Le Centre hospitalo universitaire (CHU) Khellil Amrane de Béjaïa a réalisé avec succès sa première opération de chirurgie éveillée pour l'extraction d'un gliome de bas grade, une tumeur primitive du système nerveux central.
L’application de la numérisation et de la digitalisation au niveau des exploitations agricoles à Tipasa a fait l’objet, mardi dernier, d’une rencontre-débat entre les experts de la start-up Nabatic de Béjaïa et les représentants de l’univers agricole, au niveau du siège de la Chambre de l’agriculture de la wilaya (CAW), à laquelle ont assisté des fellahs, ingénieurs forestiers, des étudiants du centre universitaire de Tipasa, des chercheurs de l’UDES de Bou Ismail, des stagiaires de l’INFP de Hadjout, mais aussi des pépiniéristes.
Chafiaa Aït Hammoudi, ingénieur agronome et membre de l’Association des figuiculteurs de la wilaya de Béjaïa, a mené des études sur la figuiculture en collaboration avec l’université Abderrahmane Mira.
La jeune cinéaste Nesrine Aitout a diffusé, samedi soir, en avant-première à Béjaïa, son moyen métrage intitulé «On est toutes pareilles», un documentaire de 21 minutes consacré à la lutte des femmes contre le cancer du sein.
Cent quarante exposants de produits du terroir ont pris part à la 20e édition de la Fête de la figue qu’a organisée l’Association des figuiculteurs de la commune de Béni Maouche, du 12 au 16 octobre, au niveau du complexe sportif de proximité du chef-lieu communal.
Endommagé après le tremblement de terre de mars 2021 (5,9 sur l’échelle de Richter), le TRB était fermé pour réhabilitation. Des travaux qui ont pris du retard. Il a finalement rouvert, jeudi 12 octobre, avec un spectacle de théâtre, un défilé de costumes de scène et une exposition sous le titre «Taht eroudm» (Sous les décombres).
Le Théâtre régional Abdelmalek Bouguermouh de Béjaïa (TRB) rouvrira ses portes, jeudi prochain, après une fermeture qui aura duré près de quatre ans, induite par la crise sanitaire de la Covid-19 (en 2019) et le séisme qui a frappé la ville en mars 2021 et durant lequel sa structure a subi plusieurs dommages, a-t-on appris dimanche auprès de la direction de l’établissement.
Place Gueydon, du nom de la place du 1er Novembre, Gueydon étant le nom de l’ancien gouverneur de l’Algérie française qui résumait en 1872 après la révolte d’El Mokrani : «Ce que veulent les colons, c’est la souveraineté de la population française et l’écrasement, le servage de la population indigène.»
Youssef Chebbi a choisi un chantier en ruine du quartier Les jardins de Carthage, grand projet immobilier lancé dans la banlieue nord de Tunis à l’époque du régime de Zine El Abidine Benali, pour tourner un polar aux allures d’un drame psychologique. Un film où le fantastique rejoint le spirituel.
Un tapis rouge symbolique a été dressé sur le chemin menant à la Cinémathèque de Béjaïa à la place du 1er Novembre (ex-place Gueydon). «La star, c’est le public», est-il annoncé sur une banderole sous forme de porte. L’association Project’Heurtrs, qui célèbre cette année les 20 ans de sa création, et qui organise les RCB, a voulu rendre hommage au public de Béjaïa qui a toujours répondu présent aux projections de films et aux débats. Un public qui porte la plus ancienne manifestation cinématographique en Algérie.
L’intervention énergique de la Protection civile, des forestiers, de l’Armée, aidés par la population locale, a permis de circonscrire les feux et d’épargner les habitations.
Les wilayas de Béjaïa et de Tizi Ouzou ont connu, ces derniers jours, plusieurs départs de feu. Les éléments de la Protection civile ont maintenu leur dispositif afin de parer à toute éventualité.
Compte tenu du potentiel disponible dans la région de Béjaïa en matière de tourisme thermal et de la demande croissante en ce type de service, l’administration locale a répertorié, parmi les priorités de son plan d’action de 2023, la relance des projets de réhabilitation des hammam et la construction de nouveaux établissements, et ce, dans le cadre du programme national pour la promotion de ce segment en Algérie.
La source thermale de Tifra, à 48 km au sud de Béjaïa, l’établissement, plus connu sous le nom de Hammam n Sillal, est fermé aux visiteurs depuis juin dernier pour des travaux de réhabilitation.
Remettre de l’ordre et optimiser la rentabilité des atouts touristiques de la région d’Adekar, à 54 km au sud-ouest de Béjaïa.»
L’association pour la valorisation et le développement du territoire de la daïra d’El Kseur, en collaboration avec l’association des cultivateurs du safran de la wilaya, ont organisé, en fin de semaine, une exposition-vente de l’or rouge, ainsi qu’une conférence sur cette culture naissante.
De nombreuses structures sanitaires et d’accueils des malades sont projetés au chef-lieu de la commune d’Amizour, une ville distante d’une vingtaine de kilomètres - 10 minutes par la pénétrante - au sud de chef-lieu de la wilaya de Béjaïa.
Quinze jours après les incendies de juillet, qui ont ravagé les forêts du littoral de Toudja et de Béni Ksila, sur la côte ouest de Béjaïa, l’activité touristique reprend timidement…mais sûrement. Les quelques propriétaires de restaurants et de supérettes épargnés par les flammes ont rouvert leurs enseignes, malgré que leur esprit soit toujours marqué par cet horrible épisode.
C’est un paradoxe. En ce début du mois d’août, bien que les plages de la côte est de Béjaïa soient bondées de monde, n’empêche que tout le commerce dans les villes de Tichy, Aokas et Souk El Tenine tourne au ralenti.
Le théâtre de verdure Boutheghoua de l’association Tadukli Ait Aissa (Aokas) accueillera ce soir jeudi 10 août à 21 h le chanteur moderne Norkane de Montréal et la troupe théâtrale Etoile filante de Tizi Ouzou avec sa pièce intitulée Ttar (vengeance).