablement cette population en pleine explosion nécessite de relever simultanément les défis auxquels sont confrontés, à la fois, les personnes, l’environnement et le climat. Et le dessalement semble être la meilleure solution à l’équation : souveraineté alimentaire et stress hydrique.
Plus fréquentes, intenses et étendues chaque année, les canicules sont les événements climatiques extrêmes les plus meurtriers dans le monde.
La question de la sécurité alimentaire en Afrique était au centre des dossiers abordés lors du dernier sommet Afrique-Russie à Saint-Pétersbourg.
Dans son discours d’ouverture de la cérémonie d’inauguration, le premier responsable du groupe, Malik Rebrab, a attesté que le projet de trituration des graines oléagineuses ne se limite pas seulement à un enjeu économique, car il est question aujourd’hui de garantir la sécurité alimentaire.
Les travaux de la 49e conférence de l’Organisation africaine des assureurs (OAA) se sont poursuivis hier, avec au menu des débats sur l’évolution du secteur des assurances en Afrique.
Chercheuse en agroalimentaire, spécialiste de la sécurité alimentaire et ancienne directrice du Centre de recherche scientifique et technique sur les régions arides (CRSTRA) de Biskra, Fattoum Lakhdari est revenue, par les chiffres et les analyses, pour décortiquer la problématique de la sécurité alimentaire dans le monde arabe, lors d’une conférence pertinente donnée dimanche dernier 28 mai, au premier jour de la rencontre scientifique organisée à l’Ecole nationale supérieure de la biotechnologie de l’université Salah Boubnider à Constantine.
Dans de nombreux pays arabes, on n’arrive pas à subvenir aux besoins de la moitié de la population, et le recours à l’importation, très coûteux déjà, ne sera plus la solution.
La part de l’agriculture dans le produit intérieur brut (PIB) des pays africains se situe en moyenne entre 30 et 50%, d’où «la nécessité de sensibiliser les agriculteurs africains à souscrire à l’assurance agricole afin de couvrir les risques climatiques et autres (…)», a plaidé le secrétaire général de l’OAA.
Dans son allocution d’ouverture officielle du Salon, le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Abdelhafid Henni, a dévoilé une série de mesures visant à stimuler le secteur agricole en Algérie et à atteindre l’autosuffisance alimentaire.
Le Centre de recherche scientifique et technique des zones arides Omar El Barnaoui de Biskra organise depuis dimanche des journées portes ouvertes consacrées aux résultats de la recherche en matière de développement de ces régions pour assurer la sécurité alimentaire.
Dans notre dynamique à couvrir le chantier de la transformation agricole en Algérie, El watan s’est adressé à une administration centrale de l’orientation de l’activité agricole qu’est l’Office national des terres agricoles (ONTA). Au siège de Birtouta, nous avons pu nous entretenir avec son directeur général, Lanasri Mohammed Ameziane, un cadre issu du domaine agricole qui maîtrise parfaitement son sujet et avec qui nous avons pu revoir toute l’historiographie de l’activité agricole en Algérie.
N’obéissant à aucune règle de frontières, la Covid-19 s’est propagée dans pratiquement tous les pays du monde, plongeant de plus en plus de personnes, les enfants en particulier, dans l’insécurité alimentaire et la malnutrition chronique.