L’établissement hospitalier spécialisé (EHS) de lutte contre le cancer de Blida a lancé une campagne de sensibilisation pour le dépistage du cancer de la prostate, au titre de «Novembre bleu» dédié à la sensibilisation sur ce type de cancer, a-t-on appris auprès de cet établissement.
Le registre des tumeurs d’Alger de l’INSP, publié ces derniers jours, a relevé que le profil épidémiologique des cancers en 2021 dans la population algéroise n’a pas subi de grands changements.
Quelle est la stratégie du secteur de la santé pour réduire les cas d’atteinte du cancer ? A cette interrogation d’un député, formulée lors d’une séance plénière consacrée, jeudi dernier, aux questions orales, le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, a soutenu que son secteur œuvrait à «créer de nouveaux pôles de santé pour épargner aux patients la peine de se déplacer, notamment pour les régions du Sud», ajoutant que «l’Etat déploie de grands efforts pour assurer une meilleure prise en charge sanitaire aux citoyens et veille à assurer une répartition équitable des structures de santé sur l’ensemble du territoire national».
Une journée scientifique sur le thème s’est tenue au niveau de l’EPH Fares Yahia de Miliana organisée en collaboration avec l’association El Fedjr d’aide aux personnes atteintes du cancer de Aïn Defla.
Le taux d’incidence du cancer ne fléchit pas dans la wilaya de Boumerdès. Malgré les campagnes de dépistage et de prévention menées notamment par l’association Errahma, les chiffres liés à cette pathologie donnent encore froid dans le dos.
La 7e édition du «Sican 2024», le Salon national de l’information sur le cancer, s’est ouverte samedi à Alger, et cela, en présence du ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, le professeur Mokhtar Hazbalawi, mais aussi Hamida Kettab, présidente de l’association El Amel de lutte contre le cancer ou encore le représentant de l’Organisation mondiale de la santé en Algérie.
L’Algérie a franchi des étapes importantes en matière de prise en charge des malades atteints du cancer. Ce ne sont pas les politiques qui le disent mais des médecins spécialistes.
La 7e édition du Salon d’information sur le cancer se tiendra du 3 au 5 février au Palais des expositions (Pins maritimes) à Alger. Placé sous le slogan «Pour un avenir sans cancer, nous devons agir maintenant», cet événement tend à associer les médias à la transmission de l’information médicale exacte aux patients et à leurs familles.
Toute la planète connaît désormais Waël Al Dahdouh, le correspondant d’Al Jazeera qui s’est imposé comme le visage de Ghaza et l’emblème du martyre et du courage du peuple palestinien. Mais Ghaza peut compter sur d’autres journalistes tout aussi vaillants. Youssef Abou Saïd est l’un d’eux. Ce photoreporter de 26 ans vit une épreuve tragique : atteint d’un cancer, il entame sa chimio peu avant la guerre. Cela fait 100 jours qu’il est privé de soins. Et il continue à couvrir les massacres en s’exposant aux bombardements sionistes sans savoir combien de temps son corps pourra tenir.
Il était midi, par cette journée relativement froide et ensoleillée du mois de novembre. Un léger brouhaha, caractérisé par une certaine tristesse et douleur régnait dans la salle d’attente du centre anti-cancer du CHU Dr Benbadis de Constantine. Un service enveloppé dans un décor austère. Attaf a pris place dans un coin, observant les patients qui attendaient leur tour.
Le cancer de la prostate et cancer des testicules sont les cancers spécifiquement masculins et c’est d’ailleurs tout l’intérêt du mois de Movember qui a pour objectif de sensibiliser le grand public à propos de ces pathologies.
L’association Errahma d’aide aux malades cancéreux de Boumerdès multiplie les campagnes de dépistage contre divers types de cancer. Sa présidente, Malika Razi, fait état de 1301 femmes qui ont été dépistées récemment contre le cancer du sein à travers la wilaya. Cette opération de sensibilisation et de lutte contre cette maladie a touché, cette fois, quatre communes de la wilaya : Ammal,
Le domaine des technologies de biologie moléculaire connaît des innovations récentes qui permettent de faciliter la prise en charge des malades. Ainsi, la société de services pharmaceutiques, Pharma Strat, vient de lancer, pour la première fois en Algérie, de nouveaux tests génomiques de dépistage et diagnostic de cancer.
L’Etablissement hospitalier universitaire (EHU) 1er Novembre 1954 a, récemment, lancé l’immunothérapie pour le traitement de certains cancers, a indiqué, hier, le Directeur général de cet établissement, Rabah Bar.
Un centre de prise en charge psychologique et sportive des femmes atteintes de pathologies cancéreuses a ouvert ses portes au niveau de l’établissement hospitalier spécialisé dans la lutte contre le cancer à Béchar, à l’initiative de l’association locale El Hayat de dépistage des cancers du sein et du col de l’utérus, a-t-on appris, hier, des responsables de l'association.
Environ 70 000 décès dus au cancer du col de l’utérus pourraient être évités chaque année sur le continent africain si les efforts visant à éradiquer la maladie d’ici à 2030 étaient intensifiés, afin de garantir une meilleure détection, des soins et une prévention en temps opportun, a indiqué l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Le cancer de la prostate sera au centre des journées urologiques nationales d’Oran prévues les 19 et 20 mai prochain, a-t-on appris des organisateurs.
Alors que de nombreuses machines de radiothérapie de marque Varian sont actuellement à l’arrêt dans les différents centres de lutte contre le cancer à travers le pays, la société Varian Medical Systems Algeria, chargée de leur maintenance et de la fourniture de pièces de rechange, ne pourra plus désormais assurer son activité.
Le comité de pilotage et de suivi du Plan national cancer 2015- 2019, à sa tête le coordonnateur, le Pr Messaoud Zitouni, formule de nouvelles propositions pour la mise en œuvre du Plan national cancer pour lutter contre ce fléau dont l’incidence dépasse les 50 000 nouveaux cas par an. Un rapport sera remis au président de la République dans les prochaines semaines.
La journée d’étude et de formation sur les nouvelles techniques de dépistage et du traitement du cancer, qu’a organisée l’Association algérienne pour la chirurgie endocrinienne et viscérale, en collaboration avec la direction de la santé de Relizane, et qu’a abritée l’Institut national de la formation paramédical, a été un succès, selon les échos recueillis auprès des professeurs et autres spécialistes venus de différents CHU du pays.