Le président russe, Vladimir Poutine, a annoncé le week-end dernier que Moscou allait déployer des armes nucléaires «tactiques» au Bélarus, suscitant l’inquiétude en Ukraine et en Occident. Des responsables russes ont émis à plusieurs reprises des menaces à peine voilées de se servir de l’arme nucléaire en Ukraine en cas d’escalade significative du conflit.
A l’heure où la guerre en Ukraine ravive les peurs liées à l’arme nucléaire, le nombre d’ogives opérationnelles dans le monde a augmenté l’an dernier, selon un nouveau rapport.
Après Huawei, TikTok. Un nouvel épisode de la guerre technologique que se livrent les Etats-Unis et la Chine est en train de se jouer, autour cette fois de l’une des plus populaires plateformes vidéo et de réseautage social.
L’Arménie a accusé hier l’Azerbaïdjan d’occuper de nouveaux territoires arméniens, au deuxième jour d’une escalade militaire entre les deux voisins qui a fait plus de 150 morts, rapporte l’AFP.
Mises à mal par la puissance de feu russe, les forces ukrainiennes fondent désormais leurs espoirs sur l’arrivée d’armements lourds réclamés sans relâche aux alliés occidentaux, comme les lance-roquettes multiples américains Himars, dont Kiev a annoncé l’arrivée jeudi en prédisant que «l’été sera chaud pour les occupants russes».
La guerre en Ukraine pourrait durer «des années». C’est ce qu’a indiqué le secrétaire général de l’Otan, Jens Stoltenberg, dans une interview publiée hier par le quotidien allemand Bild, relayé par l’AFP, exhortant les pays occidentaux à inscrire leur soutien à Kiev dans la durée.
La menace du stress hydrique dans notre pays est une réalité bien connue de tous. Certaines études nous placent parmi les 30 nations mondiales se trouvant sous le couperet de la sécheresse.
Avec cette trêve, l’objectif sur le long terme est de donner aux Yéménites l’espoir que ce conflit puisse se terminer. Après sept ans d’intervention, la coalition commandée par les Saoudiens n’a pas réussi à déloger les rebelles des régions conquises dans le nord du pays.
Les conséquences économiques de la guerre en Ukraine vont impacter différemment les pays de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA), selon la Banque mondiale, dans le sillage des chocs liés à la hausse des prix des produits alimentaires, l’augmentation de ceux du pétrole et du gaz, et le risque qui pourrait affecter les flux de capitaux privés vers les marchés émergents, les transferts de fonds et le tourisme.
On le sait : dans toute guerre, les affrontements ne se passent pas que sur le champ de bataille mais aussi sur le terrain médiatique. Sur celui de la communication. On voit ainsi très rapidement se mettre en place, plus qu’une communication de crise, une communication de guerre, faisant la part belle à la propagande.
Le Haut-Commissariat aux droits de l’homme s’est inquiété vendredi de l’annonce de Meta, la maison-mère de Facebook et Instagram, de faire des exceptions à son règlement en ne supprimant pas des messages hostiles à l’armée et aux dirigeants russes.
Les Ukrainiens ont reporté samedi 5 mars l'évacuation des civils du port stratégique de Marioupol, invoquant des violations du cessez-le-feu par les forces russes qui assiègent cette ville et avancent ailleurs dans le pays.
Le panier de l’OPEP, constitué de prix de référence de 13 pétroles bruts, dont le Sahara Blend algérien, s'est établi à plus de 117 dollars à la fin de la semaine en cours, son plus haut niveau depuis mai 2008.
Les membres de l’Organisation du traité de l'Atlantique nord (OTAN) ont rejeté hier la demande de Kiev de créer une zone d’exclusion aérienne en Ukraine, rapporte l’AFP. Décision prise pour éviter de se laisser entraîner dans le conflit, selon le secrétaire général de l’Alliance, Jens Stoltenberg. «La question a été évoquée et les alliés ont convenu que nous ne devrions pas avoir d’avions de l’OTAN opérant dans l’espace aérien ukrainien ou des troupes de l’OTAN au sol, car nous pourrions nous retrouver avec une guerre totale en Europe», a-t-il expliqué au terme d’une réunion d’urgence des ministres des Affaires étrangères de l’Alliance à Bruxelles.
L a courbe des prix du pétrole continuait hier sa progression, lors de la séance de clôture de la semaine qui a connu la plus forte hausse en une décennie dans le sillage de la crise ukrainienne.
L'Ukraine table sur un troisième round des négociations avec la Russie ce weekend, a déclaré vendredi 4 mars l'un des négociateurs ukrainiens, Mykhaïlo Podoliak, conseiller du chef de l'administration présidentielle.
La Russie, qui est le deuxième plus grand exportateur de pétrole brut au monde, représente plus de 40% des importations annuelles de gaz naturel de l’Union européenne.
«Nous avons marché des heures et des heures pour arriver au poste de police de la frontière polonaise, où nous avons subi d’éprouvantes attentes et des bousculades. Des scènes vraiment difficiles à décrire», raconte notre interlocuteur.
Trop souvent oublié lors des conflits armés, l’environnement est également une victime de guerre. Pollution de l’air, érosion des sols, destruction de forêts, pollution des mers… Tant de conséquences environnementales qui, à long terme, deviennent, elles aussi, un fléau.
Les prix du pétrole continuaient leur flambée mercredi 2 mars, le baril de Brent dépassant les 110 dollars pour la première fois depuis 2014, poussés par la guerre en Ukraine et les craintes pour l'approvisionnement mondial.