Le prix du baril de pétrole de WTI américain perdait plus de 5% lundi, lesté par un confinement partiel à Shanghai, capitale économique de la Chine, risquant de peser sur la demande de pétrole dans le pays.
Un choc pétrolier» pour les uns et «euphorie pétrolière» pour les autres. Le conflit armé en Ukraine modifie le paysage géopolitique avec de profondes conséquences pour l’économie mondiale.
Le chef de la diplomatie française, Jean-Yves Le Drian, s’est entretenu hier avec ses homologues saoudien et émirati d’une diversification des approvisionnements des Européens en énergie afin de réduire leur dépendance vis-à-vis de la Russie.
Le ministre éthiopien des Mines et du Pétrole, Takele Uma, a signé un accord avec la société d’exploration de pétrole et de gaz Netherland, Sewell & Associates (NSAI) pour évaluer le potentiel du pays est-africain en hydrocarbures.
La série d’attaques des Houthis contre des installations pétrolières saoudiennes a changé la trajectoire de la courbe des prix du pétrole à la clôture du marché vendredi soir.
Le marché pétrolier restait très volatil hier, alors que l’Union européenne (UE) demeure divisée sur l’opportunité d’imposer un embargo pétrolier à la Russie. Les dirigeants de l’UE n’ont pris aucune décision pour limiter les importations russes de pétrole et de gaz, à la suite des réunions d’urgence consécutives de l’OTAN, du G7 et du Conseil européen de Bruxelles, en présence du président américain, Joe Biden.
Le baril de pétrole de Brent, référence de l'or noir en Europe, est repassé au-dessus de la barre des 120 dollars, galvanisé par la guerre en Ukraine et la perspective de nouvelles sanctions occidentales contre la Russie.
Les prix du pétrole ont augmenté, lundi 21 mars, le Brent et le WTI montant autour de 3% dans le contexte de tensions sur l'offre.
Le groupe Sonatrach a réalisé, avec son partenaire italien ENI, une importante découverte en hydrocarbures, estimée à environ 140 millions de barils de pétrole en place.
Les prix du pétrole ont prolongé leurs gains hier, à l’issue d’une troisième semaine de forte volatilité sur les marchés pétroliers.
Le pétrole poursuivait mardi 15 mars sa chute, les deux références de l'or noir perdant plus de 5%, entraîné vers le bas par les espoirs suscités par les négociations russo-ukrainiennes et les inquiétudes d'un ralentissement de l'économie chinoise.
Les conséquences économiques de la guerre en Ukraine vont impacter différemment les pays de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA), selon la Banque mondiale, dans le sillage des chocs liés à la hausse des prix des produits alimentaires, l’augmentation de ceux du pétrole et du gaz, et le risque qui pourrait affecter les flux de capitaux privés vers les marchés émergents, les transferts de fonds et le tourisme.
Les prix du pétrole baissaient, lundi 14 mars, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mai perdait 3,75% à 108,44 dollars.
Washington a plusieurs fois accusé Téhéran de vouloir contourner les sanctions en exportant du pétrole notamment en Chine, au Venezuela et en Syrie, et a saisi à maintes reprises la cargaison de pétroliers qui transportent du brut iranien.
Les prix du pétrole se maintenaient à la hausse hier, dans un contexte de fébrilité, autour des valeurs énergétiques qui risquent de connaître de nouveaux pics inédits, dans le sillage de la crise ukrainienne.
Le pétrole de Brent, référence du brut en Europe, grimpait de plus de 5% mardi 8 mars alors que le président américain Joe Biden s'apprête à annoncer un embargo sur le pétrole russe aux Etats-Unis, selon des informations de presse.
Le pétrole montait fortement mardi 8 mars sans s'approcher pour l'instant du sommet atteint la veille dans un marché volatil, en réaction à un possible embargo américain sur le brut russe à cause de la crise ukrainienne.
La Russie a mis en garde contre des "conséquences catastrophiques" pour le marché mondial de la mise en place d'un embargo occidental sur le pétrole russe, discuté par Washington et l'Union européenne comme mesure de riposte au conflit militaire en Ukraine.
Si des sanctions contre les exportations de pétrole de la Russie sont mises en œuvre, le pétrole pourrait grimper à 185 dollars le baril cette année, selon les analystes de JP Morgan, tandis que les analystes de Bank of America estiment que les prix du pétrole pourraient doubler, passant de 100 dollars le baril à 200 dollars le baril.
Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, l'une des deux variétés de référence du marché, a frôlé dimanche 140 dollars, proche de son record absolu, dopé par le conflit en Ukraine et l'arrêt quasi-total des exportations de pétrole russe.