Les prix du gaz en Europe ont atteint un niveau inédit depuis deux ans, alors que les réserves de gaz souterraines sont tombées sous les 50%, entraînant un rythme de retrait parmi les plus élevés jamais enregistrés en cette période de l’année, en raison d’une consommation hivernale soutenue.
Le Premier ministre britannique tentera de convaincre Trump sur le fait que Kiev doit être impliqué dans les négociations pour mettre fin au conflit ukrainien, alors que Washington a choqué l’Europe en entamant ces négociations avec la seule Russie.
Des propos du vice-président américain au Wall Street Journal ont semblé rassurer le président ukrainien. Les Etats-Unis auront «à cœur l’indépendance souveraine de l’Ukraine» dans les négociations à venir, a dit le numéro 2 américain.
La tournée du chef de la diplomatie chinoise intervient alors que le retour de Trump à la Maison Blanche ne fait qu’augmenter la tension avec Pékin sur moult sujets.
Les pays européens ont importé, en 2024, 11,27 millions de tonnes de gaz naturel liquéfié (GNL) algérien, soit 97% des exportations totales du pays, rapporte l’Unité de recherche sur l’énergie basée à Washington, Attaqa.
La demande accrue de remplissage des réserves en Europe se reflète dans les prix élevés du gaz pour les mois d’été. Des cours qui sont plus chers que ceux contenus dans les contrats couvrant l’hiver 2026. Un phénomène inhabituel qui s’est produit pour la dernière fois fins 2021 et 2022.
L’expiration de l’accord de transit du gaz russe à destination de l’Europe a provoqué une hausse des prix du gaz sur le Vieux continent et met une pression supplémentaire sur le stress énergétique que connaît l’Europe depuis le début de la guerre en Ukraine.
Selon cette organisation internationale, tous les indices des composantes du baromètre restent supérieurs ou égaux à la tendance, à l’exception de l’indice des composants électroniques (95,4), qui s’est stabilisé en dessous de la tendance.
Les stocks de gaz en Europe ont chuté plus de quatre fois plus vite que la moyenne au cours des dix dernières années.
Plusieurs grands pays producteurs européens dénoncent le projet d’accord de libre-échange entre l’UE et les pays latino-américains du Mercosur. Pour l’Association des agriculteurs allemands (DBV) «il est urgent de renégocier» cet accord.
Le marché accumule des inquiétudes à l’approche de l’expiration de l’accord de transit de gaz entre la Russie et l’Ukraine, prévu à la fin de l’année, alors qu’aucun nouvel accord n’est en vue.
Une réunion consacrée au projet du SoutH2 Corridor reliant l’Algérie à l’Italie, regroupant les différents partenaires, est prévue dans les prochains mois, en vue d’une déclaration d’intention visant à mettre en œuvre le projet, selon une déclaration du ministère italien de l’Environnement et de la Sécurité énergétiq
Les stades sont devenus des espaces d’expressions de solidarité. Les supporters utilisent des gradins pour exprimer leur soutien aux populations de Ghaza et du Liban, victimes de bombardements intenses et d’un blocus sévère.
Le président de la Banque fédérale d’Allemagne a estimé hier qu’une première baisse des taux en zone euro est probable en juin mais sans automatisme pour la suite, faisant écho aux propos de la présidente de la BCE, Christine Lagarde.
Deuxième plus grand marché gazier d’Afrique, l’Algérie a «été le fer de lance de la croissance de la production de gaz dans la région», indique un rapport du GECF.
Sur fond d’une confluence de tensions géopolitiques, notamment depuis l’éclatement du conflit armé en Ukraine, l’Europe se tourne vers l’Afrique pour sécuriser une partie de ses approvisionnements en énergie.
Après la leçon de la guerre en Ukraine, l’Europe ne veut plus dépendre d’une seule source d’approvisionnement en GNL, ni la Russie ni les Etats-Unis. La diversification des ressources est la solution choisie par le vieux continent afin de ne plus tomber dans la crise énergétique.
En matière de gaz livré par gazoducs, le rapport du GECF avait indiqué qu’en 2023, l’Algérie a fourni 19% du gaz naturel à l’UE, juste derrière la Norvège, qui totalise une part de marché de 54%, alors que la Russie s’est classée à la troisième place (17%).
Le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, a assuré, à partir de Hassi R’mel (wilaya de Laghouat), que l’Algérie «est un fournisseur d’énergie sûr et fiable pour l’Europe».
Une étude a mis en évidence la présence de biomarqueurs d’algues sur des dents humaines sur plusieurs sites archéologiques d’Europe, suggérant que les végétaux aquatiques étaient communément mangés.