Pour une praticienne du centre de transfusons sanguine de Béjaïa, l’établissement connaît ces derniers mois des difficultés persistantes. Le déficit se creuse tous les jours, alors que le nombre de malades sollicitant du sang ou l’un de ses composants, à savoir les plaquettes ou le plasma, est en constante augmentation.
Les catastrophes climatiques n’ont jamais été aussi nombreuses que ces dernières années, particulièrement les inondations, aggravées par le changement climatique. Des pluies torrentielles et de graves inondations sont signalées surtout dans le pourtour méditerranéen. Sous l’effet du réchauffement climatique, la Méditerranée devient une zone à haut risque. L’expert en catastrophes naturelles et géologue Antonio Aretxabala utilise une métaphore pour faire prendre conscience du danger, en qualifiant le réchauffement de la Méditerranée de «dynamite».
Jonathan Crickx, porte-parole de l’Unicef dans les Territoires palestiniens occupés, affirme que des milliers d’enfants palestiniens «sont non accompagnés ou séparés de leur famille» dans la Bande de Ghaza, et que la quasi-totalité des mineurs issus de l’enclave dévastée ont besoin de soutien psychologique.
Les professionnels de la filière apicole venus de plusieurs wilayas se sont réunis, jeudi dernier, à la chambre de l’agriculture de la wilaya de Guelma.
Environ 13,4 millions de bébés sont nés avant terme au début de 2020, dont près d’un million sont morts de complications dues à leur naissance prématurée, ont indiqué vendredi des agences de l’ONU dans un nouveau rapport.
Des scientifiques britanniques sont très inquiets à propos de l’arrivée d’un nouveau variant de la Covid-19, surnommé BA.6, et ont appelé au retour du masque. «Il est trop tôt pour dire s’il dominera de la même manière que BA.1 et BA.2, mais il existe un certain nombre de mutations qui peuvent être préoccupantes si elles commencent à se propager», a déclaré le professeur Stephen Griffin, expert en maladies infectieuses à l’université de Leeds, cité par le Daily mail. Tous n’ont pas le même son de cloche.
Énième alerte sur une flambée de l’épidémie de choléra. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a mis en garde, samedi, contre le risque global de cette toxi-infection après avoir enregistré des cas à travers 25 pays. «Les cas (de choléra) augmentent à nouveau, même dans les pays qui n’ont pas connu la maladie depuis des années», précise l’organisation dans un communiqué. Quelle est la répartition de cette maladie ?
Malgré des signes de reprise, l’économie mondiale continue de subir les contrecoups du relèvement des taux directeurs alors que l’inflation sous-jacente demeure supérieure aux objectifs des banques centrales.
Même durant la nuit de lundi à mardi, les éléments de la Protection civile n’ont pas connu de répit dans la wilaya de Tizi Ouzou, puisqu’ils sont intervenus dans plusieurs endroits afin de venir à bout des flammes.
Les pays du pourtour méditerranéen sont particulièrement touchés par ces phénomènes caniculaires. «La chaleur devrait s'intensifier d'ici le milieu de la semaine (19 juillet) dans certaines parties de la Méditerranée, y compris la Grèce et la Turquie», a déclaré John Nairn, expert auprès de l'Organisation météorologique mondiale (OMM) des Nations unies. «Une nouvelle continuation en août, dit-il, est probable.»
Des températures records ont été enregistrées à travers le pays durant le mois de juillet en cours, ce qui nécessite la mise en place d'un mécanisme de suivi et d'alertes précoces pour limiter les impacts des dangers liés à la canicule dans le cadre d'une stratégie d'adaptation au climat, a recommandé un expert algérien de l'Office national de la météorologie (ONM).
Le climat caniculaire de ces trois derniers jours a impacté la santé des malades, particulièrement les plus âgés. A Alger et pour la seule journée de mardi, sept personnes sont décédées au CHU Mustapha et deux autres à leurs domiciles.
«L’arrivée d’El Niño augmentera considérablement la probabilité de battre des records de température et de déclencher une chaleur plus extrême dans de nombreuses régions du monde et dans les océans», a averti Petteri Taalas, secrétaire général de l’OMM, qui appelle les gouvernements du monde entier à se préparer à «en limiter les effets sur notre santé, nos écosystèmes et nos économies».
Les spécialistes alertent sur le fait que «les vagues de chaleur vont être plus fréquentes et plus intenses. De plus, elles risquent de se produire sur des périodes beaucoup plus étendues sur l’année».
Les tensions géopolitiques grandissantes poussent les neuf pays dotés d’armes nucléaires à se lancer dans des programmes de modernisation et de renforcement de leurs arsenaux.
Selon les prévisions de la BM, d'ici à la fin 2024, l'activité économique dans les pays émergents et en développement devrait en effet être inférieure d'environ 5% aux projections établies à la veille de la pandémie. Dans les pays à faible revenu, en particulier les plus pauvres, les dégâts sont considérables : dans plus d'un tiers de ces pays, le revenu par habitant à l’horizon 2024 sera inférieur aux niveaux de 2019.
Les progrès mondiaux dans le secteur de la santé mère-enfant stagnent, voire régressent depuis huit ans, selon un rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) publié cette semaine. Selon la nouvelle publication, présentée lors d'une conférence mondiale au Cap, en Afrique du Sud, plus de 4,5 millions de femmes et de bébés meurent chaque année pendant la grossesse, l’accouchement ou les premières semaines après la naissance. Ce qui équivaut à un décès toutes les sept secondes, principalement de causes évitables ou traitables si des soins appropriés avaient été disponibles. Une situation pour le moins inacceptable.
Trop chaud, trop sec. C’est le climat qui a caractérisé cette période printanière, après un hiver chichement arrosé. Des conditions hygrométriques, on ne peut plus propices aux départs de feu. Les habitants de la commune d’Ouzellaguen l’ont appris à leurs dépens.
La wilaya d’Alger a alerté, dans une note adressée à la direction de la santé de la wilaya (DSP), au wali délégué de Baraki et à la direction de la Protection civile, sur la «recrudescence» des cas de tuberculose parmi des migrants subsahariens.
Selon les projections de la Banque mondiale, «d’ici à 2030, les ressources en eau disponibles par an et par habitant dans la région MENA tomberont sous le seuil de pénurie absolue de 500 mètres cubes par personne et par an».