Les enfants atteints de cancer ainsi que leurs parents sont confrontés, en Algérie, à une double peine : en plus du drame qu’ils subissent, ils doivent composer avec des ruptures cycliques d’approvisionnent des traitements essentiels à leur rétablissement et subir l’absence de services équipés, notamment dans les régions intérieures, et la difficulté de décrocher un rendez-vous pour la radiothérapie.
Le président de la République est-il au courant du blocage concernant la construction d’une clinique pour enfants cancéreux à Blida ? Une question qui mérite d’être posée à cause d’un blocage bureaucratique qui semble durer dans le temps. En ce 15 février 2022, coïncidant avec la Journée mondiale de l’enfant cancéreux, défendre le projet en question s’avère plus que vital.