Le panier de l’OPEP, constitué de prix de référence de 13 pétroles bruts, dont le Sahara Blend algérien, s'est établi à plus de 117 dollars à la fin de la semaine en cours, son plus haut niveau depuis mai 2008.
L a courbe des prix du pétrole continuait hier sa progression, lors de la séance de clôture de la semaine qui a connu la plus forte hausse en une décennie dans le sillage de la crise ukrainienne.
Les cours du pétrole montaient vendredi 4 mars sans trop s'approcher toutefois de leurs sommets de la veille, propulsés par le conflit en Ukraine, les sanctions et les craintes pour l'offre mondiale d'or noir.
La Russie, qui est le deuxième plus grand exportateur de pétrole brut au monde, représente plus de 40% des importations annuelles de gaz naturel de l’Union européenne.
La production pétrolière de l’Algérie dépassera au mois d’avril prochain 1 million de barils par jour (mb/j), soit une hausse de 10 000 barils/jour par rapport au mois de mars, a fait savoir, hier à Alger, le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab.
Pour Francis Perrin, chercheur à IRIS, qui s’exprimait hier sur les ondes de la radio française RTL, «les autorités russes n’iront pas jusqu’à fermer délibérément le robinet, parce qu’elles savent qu’économiquement ce ne serait pas bon pour elles (...)».
Les vingt-trois pays de l'Opep+ ont décidé de n’augmenter que sensiblement leur production malgré la flambée des cours du pétrole, due à la guerre en Ukraine.
Les prix du pétrole continuaient leur flambée mercredi 2 mars, le baril de Brent dépassant les 110 dollars pour la première fois depuis 2014, poussés par la guerre en Ukraine et les craintes pour l'approvisionnement mondial.
Le prix du baril de Brent, la référence de l'or noir en Europe, a bondi de plus de 5% mardi 1er mars, galvanisé par la guerre en Ukraine, les investisseurs redoutant des ruptures d'approvisionnement russe en énergie alors que les sanctions occidentales se multiplient contre Moscou.
Les prix du Brent ont dépassé la barre des 100 dollars US après l entrée en guerre effective de la Russie contre l 'Ukraine.
Introduction Après une analyse des contextes économique et énergétique mondiaux, cet article va analyser l’impact macroéconomique de la récente envolée des prix des hydrocarbures et avancer des propositions sur les prochaines étapes économiques.
Les cours du pétrole s'envolaient mardi 22 février, embrasés par la décision du président russe de reconnaître l'indépendance des territoires séparatistes ukrainiens, le prix du Brent frôlant la barre symbolique des 100 dollars le baril.
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et ses alliés devraient s’en tenir à leur plan de production actuel, lors de leur prochaine réunion début mars, selon les déclarations de plusieurs pays producteurs du Golfe, réunis lors d’une conférence sur l’énergie organisée dimanche à Riyad, en Arabie Saoudite. Les ministres de l’Energie des Emirats arabes unis, du Koweït et de l’Irak ont déclaré que le groupe devait s’en tenir à son accord actuel «pour maintenir l’équilibre du marché et éviter tout excédent».
Les tensions géopolitiques continuent de renforcer la tendance haussière des prix du pétrole, qui ont poursuivi, hier, leur progression, à l’ouverture de la nouvelle semaine de cotation. Le Brent se maintenait aux alentours de 95 dollars après avoir culminé à son plus haut niveau en plus de sept ans, à plus de 96 dollars, en début de matinée.
Les prix du pétrole ont atteint lundi de nouveaux sommets, encouragés par les tensions en Russie et en Ukraine qui menacent l'offre pétrolière.
Les prix du pétrole se donnaient du répit lundi 7 février, suspendus aux négociations sur le nucléaire iranien qui pourraient aboutir à une levée des sanctions, après un nouveau sommet pluriannuel pour le Brent.
L’Opep et ses alliés devraient s’en tenir à leur plan de production, lors de leur prochaine réunion, prévue début février. Aucun changement ne serait ainsi en perspective, en dépit de la montée des prix du pétrole, influencés par la forte demande mondiale, mais également impactés par des facteurs exogènes dont des incertitudes géopolitiques, notamment la situation conflictuelle en cours aux frontières de la Russie.
L'Agence internationale de l'énergie (AIE) a revu en hausse ses prévisions de la demande de pétrole cette année et prévenu que le marché pourrait vivre une "nouvelle année de volatilité" si l'offre s'avérait décevante.
Les cours du pétrole ont progressé mardi 18 janvier, les risques géopolitiques faisant craindre de nouvelles perturbations d'une offre déjà tendue, hissant les prix à de nouveaux sommets plus atteints depuis sept ans.
Dans son dernier classement publié le 14 janvier, le site spécialisé Business Insider Africa a dévoilé les dix plus grands producteurs de pétrole brut en Afrique en 2021. L’Algérie arrive en quatrième position avec une moyenne de production de 959 000 barils/jour.