Réagissant à un appel de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), en faveur de l’investissement dans l’amont pétrolier et gazier, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) se réjouit de voir l’AIE partager à nouveau ses analyses sur l’avenir du marché, tout en appelant l’Agence à éviter les analyses contradictoires et les messages incohérents et à revenir à une analyse basée sur les «réalités» et à se concentrer sur son mandat de sécurité énergétique.
Les exportations algériennes de pétrole de qualité Sahara Blend ont affiché une forte hausse le mois dernier. Les expéditions de brut algérien vers la région Asie-Pacifique ont augmenté de 86%, alors que celles destinées au continent européen et la Méditerranée ont grimpé de 26%.
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole et les nations productrices alliées ont déclaré que l’OPEP+ procéderait à la première augmentation de la production depuis 2022.
L’Algérie réaffirme à nouveau son engagement à accompagner le Niger dans ses efforts de développement. Cette disposition est réaffirmée à l’occasion de la visite, mardi à Alger, du ministre nigérien des Affaires étrangères, Bakary Yaou Sangaré.
Les cours du pétrole ont terminé en hausse vendredi, après une semaine agitée, les opérateurs doutant que Donald Trump parvienne à faire plier l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) sur une augmentation de sa production.
Les prix du pétrole ont légèrement augmenté, hier, mais restent sur la voie d’une baisse hebdomadaire, suite aux déclarations du nouveau Président américain ciblant notamment la stratégie de l’Opep. Donald Trump qui a présenté, jeudi 23 janvier, lors de son discours au Forum économique mondial de Davos, en Suisse, un plan d’action global pour stimuler la production américaine a exigé de l’Opep une baisse des prix du brut.
Selon les estimations de l’Energy Research Unit, la production algérienne de pétrole devrait se maintenir à 908.000 barils par jour jusqu’à la fin 2025 en raison d’un assouplissement progressif des réductions de l’OPEP+ jusqu’à la fin de l’année.
Dans son dernier rapport mensuel, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) prévoit une croissance de la demande mondiale de pétrole en 2025 et en 2026. Ainsi, la croissance de la demande mondiale de pétrole devrait croître de 1,45 million de baril par jour (Mb/j) en 2025 et 2026 pour atteindre un total de 105,27 mb/j, alors qu’en 2024, la consommation mondiale avait atteint 103,82 mb/j.
L’investiture de celui qui est qualifié d’ami des pétroliers américains est attendue «avec impatience» par l’industrie du pétrole et du gaz pour savoir quelle direction prendront les marchés dans les jours, semaines et mois à venir.
«La participation au marché du travail diminue, en particulier chez les jeunes»,indique l’OIT dans son étude précisant que l’activité a fortement baissé chez cette catégorie.
L’Agence qui conseille les pays industrialisés maintient ses projections d’offre excédentaire pour l’année en cours, en raison «d’une croissance de l’offre supérieure à une expansion modérée de la demande».
Pour contourner les sanctions et stimuler les exportations de carburant, la Fédération de Russie pourrait, selon des spéculations, augmenter sa capacité de raffinage nationale.
Les prix du pétrole ont affiché une hausse sur cinq séances consécutives en réaction à l’espoir d’une augmentation de la demande stimulée par un temps plus froid dans l’hémisphère Nord ainsi que par de nouvelles mesures de relance budgétaires en Chine.
L’OPEP revoit légèrement à la baisse ses prévisions de croissance de la demande de pétrole pour 2024 et 2025. L’Organisation souligne, dans le rapport du mois de décembre, que la demande mondiale de pétrole en 2024 augmente de 1,61 million de barils par jour (bpj), contre 1,82 million le mois dernier.
A l’issue des discussions, les ministres des huit pays ont décidé que la baisse volontaire de production de 2,2 mbj, décidée en novembre 2023 est prolongée jusqu’à la fin du premier trimestre 2025.
La demande mondiale de pétrole est en nette progression, selon le PDG du groupe britannique British Petroleum (BP) qui prévoit une forte consommation de pétrole dans les cinq à dix années à venir.
Les prix du pétrole étaient en nette progression hier, dans le sillage de tensions géopolitiques en Europe, suite à la riposte russe aux attaques ukrainiennes avec des armes fournies par la Grande-Bretagne et les États-Unis.
L’OPEP affirme que la consommation sera soutenue en 2024 par une forte demande de carburants pour le transport et une croissance économique saine et continue.
Mardi, Ilham Aliev, le président de l’Azerbaïdjan, a déclaré que les hydrocarbures sont des «ressources naturelles» et qu’on ne peut «reprocher aux pays d’en avoir et de les fournir aux marchés». Son pays accueille la COP de l’ONU sur le climat à Bakou.
Les prix du pétrole brut étaient en voie de terminer la semaine en hausse, malgré un léger recul plus tôt dans la journée. Les marchés attendent de savoir quelles mesures prendra concrètement le nouveau président américain, Donald Trump, et quelles seront les répercussions sur l’offre de pétrole et sur la courbe des prix de l’or noir.