Les militaires israéliens en voyage à l’étranger sont de plus en plus menacés de poursuites pour leur participation à la guerre génocidaire à Ghaza. Si l’Australie et la Nouvelle-Zélande imposent aux soldats demandeurs de visa un questionnaire sur leur service militaire à Ghaza, de nombreux autres pays ont ouvert des enquêtes pour crimes de guerre, après les plaintes déposées par des associations pro-palestiniennes, dont la fondation belge «Hind-Rajab», qui traque les soldats israéliens à travers le monde.
Non seulement il a décidé d’expulser la population de Ghaza et de faire de l’enclave un produit commercial immobilier, sur lequel il prendra le contrôle, Trump vient d’accorder à Israël le transfert d’une importante livraison d’armes, notamment des bombes Hillfir, à destruction massive, que nombreux de ses prédécesseurs lui ont refusées pour leurs impacts. En effet, le gouvernement américain a approuvé deux gros contrats de vente d’armement à Israël, d’une valeur de 7,5 milliards de dollars.
Ce n’est pas «la démocratie. Ce n’est pas une personne, un vote. Ce n’est pas ce que ce pays est censé représenter», a déploré Sanders, et paraphrasant le Président Abraham Lincoln qui avait parlé d’un «gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple», il en tire la conclusion que «aujourd’hui, nous avons un gouvernement de la classe des milliardaires, par la classe des milliardaires, pour la classe des milliardaires».
Ce n’est pas «la démocratie. Ce n’est pas une personne, un vote. Ce n’est pas ce que ce pays est censé représenter», a déploré Sanders, et paraphrasant le président Abraham Lincoln qui a parlé d’un «gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple», il en tire la conclusion qu'«aujourd’hui, nous avons un gouvernement de la classe des milliardaires, par la classe des milliardaires, pour la classe des milliardaires».
A présent que l’année 2024 a touché à sa fin, il est loisible de réfléchir plus pleinement au génocide infligé par Israël au peuple de Ghaza.
Après plus de 450 jours d’un génocide contre la population de Ghaza ordonné par Benyamin Netanyahu et les suprémacistes racistes de son gouvernement, incarnés, entre autres, par Smotrich et Ben Gvir, les dirigeants sionistes n’arrivent toujours pas à admettre leurs défaites.
La preuve de l’engagement, sans faille, et du soutien à toute épreuve envers Israël de la part d’une administration américaine sur le départ vient encore d’être fournie récemment.
Dans son dernier rapport, Amnesty International a affirmé sur la base d’une enquête documenté qu’Israël «a commis et continue de commettre un génocide contre la population de Ghaza». Le rapport a été précédé par la publication par des médias américain et britannique, de nombreux aveux glaçants de soldats israéliens sur les crimes de guerre commis à Ghaza.
Une guerre civile atroce plonge, depuis plus de deux ans, l’un des pays parmi les plus grands d’Afrique. Le peuple soudanais paye un lourd tribut à un conflit qui ne le concerne pas. Le silence de la communauté internationale et celui de la Ligue arabe ajoutent à l’incompréhension.
Le département d’Etat américain a nié toute preuve sur le fait qu’Israël commet un génocide à Ghaza, en réponse au rapport d’un groupe spécial de l’Onu, qui a affirmé le contraire. Pour les experts onusiens, l’armée sioniste a largué plus de 25 000 tonnes d’explosifs sur l’enclave, soit l’équivalent de deux bombes nucléaires. Pour eux, «les destructions massives qui en ont résulté sont conformes aux caractéristiques d’un génocide» et «auront un impact sur la santé des Ghazaouis pendant des générations». Les etats-unis ont déclaré «ne pas avoir constaté de déplacements spécifiques» de civils, qualifiés par HRW de «crime contre l’humanité», et justifié le comportement de l’armée israélienne.
Les stades sont devenus des espaces d’expressions de solidarité. Les supporters utilisent des gradins pour exprimer leur soutien aux populations de Ghaza et du Liban, victimes de bombardements intenses et d’un blocus sévère.
Benedicto Lucas Garcia, 92 ans, déjà condamné pour crimes contre l’humanité, est accusé d’avoir joué un rôle dans le massacre de plus de 1200 indigènes mayas ixils entre 1978 et 1982, alors que son frère était au pouvoir.
Tout au long de ces 7 mois d’agression contre les populations civiles palestiniennes, on a pu se rendre compte à quel point le degré d’inhumanité a été chaque jour dépassé par les ordonnateurs du génocide et de l’épuration ethnique qui n’épargnent ni femmes ni enfants.
Les crimes de guerre commis par l’armée israélienne d’occupation contre les Palestiniens de la bande de Ghaza se suivent et malheureusement ne se ressemblent pas.
Deuxième plus grand fournisseur d’armes d’Israël (après les Etats-Unis), l’Allemagne fait face à deux plaintes devant ses tribunaux et une troisième devant la Cour internationale de justice (CIJ), la plus haute juridiction de l’Onu, devant laquelle elle a comparu mardi dernier pour «complicité» et «facilitation» de génocide à Ghaza. Au début du mois de novembre dernier, ses ventes ont atteint 300 millions d’euros, soit dix fois plus que l’année précédente.
Ouvertes hier, les audiences relatives à la requête d’indication introduite le 15 mars dernier par le Nicaragua, devant la Cour internationale de justice (CIJ), la plus haute juridiction de l’Onu, contre l’Allemagne pour «complicité» de génocide à Ghaza, ont été entamées par les exposés de l’équipe juridique du Nicaragua, au Palais de la Paix, à La Haye, aux Pays-Bas, et doivent se terminer aujourd’hui avec les plaidoiries de la partie allemande.
Le camp des alliés d’Israël se fragilise de plus en plus, en raison de la guerre génocidaire menée à Ghaza, notamment depuis l’assassinat des sept humanitaires, dont quatre étrangers, de l’Ong WCK (World Central Kitchen), par des raids sionistes ainsi que l’adoption par le Conseil des droits de l’homme de l’Onu, d’une résolution pour un blocus sur les armes destinées à Israël.
Le Hamas affirme qu’il «ne renoncerait pas» à ses exigences pour un cessez-le-feu avec Israël, tout en annonçant l’envoi d’une délégation aux discussions du Caire.
Dans sa réponse à la nouvelle demande sud-africaine, devant la CIJ (Cour internationale de justice), de mesures conservatoires additionnelles contre le génocide à Ghaza, l’Etat hébreu s’est contenté de s’attaquer de manière virulente à Pretoria, en qualifiant la requête de «scandaleuse» et «répugnante». Il fait le déni des neuf injonctions décrétées par la CIJ le 26 janvier et réaffirmées le 16 février dernier par cette haute juridiction onusienne.
Le porte-parole du Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef), James Elder, a rapporté que plus de 13 000 enfants ont été tués à Ghaza, théâtre d’une guerre génocidaire sioniste depuis le 7 octobre 2023.