A l’occasion de l’inauguration, hier, du Salon national de la production et de l’exportation, qui se tient du 5 au 7 novembre au complexe Ahmed Bey (Zénith) de Constantine, le ministre du Commerce, Tayeb Zitouni, a salué les progrès accomplis dans le domaine de la production locale, soulignant : «Nous progressons vers une maîtrise progressive et rationnelle de nos flux commerciaux, tant pour les importations que pour les exportations, de sorte que l’exportation ne devienne ni un fardeau pour nos produits et besoins nationaux, ni une source de fuite de devises et de gaspillage de ressources étrangères.
Grâce aux mesures de régulation et de rationalisation des importations, la facture a enregistré une baisse passant de 44 milliards USD en 2023 contre 60 milliards USD auparavant.
Le ministère du Commerce et de la Promotion des exportations a annoncé, jeudi dans un communiqué, la réouverture de la plateforme numérique de gestion du certificat de respect des conditions et des modalités requises pour exercer l’activité d’importation de matières premières, produits et marchandises destinés à la revente en l’état, en vue de permettre aux opérateurs économiques de renouveler et d’actualiser leurs certificats.
Le Premier ministre, Nadir Larbaoui, a présidé, mardi dernier, une réunion du Haut conseil de régulation des importations, indique un communiqué des services du Premier ministre.
En termes d’indices de valeurs unitaires à l’importation, l’ONS indique que les prix à l’importation ont enregistré une baisse en 2023. Cela concerne toutes les catégories de produits ont enregistré des diminutions des prix à l’importation de marchandises.
Le ministre du Commerce, Tayeb Zitouni, a révélé, aujourd’hui mardi, l’approvisionnement du marché de plus de sept milles (7000) tonnes de viande rouge et blanche par les importateurs privés et publics.
En défendant son bilan qu'il qualifie de «positif», Aïmene Benabderrahmane a livré des chiffres et des détails sur les mesures prises à tous les niveaux : économique, social et politique, dans l'unique but, assure-t-il, d'améliorer le pouvoir d'achat des citoyens.
Après une longue période marquée par des restrictions aux importations, le ministère du Commerce et de la Promotion des exportations annonce l’assouplissement de ces opérations via le recours à la numérisation.
Après l’Egypte, l’Algérie est le plus grand importateur d’Afrique du Nord de bovins destinés à l’abattage et à la production laitière. En effet, chaque année, plus de 100 000 têtes, en moyenne, sont importées, dont des reproducteurs, des bovins d’engraissement et d’autres de boucherie.
Le ministre du Commerce et de la Promotion des exportations, Tayeb Zitouni, a affirmé que l’importation ne doit pas être «une culture» chez les importateurs qui sont appelés, en revanche, à s’orienter vers la production locale de ce qu’ils importent. M. Zitouni a indiqué que son ministère œuvrait à élaborer une série de décisions visant à plafonner les marges bénéficiaires de certains produits de large consommation.
Le chef de l'exécutif de Hongkong, John Lee, a annoncé mardi que son gouvernement avait décidé de mettre en place immédiatement des réductions sur les importations de certains produits alimentaires japonais.
Après l’installation du Conseil national consultatif de promotion des exportations le 31 juillet dernier pour assurer la régulation et l’évaluation de la stratégie nationale en la matière, le chef de l’Etat a officiellement mis en place ce 2 août un autre conseil.
Dans une mise à jour du Département américain de l’agriculture (USDA), publiée ce mois de juillet, les importations de blé de l’Algérie pour la saison 2023/2024 s’annoncent en hausse.
La levée des contraintes sur les importations des intrants et matières premières sera au menu d’une réunion tripartite dans les jours à venir, devant regrouper le ministère de l’Industrie et de la Production pharmaceutique, les représentants de l’Agence nationale de la promotion du commerce extérieur (Algex) et les opérateurs économiques.
Le ministère du Commerce et de la Promotion des exportations œuvre actuellement à dresser un état des lieux de la situation actuelle par rapport au dispositif mis en place en 2022 qui vise à recadrer l’importation destinée à la revente en l’état.