Les prix du pétrole sont repartis à la hausse hier, prolongeant les gains de la session précédente. La remontée des cours, très instables depuis quelques semaines, a été constatée dans le sillage de la conclusion par le gouvernement américain d’un accord provisoire sur le plafond de la dette.
Le président iranien Ibrahim Raisi a appelé à l'unité des membres de l'Opep face aux pressions occidentales, tout en espérant que les producteurs de pétrole membres de l’Opep pourraient «calmer le marché».
L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et ses alliés, dont la Russie, connue sous le nom d'Opep+, continueront d'être un régulateur responsable du marché, a indiqué le ministre saoudien de l'Energie.
Le sous-investissement dans le secteur pétrolier et gazier pourrait entraîner une volatilité du marché à long terme et mettre en péril la croissance mondiale, a notamment déclaré Haitham Al Ghais, secrétaire général de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep).
L’Agence internationale de l’énergie (AIE) affirme, dans son rapport mensuel du mois de mai, que la baisse actuelle des prix du pétrole ne reflète pas la réalité des fondamentaux et une crise d’approvisionnement imminente dans le sillage d’un fort rebond de la demande de la Chine, qui représentera 60% de la croissance mondiale en 2023.
Les prix du pétrole ont prolongé leurs pertes hier, après avoir plongé de 5% lors de la session précédente, alors que les investisseurs s’inquiétaient de la santé de l’économie mondiale, notamment aux Etats-Unis et en Chine.
Les prix du pétrole ont entamé la semaine de cotation en forte chute, entraînés par le pessimisme concernant la croissance économique, et ce, en dépit de l’entrée en vigueur ce mois-ci des réductions volontaires de 1,16 million de barils par jour, décidées par neuf membres de l’OPEP+.
Les prix du pétrole demeurent stables malgré une légère baisse enregistrée hier en séance d’ouverture du marché. Les inquiétudes face à la hausse des taux d’intérêt, les perspectives de l’économie mondiale et le niveau de la demande de carburant pèsent sur la courbe des prix du pétrole plus que le resserrement de l’offre.
Le pétrole restait en légère baisse vendredi à la clôture du marché, après avoir dévissé sur la semaine d’environ 6%, les craintes autour de l’économie américaine persistant après des indicateurs économiques moins encourageants que prévu.
Le secrétaire général de l’Organisation des pays producteurs de pétrole (OPEP) a rejeté les critiques formulées par l’Agence internationale de l’énergie (AIE), selon lesquelles des réductions volontaires de la production de pétrole par plusieurs Etats de l’OPEP+ «aggraveraient l’inflation et provoqueraient une incertitude économique accrue».
Une fuite de pétrole a eu lieu dimanche à Poole Harbour, un port du sud de l’Angleterre, provenant du gisement terrestre de Wytch Farm, opéré par le groupe pétrolier franco-britannique Perenco, ont indiqué les autorités locales.
Défiant les pays occidentaux qui ont imposé des sanctions de grande envergure, y compris un embargo sur les importations de pétrole russe par voie maritime, la Russie affirme avoir réorienté, avec succès, toutes ses exportations de pétrole brut affectées par les sanctions vers des pays «amis».
Le ministre saoudien de l’Energie a déclaré que le Royaume ne vendrait pas de pétrole à un pays qui imposerait un prix plafond à ses approvisionnements. Le prince Abdelaziz a souligné dans une interview publiée par Energy Intelligence que le plafonnement des prix du pétrole conduirait inévitablement à l’instabilité du marché.
Les cours du pétrole sont repartis à la baisse vendredi et ont clôturé à leur plus bas niveau depuis près de 15 mois, minés par la crise bancaire persistante qui fait redouter un freinage du crédit et de l’économie.
Après la pire semaine de cotation de l’année, les cours du pétrole se sont nettement raffermis hier, avant de reculer à nouveau, dans le sillage d’une chute de plus de 10 % en quelques jours, par crainte notamment d’un effondrement du secteur bancaire.
Les cours du pétrole nettement à la hausse.
Les prix du pétrole étaient en petite baisse hier, dans un contexte d’inquiétude quant au ralentissement de l’économie mondiale, même si les approvisionnements en or noir restent surveillés de près dans un marché tendu. Le baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en septembre, perdait 0,76% à 110,78 dollars.
L’Agence internationale de l’énergie (AIE) prévoit que la demande pétrolière mondiale va, pour la première fois, dépasser les niveaux d’avant la pandémie de Covid l’an prochain, tirée par la Chine.
Le pétrole était en recul hier, au cours de la première séance de cotation de la semaine, perdant environ 2 dollars le baril, alors qu’une flambée de cas de Covid-19 à Pékin, en Chine, fait planer encore une fois des doutes sur un rebond de la demande chinoise. Les investisseurs pèsent aussi les éventuelles répercussions d’un nouveau resserrement monétaire pour lutter contre la flambée de l’inflation américaine.
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) a de nouveau revu à la baisse ses prévisions de croissance de la demande mondiale de pétrole en 2022 pour un deuxième mois consécutif, en invoquant l’impact de la crise ukrainienne, la hausse de l’inflation et la résurgence du variant Omicron en Chine.