Les entreprises mondiales commencent à s’adapter à ce changement en privilégiant les compétences aux diplômes en matière de développement de la main-d’œuvre.
Un nouveau plan ambitieux décliné par des experts nationaux. Il s’agit de promouvoir une collaboration intersectorielle et développer des solutions adaptées aux réalités algériennes et africaines mais aussi fabriquer des équipements performants, compétitifs et adaptés aux spécificités régionales.
Sous l’effet de la croissance démographique et d’une tendance continue à l’urbanisation, la population des 1000 plus grandes et des plus importantes villes du monde devrait augmenter de plus de 0,5 milliard d’ici 2050.
Selon l’Organisation mondiale du commerce, tous les indices des composantes du baromètre restent supérieurs ou égaux à la tendance, à l’exception de l’indice des composants électroniques (95,4), qui s’est stabilisé en dessous de la tendance.
Les pays en développement ont dépensé un montant inédit de 1400 milliards de dollars au titre du service de leur dette extérieure, la charge des intérêts ayant atteint en 2023 son niveau le plus élevé depuis 20 ans.
L’économie mondiale devrait rester résiliente malgré des difficultés considérables, et la croissance du PIB mondial devrait atteindre 3,3% en 2025 et en 2026, contre 3,2% en 2024, selon un communiqué de presse de l’Organisation de coopération et développement économiques (OCDE).
Selon un rapport de l’OCDE, la croissance de la productivité du travail est restée faible au cours de la dernière décennie, la moitié des régions de l’OCDE ont enregistré une croissance inférieure à 0,8% par an.
L’organisation mondiale du commerce (OMC) vient de publier des profils par secteurs des chaînes de valeurs mondiales (CVM) et donne des indications sur l’interdépendance des économies et des industries en matière de chaînes d’approvisionnement du secteur manufacturier.
L’immobilier est confronté à un énorme déficit dans le financement de ses plans de neutralité carbone, et il y aura une opportunité en 2025 afin d’initier des projets de décarbonation et d’accélérer la transition vers une économie à faible émission de carbone.
L’intelligence artificielle (IA) peut réduire les coûts commerciaux, remodeler le commerce des services, accroître le commerce des biens et services liés à l’IA et redéfinir les avantages comparatifs des économies.
Ces dernières années, les exportations de biens intermédiaires (BI) ont augmenté beaucoup plus rapidement que les importations, ce qui a entraîné une réduction significative du déficit commercial en Afrique en matière de biens intermédiaires.
Selon une récente enquête – sondage d’opinion – auprès des chefs d’entreprise du secteur du commerce, initiée par les services de l’Office national des statistiques (ONS), l’activité commerciale a augmenté au cours du second trimestre de l’année en cours par rapport au trimestre précédent, selon les commerçants du secteur de la droguerie, quincaillerie, appareils électroménagers et parfumerie (DQAEMP) ainsi que pour celui des textiles.
L’immigration permanente vers les pays de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a battu un nouveau record en 2023, avec 6,5 millions de personnes. Le nombre de migrants temporaires et de demandeurs d’asile a aussi fortement augmenté, selon un nouveau rapport de cette organisation internationale.
Les banques multilatérales de développement (BMD) porteront leurs financements climatiques en faveur des pays à revenu faible et intermédiaire à un montant total de 120 milliards de dollars par an d’ici 2030, dont 42 milliards de dollars consacrés à l’adaptation, tandis qu’elles prévoient de mobiliser 65 milliards de dollars auprès du secteur privé.
Le fossé se creuse davantage entre les pays industrialisés et ceux en développement dans un environnement mondial marqué par une croissance faible, un endettement élevé et une faiblesse de l’investissement et du commerce. C’est du moins ce qui ressort du nouveau rapport de l’ONU commerce et développement (ex- Cnuced) sur le commerce et le développement dans le monde en 2024.
Halim Megherbi est expert international, formateur et conférencier spécialisé dans la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme. Il intervient depuis plus de 17 ans auprès des entreprises du secteur financier en France, au Luxembourg, en Suisse, à Monaco et en Belgique. Auteur du livre Money Mask - Les dessous du blanchiment d’argent, M. Megherbi revient dans cet entretien sur les tenants et aboutissants de la mise de l’Algérie par le GAFI sur la liste grise du Groupe d’action financière.
Les technologies de pointe, y compris l’intelligence artificielle (IA) et l’apprentissage automatique, changent le monde à un rythme sans précédent. A mesure que ces changements s’accélèrent, l’avenir du travail change fondamentalement et la capacité à faire la transition vers de nouveaux emplois est plus essentielle que jamais.
L’évolution de la production industrielle par secteur d’activité a permis de relever que le secteur de l’énergie poursuit sa croissance et a marqué un nouveau taux remarquable de +10,2% durant ce deuxième trimestre 2024 par rapport à la même période de l’année précédente.
En 2023, l’économie algérienne a enregistré une croissance en termes réels de l’ordre de 4,1%, contre 3,6% en 2022. Ces premières évaluations de la croissance globale indiquent que la performance économique en 2023 est significative, précise l’Office national des statistiques (ONS) dans une récente publication.
L’économie mondiale est confrontée à un problème de croissance lente, avec des ralentissements successifs au cours de chaque décennie du millénaire actuel, estiment des économistes de la Banque mondiale, pour qui «l’économie mondiale se porte mieux que ce que nous avions prévu il y a à peine six mois, mais elle se porte beaucoup moins bien qu’il y a six ans».