Quatre syndicats de l’Éducation nationale ont appelé, hier, à une grève nationale le 27 novembre prochain, en signe de protestation contre le refus du ministère de l’Éducation nationale de les associer à l’enrichissement du statut particulier des travailleurs du secteur.
Quatre syndicats du secteur de l’éducation menacent de mener une grève les 28 et 29 avril, ont-ils annoncé dans un communiqué transmis hier à notre rédaction.
Des dizaines d’enseignants des trois paliers du secteur de l’éducation de la wilaya de Constantine ont organisé, dimanche matin, un important mouvement de protestation. Pancartes dans les mains portant entre autres des slogans hostiles aux responsables du secteur dans la wilaya, les protestataires se sont regroupés sous la bannière du Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l’éducation (Cnapeste), devant le siège de la direction de l’éducation pour fustiger «l’abus dont ils font l’objet depuis des mois».
Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a annoncé, hier dans un communiqué, la formation de 58 000 enseignants aux techniques d’enseignement en anglais dans le cadre de la démarche visant à renforcer l’utilisation de cette langue dans le milieu universitaire.
Le Syndicat national des professeurs d’enseignement paramédical (Snpepm) rejette fermement le projet de loi relatif au statut particulier et au régime indemnitaire, et appelle à sa révision.
Lors de sa visite jeudi dans la wilaya de Tizi Ouzou, le ministre de l’Education nationale, Abdelhakim Belaabed, a affirmé que la nouvelle mouture du projet de statut particulier «apportera de nombreux acquis pour les enseignants». Non satisfaits de la démarche du ministère, qui ne les aurait pas suffisamment associés à l’élaboration de la mouture finale de ce projet, quatre syndicats en appellent au président Abdelmadjid Tebboune.
20 enseignants, représentant huit universités du sud du pays, prennent part actuellement à la formation régionale pour renforcer l'utilisation de la langue anglaise, lancée cette semaine à l'université Hamma Lakhdar d'El Oued.
Le secteur de l’Éducation nationale est aux prises avec de nombreux défis, au centre desquels figure le besoin de prendre le virage de la qualité. Maintenant que les salaires et les statuts des enseignants ont été revalorisés, il serait utile de lancer un débat pour toucher l’essentiel, à savoir instaurer un modèle de gouvernance qualitative de la profession enseignante, qui tient un rôle prépondérant.
Plus de 50 nouveaux articles sont élaborés et plus de 50 autres sont modifiés dans la version validée du statut particulier et du régime indemnitaire, adoptée la semaine dernière par le Conseil des ministres qui concerne principalement les enseignants universitaires, tous grades scientifiques confondus, a déclaré le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.
Des syndicats du secteur de l’éducation nationale montent au créneau pour dénoncer ce qu’ils appellent «l’opacité» dans l’élaboration du projet de statut particulier des enseignants.
Des dizaines d’enseignants à l’université Abderrahmane Ibn Khaldoun de Tiaret ont observé, jeudi, un sit-in en signe de protestation contre ce qu’ils considèrent comme «une montée vertigineuse de la violence dans les campus» non sans «fustiger le comportement d’un étudiant qui a violemment agressé deux enseignants, le vice-doyen et un chef de département en marge d’un examen au pôle dit SN Métal, mardi passé».
Qui devient enseignant ou enseignante en Algérie ? Qu’attend exactement l’école publique de l’instituteur ou de l’institutrice ? Comment est évalué le corps enseignant ?
Si le coup d’envoi de la nouvelle année scolaire a été donné officiellement le 19 septembre dernier, ce n’est qu’en fin de cette semaine que les cours ont débuté effectivement au lycée Lyès Derriche de Draria, soit avec un retard de trois semaines.
Trois semaines après le coup d’envoi officiel de la nouvelle année scolaire 2023/2024, les élèves du lycée Lyès Derriche de Draria n’ont toujours pas entamé leur cursus et se voient contraints de pointer dans l’établissement tous les jours, sans pour autant suivre les cours, au grand dam de ces élèves et de leurs parents très inquiets de cette situation.
Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique est en train de finaliser le dossier des augmentations des salaires et la révision du statut particulier des enseignants, toutes catégories confondues.
Le ministère de l’Education nationale annonce que les enseignants titulaires ayant soumis une demande de transfert vers une autre wilaya, via leur compte personnel sur la plateforme numérique du ministère dans les délais s’étant terminés le jeudi 31 août 2023 à minuit, doivent impérativement accéder à la même plateforme (https://ostad.education.gov.dz) dans la période allant du 5 au 7 septembre pour valider les informations enregistrées.
Dorénavant, la participation à des conférences internationales est subordonnée pour les enseignants universitaires et les étudiants à un accord préalable des instances habilitées au niveau de leurs établissements.
L’Institut national supérieur du cinéma, relevant du ministère de la Culture et des Arts, qui ouvrira prochainement ses portes, a annoncé le recrutement prochain de professeurs et d’enseignants dans différentes spécialités du cinéma, a indiqué un communiqué du ministère.
Le problème du site dans lequel ont été transférés plus de 140 enseignants de l’ex-Ecole supérieure de technologies industrielles (ex-ESTI, ex-EPST) est toujours d’actualité.
Les derniers rebondissements d’un vol de surpresseurs (pompes à eau) dont ont été victimes, la semaine dernière, des habitants de la cité des 70 logements de fonction de l’université 8 Mai 1945 de Guelma, a fait réagir les enseignants. «Il est inconcevable qu’une cité comme la nôtre soit ouverte à toutes les tentations, tentatives et vols qualifiés», ont révélé, hier, à El Watan des habitants de cette cité, visiblement offusqués par la dégradation de la situation sécuritaire qui prévaut dans ce lieu.