A chaque approche du mois sacré de Ramadhan, la scène se répète dans les grandes surfaces : files d’attente interminables, paniers remplis à ras bord et étagères vidées en un temps record. Comme partout dans le pays, Mascara et ses communes connaissent une frénésie d’achats, notamment pour les produits alimentaires de première nécessité.
Par ailleurs, le directeur du commerce se veut rassurant quant à l'approvisionnement en fruits et légumes pendant le mois sacré. La wilaya de Mascara, à forte vocation agricole, bénéficie non seulement de sa propre production, mais aussi d'un important afflux de marchandises en provenance d'autres régions du pays.
La première édition de la festivité nationale dédiée au tourisme de montagne et à l'hébergement chez l'habitant a été un succès.
Une année après le début du processus de fabrication local de ses véhicules, l’usine Stellantis d’Oran d’où sortent actuellement deux modèles de la marque Fiat, à savoir la citadine 500 et le Doblo utilitaire, nous a ouvert ses portes pour une visite au cœur de sa fabrication automobile. L’occasion de découvrir un pan du tissu industriel de ce projet. Retour sur la visite de l’usine Fiat de Tafraoui (Oran) qui fait la fierté du pays.
L’usine Fiat de Tafraoui amorce les prochaines étapes de son ambitieux projet industriel en Algérie, en annonçant la tenue de sa 2e convention internationale de fournisseurs pour accélérer le développement de la filière automobile algérienne.
La première puce électronique algérienne sera réceptionnée au mois de mars prochain. L’annonce a été faite récemment par le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari. Cette réalisation est à mettre au crédit du Centre de développement des technologies avancées (CDTA).
Le phénomène des jets de pierres sur les trains en Algérie a pris une ampleur inquiétante, impactant gravement la sécurité des voyageurs et des agents ferroviaires, tout en générant des coûts considérables pour la Société nationale des transports ferroviaires (SNTF).
Il y a un demi-siècle, j’ai vécu de telles scènes. A proximité de chaque gare, entre Alger et Tizi Ouzou, les enfants jetaient déjà des cailloux sur les trains.
Après la récente dépollution de son atmosphère des épaisses émanations de sa cimenterie, un mélange d’acide silicique d'alumine, d'oxyde de fer et de chaux, voici que pointe celle de ses deux plages splendidement serties, l’une à l’est et l’autre à l’ouest, en façade maritime de son tissu urbain étagé en amphithéâtre depuis ses hauteurs en arrière-plan. Virée dans l’actualité et les méandres du passé de «Béni-Saf ezzine»…
«C’est la première fois que la civilisation humaine fait face à un risque d’effondrement. Je pense que nous pourrions un jour disparaître à cause des abeilles.» Cette perspective du professeur Paul R. Ehrlich, biologiste à l’Université Stanford, résonne particulièrement dans les monts de Béni Chougrane, à Mascara, où des apiculteurs assistent impuissants à la disparition de leurs ruches.
On continue notre aventure au cœur des différentes contrées de l’Algérie profonde. On découvre à chaque fois combien l’histoire de notre pays est plusieurs fois millénaire et on réalise surtout combien les potentialités touristiques de notre pays sont énormes… des potentialités qui attendent juste d’être exploitées et mises en valeur.
C’est sous un ciel clair, malgré une fraîcheur matinale en ce mardi 19 novembre, que l’équipe médicale du secteur de la santé a investi la mechta d’El Hmaïde. Nichée dans une zone rurale à 15 km au sud-ouest de Constantine, cette localité de la commune de Aïn Smara, paisible et isolée, a été le théâtre d’une initiative sanitaire visant à rapprocher les soins des populations démunies.
Nous avons scindé notre programme de solidarité en plusieurs volets. Le premier consiste en l’opération de distribution de couffins alimentaires.
Pas moins de 45 120 familles nécessiteuses benificieront de la prime de solidarité. Les organisations humanitaires ont mobilisé leurs volontaires, sollicitant aussi leurs bienfaiteurs pour distribuer des couffins alimentaires.
En débarquant à Dakar et au premier abord du centre-ville historique, il y a un constat évident de pauvreté, ne serait-ce que par le nombre d’enfants qui mendient ou des adultes interpellant, certes plus discrètement, les passants pour quémander de quoi nourrir leur progéniture.
On les croyait anéantis et leur doléance définitivement satisfaite, car personne n’évoque leur cas, et ce, depuis longtemps. Ils habitaient des maisons de fortune datant de l’ère coloniale.
En quittant la ville de Boghni, vers le sud de l’agglomération, une plaque de signalisation indique que Tala Guilef est à 15 kilomètres. «Cela vaut le coup d’y aller», nous dit un citoyen à qui nous avons demandé comment s’y rendre. Nous avons ainsi pris la route vers ce site touristique en empruntant la RN 30 B en passant par Ath Mendès.
-Malgré la dégradation de la route, beaucoup de gens préfèrent se rendre à Tala Guilef. Comment voyez-vous ce regain d’intérêt affiché par les visiteurs pour cette zone touristique ? L’accès à Tala Guilef se fait via la route nationale 30 B qui est certes dégradée. Elle n’a pas été réhabilitée parce qu’il y a encore des travaux au niveau de l’hôtel qui seront achevés dans peu de temps. Une fois ce complexe mis en service, ce tronçon connaîtra une opération de revêtement et d’entretien. Avec la relance de l’activité hôtelière à Tala Guilef, il y aura beaucoup d’améliorations. Le tronçon routier sera également refait de façon à permettre aux visiteurs de s’y rendre sans difficultés. C’est juste une question de temps. Effectivement, il y a beaucoup de gens qui viennent à Tala Guilef durant toutes les journées de la semaine, et ce, pour la plupart dans le cadre des randonnées organisées par des agences de voyages. Toutefois, il est important de souligner qu’il y a des groupes qui, une fois partis le soir, laissent leurs déchets partout dans la forêt, ce qui empeste l’environnement. Il y a des dépotoirs qui se multiplient dans le site et défigurent le paysage.
Palace Jugurtha, luxueux établissement hôtelier à l’ouest de Gafsa, au bord de la route qui mène à la frontière algérienne à une trentaine de kilomètres à vol d’oiseau.
Il était midi, par cette journée relativement froide et ensoleillée du mois de novembre. Un léger brouhaha, caractérisé par une certaine tristesse et douleur régnait dans la salle d’attente du centre anti-cancer du CHU Dr Benbadis de Constantine. Un service enveloppé dans un décor austère. Attaf a pris place dans un coin, observant les patients qui attendaient leur tour.