L’avenir du marché du bien-être semble prometteur au moment où les consommateurs prennent de plus en plus le contrôle de leur santé et attendent des entreprises qu’elles fournissent des solutions efficaces et fondées sur la science. Selon une enquête du cabinet conseil McKinsey, le marché pèse déjà 1,8 billion de dollars en 2024.
Les porteurs de carte effectuent moins de retraits en espèces et se tournent progressivement vers les paiements électroniques.
En dépit de la guerre commerciale que les Etats-Unis viennent d’enclencher avec le relèvement des tarifs douaniers, la Chine, malgré ses difficultés économiques, a annoncé hier avoir pour cible un taux de croissance «d’environ 5%» en 2025.
Dans l’entretien à El Watan, Yazid Aguedal, DG d’IT Synergy et consultant de plusieurs multinationales et de sociétés algériennes, évoque le dernier rapport numérique de DataReportal 2025 sur les tendances du numérique en Algérie. Il nous éclaire sur certains détails.
Les accélérateurs de start-up constituent une étape logique après l’incubation puis la maturation des projets innovants, pour aider ces entreprises à se développer rapidement. L’accent est mis sur des résultats rapides, notamment qui concernent l’introduction de l’offre innovante sur le marché, la levée de fonds financiers et le renforcement de la crédibilité et la consolidation d’une position efficace sur le marché.
La performance économique des pays africains montre des signes d'amélioration mais reste vulnérable aux chocs mondiaux. C’est ce qu’indique l’édition 2025 du rapport «Performances et perspectives macroéconomiques de l’Afrique» (MEO) de la Banque africaine de développement (BAD) publiée la semaine dernière.
Le commerce mondial des services a connu une forte augmentation de 10% en glissement annuel au troisième trimestre de 2024, confirmant la croissance vigoureuse enregistrée pendant le premier semestre de l’année, a indiqué l’Organisation mondiale du commerce (OMC).
Le PIB en valeurs courantes a atteint 9072,1 milliards de dinars, contre 8724,0 milliards de dinars au même trimestre en 2023, marquant une croissance de 4 %.
Dans son dernier rapport mensuel, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) prévoit une croissance de la demande mondiale de pétrole en 2025 et en 2026. Ainsi, la croissance de la demande mondiale de pétrole devrait croître de 1,45 million de baril par jour (Mb/j) en 2025 et 2026 pour atteindre un total de 105,27 mb/j, alors qu’en 2024, la consommation mondiale avait atteint 103,82 mb/j.
En Algérie, les prévisions de croissance portent sur un taux de 3,4% en 2025 et de 3,3% en 2026. Au cours des deux prochaines années, l’économie mondiale «se stabilisera», alors que dans la région MENA, la croissance devrait «s’accélérer» pour s’établir à 3,4% en 2025, puis 4,1% en 2026.
Dans ses nouvelles perspectives sur l’économie mondiale pour l’année 2025, le Fond monétaire international (FMI) prévoit une croissance à 3,3% (elle restera la même en 2026), soit un niveau inférieur à sa moyenne historique de 3,7% sur la période 2000/2019.
Malgré la baisse de l’inflation qui devrait favoriser l’activité économique, des incertitudes persistent notamment avec «des risques liés aux conflits géopolitiques, aux tensions commerciales croissantes et aux coûts d’emprunt élevés dans de nombreuses régions du monde».
Selon l’Organisation mondiale du commerce, tous les indices des composantes du baromètre restent supérieurs ou égaux à la tendance, à l’exception de l’indice des composants électroniques (95,4), qui s’est stabilisé en dessous de la tendance.
Le commerce international de produits alimentaires et agricoles a connu une forte croissance au cours des dernières décennies et contribue de manière très significative à la diversité, à la disponibilité et à l’accessibilité des aliments et des nutriments dans le monde.
La reprise de la production d’hydrocarbures en 2025, dans le cadre de la politique des quotas de l’Opep, augmenterait les recettes d’exportations d’hydrocarbures de l’Algérie et soutiendrait un rebond de la croissance en du pays 2025 selon les prévisions de la Banque mondiale (BM), incluses dans le dernier rapport semestriel consacré à l’Algérie.
«Globalement, l’inflation sous-jacente des biens a diminué de manière régulière, mais dans les services, elle a été plus tenace, demeurant nettement supérieure aux moyennes relevées avant la pandémie dans la majorité des pays», a indiqué le rapport de l’OCDE de mai 2024.
Les comptes nationaux pour le troisième trimestre 2023 viennent de faire l’objet d’une nouvelle publication de l’Office national des statistiques (ONS). Les évaluations trimestrielles indiquent une croissance appréciable du produit intérieur brut (PIB) de 3,4%, après avoir enregistré une croissance de 4,3% durant la même période de l’année 2022.
Le FMI note que «la croissance réelle devrait rester forte en 2024, à 3,8%, soutenue en partie par d’importantes dépenses budgétaires». «Les pressions inflationnistes ont persisté et la politique monétaire est restée accommodante». Le Fonds souligne les risques qu’impliquent une inflation persistante, la volatilité des prix internationaux des hydrocarbures, les risques budgétaires et une dette publique croissante.
La demande mondiale en pétrole devrait encore connaître une croissance «robuste» en 2024, selon les prévisions de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP).
L’Afrique devrait compter la moitié des 20 économies à la croissance la plus rapide au monde en 2024. Si la vigueur de la reprise à la suite de la pandémie de Covid-19 et sa résilience dans le contexte actuel d’incertitude géopolitique et économique sont généralisées sur le continent, les performances économiques varient d’une région à l’autre.»