Selon l’ONS, les importations depuis le Maghreb, les pays arabes et de l’Afrique ont progressé en 2022 de respectivement 64,2%, 29,5% et 25,4%.
Les prix du pétrole clôturent le mois de mars en nette progression en raison du resserrement de l’offre, dans le sillage de la stratégie de l’Opep+ dont le comité de surveillance du marché se réunit la semaine prochaine.
Le secrétaire général de l’OPEP met en garde, encore une fois, contre les appels et les initiatives visant à éliminer l’utilisation du pétrole en raison de son impact sur l’environnement, estimant que les énergies fossiles restent essentielles au développement et à la croissance économique et au bien-être social, à travers le monde.
Le renforcement de la coopération énergétique entre l’Opep et la Chine, dont la croissance économique stimule la demande mondiale de pétrole, a été au centre des discussions de la septième réunion de haut niveau du dialogue énergétique OPEP-Chine, tenue à Vienne en Autriche.
Le PDG de la société saoudienne Aramco a rejeté les prévisions tablant sur un pic de la demande pétrolière à l’horizon 2030, appelant à une révision des plans mondiaux de transition énergétique.
Les prix du pétrole ont continué de progresser hier consolidant les gains de près de 4% de la semaine dernière dans un contexte de resserrement de l’offre, confirmé par les prévisions de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et de l’Agence internationale de l’énergie (AIE).
Les prix du pétrole se stabilisent au dessus de 80 dollars le baril, aidés par l’annonce des réductions volontaires de la production annoncés le 3 mars, par plusieurs pays Opep+.
Les cours du pétrole ont jailli, vendredi, pour porter le prix du baril de West Texas Intermediate (WTI) américain au-delà de 80 dollars, une première depuis novembre, sur un marché repartit à l'achat avec le début d'un nouveau mois.
Les facteurs géopolitiques mondiaux qui se sont amplifiés depuis des mois ont peu impacté les prix du pétrole, dont la courbe n’a pas atteint les valeurs à trois chiffres qu’auraient pu laisser prédire les conflits en cours dans des régions productrices de pétrole, et les fortes perturbations de transport en mer Rouge.
Les prix du pétrole ont reculé, hier, dernier jours de cotation de la semaine, alors qu’ils étaient en bonne voie pour clôturer plusieurs semaines de hausses consécutives.
Dans le secteur des carburants, la demande mondiale de GPL a atteint un niveau record en décembre, tandis que la demande d’essence et de diesel est tombée vers la moyenne quinquennale.
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a réitéré ses prévisions optimistes concernant la demande de pétrole et la croissance économique mondiale pour 2024 2025.
La production de pétrole de l’OPEP+ a connu sa plus forte baisse en six mois, chutant de 340 000 b/j en de janvier, dans le sillage de la mise en œuvre des réductions volontaires des membres de l’alliance.
Les attaques des voies navigables en mer Rouge par les Houthis entraînent des changements majeurs dans les flux d’énergie, les acheteurs mondiaux de pétrole se tournant de plus en plus vers «un négoce local» et des cargaisons moins risquées et plus faciles sur le plan logistique.
Les prix du pétrole ont entamé la semaine de cotation en nette hausse, le Brent dépassant largement les 83 dollars le baril, dans le sillage des tensions géopolitiques au Moyen-Orient.
Les expéditions de pétrole et de GNL en provenance du Moyen-Orient et des pays du Golfe sont de plus en plus retardées, car les pétroliers et les méthaniers sont contraints de détourner leur itinéraire initial, via le canal de Suez.
La Russie est devenue le premier fournisseur de pétrole de la Chine en 2023, en dépit des sanctions occidentales, selon les données des Douanes chinoises. La Russie a ainsi expédié un volume record de 107,02 millions de tonnes de pétrole brut vers la Chine l’année dernière, soit l’équivalent de 2,14 millions de barils par jour (b/j), bien plus que d’autres grands exportateurs de pétrole, tels que l’Arabie Saoudite et l’Irak.
L’Agence internationale de l’énergie emboîte le pas au groupe de producteurs de pétrole de l’OPEP et rejoint ses prévisions de hausse de la demande de pétrole en 2024. Même si les projections de l’OPEP sont de loin plus optimistes avec un niveau de 2,25 millions de barils par jour, l’AIE prévoit une augmentation de 1,24 million de barils par jour pour cette année.
La demande de pétrole est partie pour connaître en 2025 une «croissance robuste», vers un nouveau record. C’est ce qu’indiquent les premières prévisions de l’année de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) publiées, hier, dans son rapport mensuel.
La contribution de l’Organisation des pays arabes du pétrole (OPAEP) à la production mondiale de pétrole devrait atteindre 36,5% d’ici 2045, selon des experts qui se sont exprimés lors du Sommet libyen sur l’énergie et l’économie (LEES) tenu à Tripoli cette semaine.