Après des années d’expansion, l’Afrique subsaharienne assiste à un repli des investissements et des crédits chinois. En effet, selon les notes de conjonctures publiées par le Fonds monétaire international (FMI), il s’avère que la Chine a annoncé, lors du Forum sur la coopération sino-africaine de 2021, la première réduction de son appui financier à l’Afrique de 60 à 40 milliards de dollars sur une période de trois ans.
A fin du mois de septembre dernier, l’Agence algérienne de promotion de l’investissement (AAPI) a enregistré plus de 3700 projets. Le directeur général de l’agence, Omar Rekkache, a dressé, hier, ce bilan en marge du Forum d’affaires algéro-tunisien tenu à Alger.
Accompagné d’une forte délégation de chefs d’entreprise, le ministre du Commerce et de la Promotion des exportations, Tayeb Zitouni, effectue une visite de travail en Ouganda où se tient une foire des produits algériens. Le gouvernement poursuit ses efforts visant à renforcer sa coopération économique avec plusieurs pays africains et à garantir une plus forte présence des produits algériens sur le marché africain.
Le gouvernement attend beaucoup des walis pour mettre en œuvre la nouvelle politique de dépense adoptée dans la loi de finances 2023.
A en croire les experts de la China Afritive, institut de recherche de l’université américaine Johns Hopkins, les entreprises chinoises présentes en Algérie engrangent quelque 7,5 milliards de dollars au titre de revenus bruts issus de leurs diverses activités.
Le nombre des projets d’investissement inscrits depuis début novembre 2022, et ce, jusqu’au 31 août 2023 s’élève à 3411, dont 224 projets agricoles et 71 projets d’investissement étranger, parmi lesquels un projet d’investissement jordanien dans le domaine des engrais.
Le ministre des Finances, Laaziz Faid, a expliqué, début juillet dernier, les nouvelles dispositions qui caractérisent le nouveau texte de lois en préparation sur le foncier économique.
Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, Ahmed Attaf, a invité les hommes d’affaires américains à investir dans l’agriculture en Algérie. Lors d’une rencontre avec des opérateurs économiques américains, membres du Conseil d'affaires algéro-américain au terme de sa visite de travail à Washington, le ministre a appelé les hommes d'affaires américains à «investir dans les techniques agricoles modernes, les systèmes d'irrigation, les infrastructures de l'agro-industrie et les technologies des données et de la santé».
Le groupe malaisien «Lion» a entamé les procédures de réalisation en Algérie de projets industriels «structurels importants» pour un coût de 6 milliards de dollars, ce qui permettrait de générer près de 10 000 postes d'emploi, a indiqué hier le directeur général de l'Agence algérienne de promotion de l'investissement (AAPI), Omar Rekkache.
Le gouvernement britannique a dévoilé l'emplacement de la première des douze «zones d'investissement» subventionnées, dont la création avait été annoncée en mars lors de la présentation du budget.
La wilaya de Naâma organise, demain, une journée d’information sur les potentialités d’investissement dans les différents secteurs, a-t-on appris lundi du wali Lounes Bouzagza.
La Chine a multiplié, durant les 20 dernières années, ses investissements au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. Dans le cadre de son initiative de la nouvelle route de la soie (Belt and Road Initiative), l’Empire du Milieu s'est axé, selon le dernier rapport de l’Institut arabe des chefs d’entreprise, sur les infrastructures de base et l’énergie. La Chine, précise le document, s’est déployée plus particulièrement dans une dizaine de pays de la région, en injectant plusieurs milliards de dollars.
La course à l’intelligence artificielle dite générative, qui s’est accélérée ces derniers mois, requiert des investissements colossaux, que seuls les géants technologiques peuvent se permettre, au risque de voir ces entreprises, à terme, contrôler ce secteur. Selon une estimation du cabinet SemiAnalysis, ChatGPT, l’interface superstar d’OpenAI lancée en novembre, a englouti environ 700.000 dollars par jour en coûts de fonctionnement.
L’Agence algérienne de promotion de l’investissement (AAPI) a enregistré une hausse de 121% en six mois en termes de nombre de projets d’investissements inscrits. En effet, durant la période allant du 1er novembre 2022 au 30 avril 2023, l’AAPI a recensé cette importante hausse du nombre d’investissements, selon le directeur général de l’Agence, Omar Rekkache.
Le ministère de l’Industrie et de la Production pharmaceutique œuvre avec les autres départements concernés à aplanir les obstacles entravant les projets d’investissements.
Je vais accélérer la procédure pour achever le dossier de la création de la zone industrielle Berrahal extension et permettre son exploitation effective», s’est engagé Ali Aoun, le ministre de l’Industrie et de la Production pharmaceutique, lors de sa visite, jeudi, dans cette zone de la wilaya de Annaba. Estimée à quelque 200 ha, cette extension est actuellement bloquée. Elle n’est même pas créée juridiquement, tel que relevé par l’IGF, tout autant que plusieurs projets structurants devant être implantés sur ce lieu.
Je vais accélérer la procédure pour achever le dossier de la création de la Zone industrielle Berrahal extension et permettre son exploitation effective», s’est engagé M. Ali Aoun, ministre de l’Industrie et de la Production pharmaceutique, lors de sa visite, jeudi, à la zone industrielle Berrahal extension de la wilaya de Annaba.
Le troisième portefeuille du foncier est mis, depuis hier, sur la plateforme de l’Office national de l’agriculture industrielle (ODAS). Il équivaut à 200 000 ha.
Le programme stratégique de valorisation de la mine de Gara Djebilet se prépare à entamer une autre étape avec le lancement de nouveaux projets. Ainsi, après le protocole d’accord signé le 13 avril avec le complexe sidérurgique Tosyali pour la mise en place d’une unité de production de concentré de minerai de fer dans la wilaya de Béchar, l’Entreprise nationale de fer et de l’acier (Feraal) s’apprête à conclure un autre contrat avec un groupe chinois.
Crise énergétique mondiale, réduction des émissions de gaz à effet de serre et réchauffement climatique sont les éléments qui poussent les experts mondiaux à relancer le débat sur les énergies propres. La Banque mondiale (BM) et le Fonds monétaire international (FMI) appellent à tripler les investissements, estimés aujourd’hui à plus de 1300 milliards de dinars.