La profusion des séries comiques, de «drama» et de feuilletons est devenue une tradition du mois de Ramadhan «en raison de l’absence de sponsor durant les autres mois de l’année». C’est ce qu’affirme le journaliste et producteur des séries dramatiques, Ameur Bahloul, en plaidant l’intervention de l’Etat, pour que cette production soit possible tout au long de l’année. Dans l’entretien qu’il nous a accordé, il revient sur le «bond qualitatif chez les jeunes comédiens et techniciens», mais aussi sur le cinéma qui ne peut évoluer «sans liberté de création». Il parle aussi du «manque» flagrant de scénaristes sur la scène et sur sa série, Al Ard qui tranche avec les sujets habituels de drogue, mœurs, violence et délinquance.
Pour quelqu’un qui veut devenir célèbre, la prestation assurée lundi au TRO n’est peut-être pas la meilleure manière qui soit pour y arriver.
Dans une salle comble, le public a passé des instants de joie et de détente avec les mélodies profondes et fascinantes de l’artiste.
Comme une angoisse enfouie au fond des tripes, on écrit pour trouver un espace d’amour, de justice, de paix et de sérénité. Ecrire pour renaître à une façon de (re) vivre, en fouillant son passé.
Les ensembles de musique El Ferda et Imerhane ont enchanté, lundi, le public, relativement nombreux, de l’Opéra d’Alger Boualem Bessaïeh, embarqué dans les partitions de deux prestations époustouflantes aux contenus authentiques, rendus dans des formes empreintes de modernité.
La 9e édition du Festival culturel local de l’inchad, à laquelle participent 11 troupes venues de plusieurs wilayas du pays, a été ouverte dans la nuit de dimanche à lundi à la maison de la culture Abdelmadjid Chafaï de Guelma.
Le jeune pianiste, Yanis Taleb, donnera un récital ce soir, à partir de 21h 30, au Théâtre national d’Alger (TNA). Artiste charismatique, il sait capturer les émotions en les exprimant à travers chaque note. Il est réputé pour l’élégance de son interprétation. Dans cet entretien, il revient sur ses débuts, sur son ardeur pour le piano et sur ses aspirations.
Les œuvres «Cordoba» ou «Andalusia», exposées par le calligraphe contemporain, Aziz Kacimi, forcent le regard à une longue halte.
«Feraoun demeure un exemple de persévérance et d’engagement. Ils ont assassiné son corps, mais pas son savoir».
King Kong, Casablanca, 2001, L’Odyssée de l’Espace... Propriétaire d’une exceptionnelle collection d’affiches de cinéma constituée depuis près de cinquante ans, l’Américain Dwight Cleveland s’apprête à se séparer de certaines de ses pièces les plus précieuses.
Des artistes connus, comme Abdelkader Chaou, Manel Gherbi, Hacene Ahrès et Samir Sadaoui ainsi que Lounis Aït Menguellet, ont animé des spectacles à la maison de la culture Mouloud-Mammeri
L’auteur norvégien Dag Solstad, romancier cérébral et communiste assumé qui a chroniqué la société contemporaine, est décédé à l’âge de 83 ans, a annoncé samedi son éditrice au quotidien VG.
L’Algérie, à travers la maison d’édition Casbah, participe à la 4e édition du Salon du livre africain de Paris, qui se tient du 14 au 16 mars à l’Espace des Blancs Manteaux à Paris.
La Radio Algérie Internationale (RAI), en coordination avec l’ambassade de Palestine en Algérie, a célébré, jeudi soir à Alger, la Journée nationale de la culture palestinienne, qui coïncide avec la commémoration de la naissance de l’icône de la poésie de la résistance, Mahmoud Darwich (1941-2008).
Le chantre de la chanson algérienne d’expression kabyle, Lounis Aït Menguellet, est monté à nouveau sur scène lors d’un concert à guichets fermés, animé vendredi à Alger devant un millier de spectateurs.
Le Théâtre régional Abdelkader Alloula d'Oran a récemment conclu une convention avec l'Institut supérieur des métiers des arts du spectacle et de l'audiovisuel d'Alger (ISMAS) pour partager et échanger les archives numériques du dramaturge défunt Abdelkader Alloula, selon le directeur du théâtre, Mourad Senoussi.
Les projets du secteur de la culture dans la wilaya de Bouira font face à des défis significatifs. Des retards ont été enregistrés tant dans leur lancement que dans leur exécution.
Le dernier corpus (*) de Saâd Saïd, consacré à la vie et au parcours artistique de Amar Ezzahi, vient de débarquer dans les rayons des librairies d’Alger. Paru aux éditions El Qobia, l’ouvrage, très attendu par les mélomanes, est un pavé de 120 pages.
Benaouda Lebdaï, professeur émérite des universités, publie un ouvrage collectif intitulé «Ecriture féminine algérienne en quête de liberté», aux Editions Frantz-Fanon, mars 2025, et auquel ont participé respectivement Maïssa Bey, Christiane Chaulet Achour, Afifa Bererhi, Jędrzej Pawlicki, Rania Hassan Ahmed, Sadia Iddir, Sabrina Fatmi, Sabrina Yebdri, Magdalena Malinnowska, Fatima Medjad, Nawel Krim, Karen Bouwer et Amina Bekkat.
Ecrivain et instituteur pendant la guerre de Libération nationale, Mouloud Feraoun (1913/1962) a porté, dans son œuvre, un regard lucide sur le colonialisme, dénonçant les exactions commises par la France coloniale contre les Algériens et s’engageant pour l’indépendance du pays.