La reprise de la production d’hydrocarbures en 2025, dans le cadre de la politique des quotas de l’Opep, augmenterait les recettes d’exportations d’hydrocarbures de l’Algérie et soutiendrait un rebond de la croissance en du pays 2025 selon les prévisions de la Banque mondiale (BM), incluses dans le dernier rapport semestriel consacré à l’Algérie.
«Globalement, l’inflation sous-jacente des biens a diminué de manière régulière, mais dans les services, elle a été plus tenace, demeurant nettement supérieure aux moyennes relevées avant la pandémie dans la majorité des pays», a indiqué le rapport de l’OCDE de mai 2024.
Les comptes nationaux pour le troisième trimestre 2023 viennent de faire l’objet d’une nouvelle publication de l’Office national des statistiques (ONS). Les évaluations trimestrielles indiquent une croissance appréciable du produit intérieur brut (PIB) de 3,4%, après avoir enregistré une croissance de 4,3% durant la même période de l’année 2022.
Le FMI note que «la croissance réelle devrait rester forte en 2024, à 3,8%, soutenue en partie par d’importantes dépenses budgétaires». «Les pressions inflationnistes ont persisté et la politique monétaire est restée accommodante». Le Fonds souligne les risques qu’impliquent une inflation persistante, la volatilité des prix internationaux des hydrocarbures, les risques budgétaires et une dette publique croissante.
La demande mondiale en pétrole devrait encore connaître une croissance «robuste» en 2024, selon les prévisions de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP).
L’Afrique devrait compter la moitié des 20 économies à la croissance la plus rapide au monde en 2024. Si la vigueur de la reprise à la suite de la pandémie de Covid-19 et sa résilience dans le contexte actuel d’incertitude géopolitique et économique sont généralisées sur le continent, les performances économiques varient d’une région à l’autre.»
L’interaction des crises mondiales et régionales avec les faiblesses structurelles régionales existantes menace d’interrompre la reprise économique progressive de l’Afrique et entrave les développements socio-économiques.
Le transport aérien a été l’un des secteurs les plus touchés par la crise sanitaire de la Covid-19. La reprise n’a pas été évidente avec l’application des mesures de contrôle sanitaire mais avec leur annulation, le secteur affiche des niveaux de croissance appréciables.
La croissance de la demande mondiale de gaz devrait s’accélérer cette année en raison des températures hivernales plus froides et de la baisse des prix, les économies émergentes étant en tête de l’augmentation de la consommation, selon le rapport trimestriel sur le marché du gaz de l’ Agence internationale de l’énergie (AIE).
Le déficit en pluviométrie durant l’hiver dernier a fortement impacté le secteur agricole comme le montrent les derniers chiffres de l’Office national des statistiques (ONS) publiés le 6 août dernier. Ainsi, le secteur a connu une forte chute de sa croissance passant de 5% au premier trimestre de l’année 2022 à 2,2% entre janvier et juin 2023.
De nombreuses personnes vivant en milieu urbain déclarent envisager de se débarrasser complètement de leurs véhicules privés et de les remplacer par d’autres moyens de transport à l’avenir.
La croissance du secteur privé dans la zone euro a brutalement ralenti en juin, tombant à un niveau proche de zéro, plombée par les difficultés de l’industrie, selon l’indice PMI Flash publié vendredi par S&P Global.
«L’économie mondiale est confrontée au risque d’une période prolongée de faible croissance, car les effets persistants de la pandémie de Covid-19, l’impact de plus en plus grave du changement climatique et les défis structurels macroéconomiques restent sans réponse», a indiqué mardi dernier, selon l’APS, un rapport réalisé par le département des Affaires économiques et sociales de l’ONU.
Les usagers portuaires, détenteurs d’une carte interbancaire (CIB), peuvent désormais régler leurs factures à distance via un espace dans le portail web de l’entreprise portuaire de la wilaya de Annaba (EPAN), dédié à cette solution.
L’Algérie prévoit un taux de croissance de l’ordre de 3,4% au cours de l’année 2022, a annoncé lundi 6 juin à Oran le ministre des Finances, Abderrahmane Raouya.
Les projections de croissance de l’économie algérienne pour l’année 2022 ont été révisées à la hausse, par le Fonds monétaire international (FMI), à 2,4% au lieu de 1,9% estimé précédemment.
Les industries agroalimentaires ont connu un redressement appréciable en 2021 avec un taux de croissance de plus de 15% contre une variation baissière de 0,9% en 2020, indiquent les données de l’Office national des statistiques (ONS).
La croissance économique de la Tunisie devrait se situer à 3% en 2022, contre des estimations qui tablent sur 3,5%, d’après des prévisions de la Banque mondiale, citées jeudi dernier par des médias tunisiens.
La parité hommes-femmes au travail reste virtuelle. Elle se limite aux textes de lois. Ce qui freine l’inclusion économique des femmes dont le chômage est en évolution ces dernières années.
Selon l’ONS, la croissance demeure faible et continue d’être dépendante du rythme de l’activité dans le secteur des hydrocarbures. Durant le troisième trimestre, l’activité hydrocarbures, encouragée par des prix du brut très favorables, s’est élevée à 14,1%. Les autres secteurs ont par contre connu un faible niveau de reprise.