La demande intérieure a affiché une hausse significative de 10,4%, contre 7,5% à la même période de l’année précédente. Une évolution qui traduit un renforcement marqué des composantes principales de la demande, en particulier la consommation finale et l’investissement.
De 2001 (année de référence de l’indice) à 2024, le niveau général des prix en Algérie a été multiplié par 2,8, à en croire l’Office national des statistiques (ONS). En effet, et dans une publication portant sur l’évolution des indices des prix au niveau de la ville d’Alger et à l’échelle nationale, pour la période allant de 2015 à 2024, l’ONS a indiqué qu’après les fortes hausses enregistrées au cours des trois dernières années, de 2021 à 2023 (+7,2%, +9,3% et +9,3% respectivement), une nette baisse du rythme caractérise l’indice des prix à la consommation en 2024, avec un taux de variation ramené à +4,1%.
La contribution des voyages et du tourisme au PIB mondial devrait atteindre 16 000 milliards de dollars d’ici 2034. Le secteur est également confronté à des défis complexes, notamment les frictions entre visiteurs et résidents, le risque de perturbations mondiales et la pression qu’il exerce sur la nature.
Un nouveau rapport de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) examine et met en avant le rôle crucial des jeunes dans la transformation des systèmes agroalimentaires, pour améliorer la sécurité alimentaire et la nutrition, et accroître les débouchés économiques, indique un communiqué de cette organisation internationale.
Au mois de mai dernier, et par rapport au mois précédent, l’indice général des prix à la consommation au niveau national a enregistré un taux de -2,7%, alors que les prix des biens alimentaires ont baissé de 5,1%, selon l’Office national des statistiques (ONS).
Longtemps pratiquée dans l’illégalité, la micro-importation dénommée le «commerce du cabas» vient d’être dotée d’un canevas de dispositions légales pour l’exercice de l’activité. En effet, hier a été signé, par le Premier ministre, Nadir Larbaoui, le décret exécutif n°25-170, paru au Journal Officiel, qui établit les bases légales de la micro-importation.
Expert international en lutte contre la criminalité financière, Halim Megharbi est auteur du livre Money Mask – les dessous du blanchiment d’argent. Dans cet entretien, il livre son analyse sur le cas Algérie et son appréciation de la décision récente de la Commission européenne qui a inscrit l’Algérie comme pays à haut risque.
C’est dans un climat international particulièrement tendu que s’est ouvert, hier, le Sommet du G7 à Kananaskis, au Canada. Deux dossiers majeurs au menu des discussions : l’escalade militaire du conflit entre Israël et l’Iran, et les tensions commerciales provoquées par la politique douanière du président américain Donald Trump.
Aligner les politiques climatiques avec les priorités économiques et sociales peut se traduire par un surcroît de PIB mondial, une réduction accélérée de la pauvreté, un renforcement de la sécurité énergétique et de meilleurs résultats en matière de santé.
Les océans, qui couvrent 70% de la surface de la Terre, sont essentiels à toute forme de vie, mais ils sont soumis à des pressions sans précédent.
Les perspectives économiques mondiales se dégradent sous l’effet de l’ampleur des obstacles aux échanges, du durcissement des conditions financières, de la fragilisation de la confiance et de l’incertitude accrue liée à l’action publique.
Dans le climat actuel d’incertitudes, l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a rendu public un rapport qui s’est penché sur la résilience des chaînes d’approvisionnement, en examinant les solutions possibles pour naviguer face aux risques grâce à des chaînes d’approvisionnement agiles, adaptables et alignées.
L’office national des statistiques (ONS) vient de rendre la situation économique nationale au quatrième trimestre 2024. Il en ressort une croissance significative du Produit Intérieur Brut (PIB), avec une hausse de 4,2%, contre 3,0% lors de la même période en 2023.
Dans un contexte d’incertitude liée aux droits de douane dans le paysage commercial et économique mondial, de nombreux pays, entreprises et investisseurs ont adopté une position défensive en se tournant vers les services. Une position justifiée par le fait que le nombre record de restrictions commerciales dans le monde a, à ce jour, été principalement axé sur les biens.
Les micro, petites et moyennes entreprises (MPME) sont confrontées à d’importants obstacles commerciaux, qu’il s’agisse d’un financement limité ou d’une réglementation complexe.
L’insécurité alimentaire et la malnutrition infantile aiguës ont progressé pour la sixième année consécutive en 2024, précipitant des millions de personnes au bord du gouffre dans certaines des régions du monde les plus vulnérables, selon le Rapport mondial sur les crises alimentaires édité par l’organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).
L’apaisement des tensions commerciales entre les Etats-Unis et la Chine devrait entraîner un assouplissement des prévisions baissières pour l’économie mondiale, alors que les perspectives s’éloignent pour les pires scénarios.
Les restrictions à l’exportation de matières premières critiques se généralisent alors que la demande s’envole dans le sillage des transitions écologique et numérique, et en réaction à l’inquiétude grandissante pour la sécurité économique.
Une enquête de l’Office national des statistiques (ONS) auprès des chefs d’entreprise a révélé que l’activité industrielle au quatrième trimestre 2024 par rapport au trimestre précédent avait augmenté notamment chez le secteur privé, où la hausse, dit-on, est plus «prononcée».
La production industrielle du secteur public national a enregistré une nouvelle hausse de 4,8% au quatrième trimestre 2024, situant ainsi la croissance moyenne annuelle à 3,7%, indique l’Office national des statistiques (ONS).