Lors d’une visite dans la wilaya de Laghouat, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, a inauguré un programme de formation dédié aux logiciels et à l’Intelligence artificielle (IA).
Le recours aux compétences nationales installées à l’étranger est aussi un moyen de favoriser les échanges à l’international pour plus d’efficacité dans cette démarche de développement de ces nouveaux outils.
Une université pékinoise a conçu un environnement 100% simulé où des patients virtuels seront pris en charge par une IA médicalisée. Le but est de former les futurs professionnels de santé.
L’impact de l’intelligence artificielle (IA) sur les métiers du journalisme et des médias a été discuté lors d’une conférence-formation organisée jeudi au siège de l’agence Algérie Presse Service (APS) à Alger.
Implantée au sein du campus de l’université de Ouargla, la maison de l’intelligence artificielle dans la wilaya de Ouargla n’en demeure pas moins un espace ouvert sur la société et qui organise une série de programmes de formation simplifiés destinés aux élèves des paliers moyen et secondaire.
Le représentant de l’Agence de développement de l’Union africaine (AUDA-NEPAD), George Murumba, a relevé l’importance de la coopération entre les pays africains, plus particulièrement ceux qui sont leaders dans le domaine des start-up.
La chercheure émérite au CNRA (Centre national de recherches archéologiques), Ferdi Sabah, représentante algérienne de la rive sud de la Méditerranée, a été conviée à participer à la dernière conférence du COMEN (Colloques interculturels méditerranéens), une manifestation culturelle organisée à Naples (Italie) du 13 au 15 octobre 2024, sous le thème : «Intelligence artificielle et les scénarios possibles, seront-ils un monde meilleur ?» L’archéologue algérienne, qui participe pour la seconde fois, a mis l’accent dans sa conférence sur l’antiquité classique, l’IA et le dialogue interculturel.
Le 2e Colloque national sur «La révolution numérique dans la santé : applications et impacts de l'intelligence artificielle», organisé jeudi, à l'université Larbi Tebessi de Tébessa, a mis en lumière l’importance de l’intelligence artificielle (IA) pour le secteur de la santé en Algérie.
Dans cet entretien, Nassima Khouader revient sur l’introduction de l’intelligence artificielle dans le domaine de la pharmacie, ses avantages mais aussi ses inconvénients.
Nadir Filali, directeur de l’agence Eleven Events, est organisateur du Salon international du bâtiment et de l’aménagement (Batimex). Il revient sur cette manifestation, l’une des plus importantes en matière de construction et de bâtiment en Algérie.
Le Fonds monétaire international commence à s’interroger sérieusement sur l’impact que peut avoir l’intelligence artificielle (IA) sur l’économie mondiale. «Nous sommes sur le point de vivre une révolution technologique susceptible de stimuler la productivité, de donner un coup de fouet à la croissance mondiale et d’élever les revenus dans le monde entier.
Le Premier ministre chinois, Li Qiang, a plaidé, hier, pour l’instauration de «lignes rouges pour s’assurer que le développement de l’intelligence artificielle bénéficie au progrès de l’humanité».
Deux quotidiens de l’est de la France, L’Est Républicain et Vosges Matin, vont expérimenter l’usage de ChatGPT «dans le cadre strict de relecture et de corrections de contenus proposés par nos correspondants locaux de presse», a indiqué leur propriétaire, le groupe Ebra.
Les implications de l’Intelligence artificielle (IA) sur trois grands domaines d’intérêt macroéconomique : la croissance de la productivité, le marché du travail et la concentration industrielle ont fait l’objet d’une étude du Fonds monétaire international (FMI) publié récemment. Il en ressort que l’IA n’a pas d’avenir prédéterminé et peut se développer dans des directions très différentes.
Cet article fait suite à une conférence donnée lors des Journées scientifiques internationales qui se sont tenues à l’Ecole supérieure d’économie d’Oran, du 9 au 11 décembre. Le thème général de cette première édition est «L’intelligence économique à l’aune de l’intelligence artificielle : les enjeux pour la compétitivité».
Du 9 au 11 décembre, l’Ecole supérieure d’économie d’Oran, en partenariat avec les laboratoires de recherche Lareem et Lamape, organise un colloque international dont la thématique est «L’intelligence économique à l’aune de l’intelligence artificielle : les enjeux pour la compétitivité.»
Une enquête menée par deux médias de la gauche israélienne, le magazine Local Call et le site +972, confirme l’utilisation, par l’armée d’occupation, de l’intelligence artificielle pour «cibler délibérément et massivement» des civils palestiniens à Ghaza. Basée sur plusieurs entretiens obtenus auprès de nombreux officiers du renseignement, de personnes travaillant pour le compte de l’aviation mais aussi sur des témoignages de victimes palestiniennes, les investigations lèvent le voile sur «l’usine d’assassinats de masse» à Ghaza.
Après les bombes à phosphore blanc interdites d’utilisation pour ses effets dévastateurs, l’armée israélienne a utilisé durant les dernières 48 heures les bombes anti-bunker, à ogives perforantes, utilisant l’intelligence artificielle, appelées «usine d’assassinats en masse». Acquises auprès des Etats-Unis, principal fournisseur d’armes à l’entité sioniste, elles font partie d’un important arsenal livré depuis le 7 octobre dernier, qui comporte 15 000 bombes des plus mortelles, parmi lesquelles 57 000 obus d’artillerie, 5000 bombes non guidées (MK-82) et 5400 bombes à ogives (Mk-84). Leur utilisation durant les dernières 48 heures a fait des centaines de morts.
De nombreuses dérives ont été commises par des journalistes du web, voulant à tout prix faire le buzz et l’exclusivité.
L’étude de McKinsey a aussi insisté sur l’importance du talent en tant que source-clé dans le développement d’un avantage concurrentiel. Le manque de talents est l’un des principaux problèmes qui freinent la croissance, estiment les rédacteurs de l’étude.