l Intéressante est la démarche du chanteur Nadir Benmansour venu à Oran, le temps d’un spectacle organisé sur invitation de l’Institut français, présenter son tout premier album dont la sortie est prévue pour septembre prochain.
La librairie Alamet, qui élit ses quartiers dans l’espace Dar Essalem, un édifice à connotation mauresque, niché dans l’ancienne médina, accueille une collection d’œuvres de l’artiste peintre Halima Lamine, une plasticienne qui tend, à travers ses représentations difformes et expressives, à provoquer chez le spectateur une réaction émotionnelle.
Du 21 juin au 15 septembre, le photographe Samir Djema donne un nouveau rendez-vous à son public, pour découvrir sa dernière collection de photographie intitulée «Empreintes et Racines -Voyage au Cœur du Patrimoine algérien».
L’art et l’économie du partage». Tel est le thème de la conférence animée lundi à la médiathèque d’Alger Noureddine Benamara, ancien juriste qui s’intéresse aussi à la culture et à l’histoire, et auteur de plusieurs ouvrages, entre autres Les Meknassas de l’Ouarsenis et Le manager et le droit.
Un musée virtuel dédié aux œuvres de M’hamed Issiakhem est en cours de préparation et devrait être lancé le 1er décembre prochain sur le site «missiakem.net», soit à l’occasion de la célébration du 40e anniversaire de la disparition de ce grand artiste-peintre algérien. Par un simple clic, les internautes pourront apprécier un total de 113 œuvres de M’hamed Issiakhem, cet artiste écorché vif, ayant eu une vie à la fois riche et tumultueuse.
La wilaya d’Oran abrite jusqu’au 19 juin des activités liées à la célébration de la semaine internationale des archives. Hier, les participants étaient conviés à une session de formation sur les archives judiciaires.
Créé il y a dix ans, le groupe Mother a réussi à imposer son style musical à résonnances assez spirituelle. Cette formation musicale a été créée à la faveur d’une rencontre entre un groupe de musiciens algériens de Laghouat et la chanteuse Mother, auteure-compositrice originaire des Pays-Bas.
Smaïl Siaghi est né en 1973, diplômé de l'Ecole supérieure des beaux-arts d'Alger. Il a enseigné l'histoire de l'art et l'esthétique à l'Ecole des beaux-arts d'Azazga. Il a travaillé comme conseiller culturel à direction de la culture de Tizi Ouzou.
Pour la première fois depuis l’officialisation de la Journée nationale de l’artiste en Algérie, qui coïncide avec l’anniversaire du tragique assassinat du martyr Ali Maâchi, chantre de la chanson algérienne, la wilaya de Tiaret a fêté l’événement en décalé le 14 juin.
Le quai aux fleurs ne répond plus Malek Haddad
Intitulée «Éclat de Couture à travers les frontières», cette exposition revient sur le parcours remarquable de ce créateur de mode. Connu et apprécié par le gotha de la mode, Najib Alioua a su se frayer une route vers la gloire. Ses coupes et découpes sont uniques. Quand à ses perles, elles sont bien enfilées, les motifs sont nets et précis, donnant un ensemble est harmonieux.
Elle est décédée, jeudi, à l’âge de 97 ans. L’essayiste, femme de lettres et enseignante Djoher Amhis- Ouksel est partie laissant derrière elle une œuvre monumentale dédiée à la littérature, à la poésie et à l’éducation, fruit d’un parcours de plusieurs décennies dans la production littéraire et surtout didactique, puisqu’elle a également offert les belles années de sa jeunesse à la formation de générations de cadres ayant occupé de hautes fonctions de responsabilité. Elle a été inhumée, vendredi, au premier jour de l’Aïd El Adha, au cimetière de Sidi Yahia, à Alger, où elle repose en paix.
La 11e édition du Festival national de musique andalouse s’est tenue du 20 au 24 mai dernier à Souk Ahras. Placée sous le signe de la vulgarisation de l’identité et du patrimoine culturel, avec une approche scientifique et académique, cette édition se voulait inclusive en s’ouvrant aux différentes «écoles».
Lors de cette ultime soirée, l’auditoire a suivi avec «délectation» les belles partitions présentées par les deux musiciens autrichiens ainsi que les morceaux d’anthologie d’opéra déclinés par l’orchestre italien.
Un jeu limpide et un son presque parfait a caractérisé la prestation mardi soir au TRO de la pianiste Annika Treutler, pianiste allemande, venue en Algérie représenter son pays au Festival de musique symphonique.
Un spectacle haut en couleur pour le choix adopté consistant à proposer au public un large éventail d’extraits mêlant des œuvres des compositeurs russes mais aussi celles d’autres Européens dont des opéras.
La scène de l’opéra d’Alger Boualem Bessaih a accueilli, lors de la sixième soirée de la 14e édition du Festival international et culturel de la musique symphonique, trois prestations, en l’occurrence les pièces présentées par le pianiste polonais Wojciech Waleczek, suivies de la production de l’ensemble «Voix syriennes» et, enfin les mélodies déclinées par l’orchestre de chambre des jeunes de Moscou que le public a beaucoup appréciées.
Le ministère de la Culture et des Arts, a organisé, mardi à Alger, une journée d’étude au profit des établissements de formation artistique sous tutelle, en vue d’évaluer la performance et de prospecter l’avenir.
Le Festival de Cannes a exprimé, hier, «son effroi et sa profonde tristesse» après la mort d’une photojournaliste palestinienne, protagoniste d’un film qui doit être présenté cette année sur la Croisette et de plusieurs membres de sa famille, tués par un missile à Ghaza.
Le rôle grandiose de la défunte artiste Badi Lalla dans la promotion du chant Tindi et la préservation de ce genre culturel targui a été unanimement souligné, à travers des témoignages recueillis mardi à Tamanrasset par l’APS auprès d’acteurs de la scène culturelle locale.