Poursuivi pour les délits d’«abus de fonction», «entrave au bon fonctionnement de la justice» et «incitation à la partialité», en lien avec des faits datant de 2016, l’ancien ministre de la Justice, Tayeb Louh, devait comparaître hier devant le pôle financier près le tribunal de Sidi M’hamed, à Alger, avec son secrétaire général, Tayeb Belhachem (en liberté), et un des frères Kouninef, Tarek Noah, propriétaires du groupe KouGC, mais le procès a pour la troisième fois été ajourné d’une semaine, en raison de l’absence de Me Mahdjouba, avocat de l’ex-ministre, atteint de Covid-19, selon ses confrères. Le président a tenu à préciser à Louh qu’il s’agit «du dernier report» qui sera accordé.
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et ses alliés devraient s’en tenir à leur plan de production actuel, lors de leur prochaine réunion début mars, selon les déclarations de plusieurs pays producteurs du Golfe, réunis lors d’une conférence sur l’énergie organisée dimanche à Riyad, en Arabie Saoudite. Les ministres de l’Energie des Emirats arabes unis, du Koweït et de l’Irak ont déclaré que le groupe devait s’en tenir à son accord actuel «pour maintenir l’équilibre du marché et éviter tout excédent».
Poursuivi pour avoir «abusé» de sa fonction, en «donnant des instructions» à ses subordonnés pour mener, puis arrêter les enquêtes liées à la corruption impliquant Mme Maya, de son vrai nom Zoulikha Nachinèche, les deux enfants (El Wafi et Skender) de Djamel Ould Abbès, ex-secrétaire général du FLN, à la député de Boumerdès, ainsi qu’aux fonds saisis dans le cadre de ces enquêtes, l’ancien coordinateur des services de sécurité, le général-major à la retraite Bachir Tartag, devait être jugé hier par le tribunal militaire de Blida, mais son procès a été renvoyé, apprend-on auprès de certains avocats constitués, à une date «ultérieure» sans l’arrêter.
La bibliothèque Mohamed El Mili, nouvellement inaugurée à Tiaret, recense 200 000 documents, dont 33 000 livres, tous genres confondus l Elle devra faire le bonheur des étudiants et des passionnés de lecture.
Des experts de l’Unesco, réunis en 2018 lors d’une rencontre internationale sur la conservation et la revitalisation de La Casbah d’Alger, ont préconisé la création d’une agence unique chargée de la gestion du dossier de La Casbah d’Alger en vue d’améliorer ses performances à travers une vision basée sur le développement durable.
Nous assistons aujourd’hui à un rythme de développement très accéléré et une évolution technologique spectaculaire. Il est clair que la technologie a envahi notre quotidien, ce qui est utopique de s’en passer, car le numérique est l’avenir.
Encore une fois, la pénurie de lait en sachet, au prix subventionné estimé à 25 DA l’unité, fait encore une fois parler de lui dans la wilaya de Mostaganem. Le problème perdure depuis des semaines.
La direction de la culture de la wilaya de Béjaïa a lancé du 16 février au 4 mars la 1er édition du grand Concours virtuel de chant populaire féminin sous le slogan : «Tafsut n’cna n’lxalat» (Primtemps du chant populaire féminin).
L’association culturelle de la musique andalouse Ibn Badja de Mostaganem a annoncé, dimanche, l’organisation prochaine de la deuxième édition du concours national des jeunes talents en musique andalouse El Sanaa avec le prix dédié au Cheikh Moulay Benkrizi.
Des vents forts parfois en rafales pouvant atteindre ou dépasser 90 Km/h, souffleront mardi 22 février, sur plusieurs wilayas de l'Est du pays, alerte un bulletin météo spécial (BMS) émis par l'Office national de la météorologie.
Le Pôle pénal économique et financier du Tribunal de Sidi M'hamed (Alger) a reporté lundi 21 février, au 28 février 2022, le procès de l'ancien ministre de la Justice, Tayeb Louh et de l'homme d'affaire, Tarek-Noah Kouninef.
Alors que le prix de la pomme de terre connaît une flambée exceptionnelle, nous avons approché des agriculteurs de la wilaya de Aïn Defla pour tenter de percer le mystère de cette hausse. Les fellahs que nous avons rencontrés pointent notamment la cherté des intrants (engrais, semence et produits phytosanitaires) et la baisse de la production, en alertant sur la précarité grandissante qui gagne de plus en plus de paysans.
Cinquante requêtes de dénonciation de pratiques concurrentielles illicites de la part de certains distributeurs de produits pharmaceutiques, dont la vente concomitante émane des pharmaciens d’officine, sont à l’étude au niveau de l’inspection générale, a annoncé le ministère de l’Industrie pharmaceutique dans un communiqué rendu public samedi.
A Bouira, Skikda, M’sila, Mostaganem, Mila… et dans d’autres wilayas du pays, des centaines de jeunes se sont amassés devants les sièges des annexes de l’ANEM dans l’espoir de déposer leurs dossiers de «candidature» à cette allocation.
Le procès du général-major à la retraite Bachir Tartag, ancien coordinateur des services de renseignement, s’ouvre aujourd’hui, devant le tribunal militaire de Blida.
Il a fallu l’intervention du doyen de la faculté de médecine, le Pr Bouaziz, pour que la grève n’ait pas lieu. En effet, il a invité les médecins de la chirurgie générale, gastrique et vasculaire à la table des négociations face au directeur du CHU Annaba qui a lâché du lest en répondant favorablement aux revendications des médecins.
Les éléments de la 1re sûreté urbaine de la wilaya de Relizane ont mis fin à l’activité d’une bande spécialisée dans les opérations d’avortement.
A travers Sur le chemin des sables en feu, l’auteur Brahim Sadok signe son premier roman aux éditions ANEP. Dans ce livre à la narration bien construite, ce diplômé de l’ENA et natif de Aïn Sefra revient sur une vie humaine réelle saupoudrée de fiction. Entretien -à point- avec cet auteur cet universitaire qui nous aide à mieux comprendre la portée de son roman historique.
Un autre homme de culture tire sa révérence. Il s’agit du cinéaste Djamel Bendeddouche, décédé durant la nuit de samedi à dimanche, à Alger, à l’âge de 80 ans. Il était le réalisateur du film Arezki l’indigène, sorti en 2008, qui retrace les exploits du bandit d’honneur Arezki El Bachir, en Kabylie, durant la période du colonialisme français.
Finie la crise de l’eau pour les populations du sud de Sendjas à la limite entre la wilaya de Chlef et celle de Tissemsilt, et cela grâce à l’accès et la disponibilité, pour la première fois, de l’eau dans les robinets à partir du barrage de Sidi Yacoub.