Plus de 70 km du littoral de la wilaya de Boumerdès ne sont pas protégés contre la pollution due aux rejets des eaux usées dans la mer ou les plages. Sur les 90 km de côtes, seulement 20 km sont à l’abri de ce phénomène qui s’amplifie au fil des ans à cause notamment de l’urbanisation anarchique.
Les années passent et le cadre de vie à la troisième tranche de la cité Boussouf, dans la ville de Constantine, ne cesse de se dégrader d’une manière déplorable. Les habitants cultivent le sentiment de vivre dans un ghetto loin du brouhaha et des lumières du boulevard principal.
Le projet vise, entre autres, à réduire le risque de pollution de l’eau et de salinisation des sols en économisant l’eau douce et en minimisant l’utilisation externe des ressources pour la fertilisation des cultures, évitant ainsi une nouvelle contamination des terres et de l’eau.
Une remarquable prise de conscience a été constatée, ces dernières années, chez les pouvoirs publics au sujet de l’importance des stations d’épuration des eaux usées (STEP), en raison de leur impact, non seulement sur l’environnement, mais surtout pour faire face aux aléas des changements climatiques, dont le phénomène de la sécheresse.
Le secteur de l’Hydraulique a élaboré un programme spécial pour la réutilisation des eaux épurées, dont la première tranche, d’un montant de 34 MDS de DA, a été approuvée.
Dans le but de faire face au stress hydrique et préserver les eaux souterraines, celles des barrages et des oueds, quatre stations d’épuration, à savoir Mostaganem, Sidi Ali, Sidi Lakhdar et Khadra seront dotées, à moyen terme, de dispositifs de traitement tertiaire qui permettent une augmentation du potentiel hydrique de réutilisation pour l’irrigation agricole et l’arrosage des espaces verts.
La Station d’épuration des eaux usées (STEP) de Ben Khelil, au nord de Blida, verra l’introduction, début 2024, d’une nouvelle technologie permettant le traitement tertiaire des eaux usées, dans le but de leur exploitation dans l’irrigation agricole, a-t-on appris auprès de la direction locale des ressources en eau.
En ces temps de sécheresse et de réchauffement climatique exacerbé, il est certainement opportun de réfléchir à des solutions concrètes pour assurer une sécurité hydrique pour notre pays.
Ces derniers jours de chaleurs caniculaires, les plages du littoral sont prises d’assaut au point où certaines familles ne pouvaient se frayer une place sur la bande de sable avant de se rafraîchir.
Dans un communiqué parvenu à notre rédaction, la laiterie Soummam a fait part du lancement des travaux de réalisation d’une station d’épuration afin de recycler l’ensemble des eaux usées produites par ses deux unités de production sises dans la zone industrielle de Taharacht, à Akbou.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a présidé, hier, une réunion du Conseil des ministres consacrée aux secteurs de l’hydraulique et de la poste ainsi qu’aux préparatifs des Jeux olympiques de 2024, a indiqué un communiqué de la présidence de la République.
Inaugurée en grande pompe après bien de couacs et mise en service en 2008, la station d’épuration des eaux usées de Tiaret par abréviation «STEP-Tiaret» fait encore parler d’elle, plus de quinze années après sa réalisation, équipement et formation y compris par l’entreprise Allemande LIND.
Plusieurs villes de la wilaya de Boumerdès continuent de déverser les eaux usées dans la nature. C’est le cas de Naciria, une localité de près de 25 000 habitants qui ne compte aucune station de relevage ou d’épuration des eaux usées.
Le gel sur le projet de réalisation d’une station de relevage des eaux usées de Mers El Hadjadj (est d’Oran) a été levé, a-t-on appris, lundi, du président de l’Assemblée populaire communale (P/APC) de cette collectivité, Boudelal Mehdi.
La problématique du traitement des eaux usées a été au centre des débats lors d’une journée d’étude organisée, cette semaine, à l’Unité de développement des équipements solaires (UDES) de Bousmail, wilaya de Tipasa.
La station d’épuration (STEP), en cours de réalisation à proximité de la ZAC de Taharacht, dans la commune d’Akbou, enregistre un taux d’avancement de près de 80%. C’est ce que nous avons appris ces derniers jours d’un responsable de l’Office national d’assainissement (ONA), l’organisme en charge du management de ce projet. «Le chantier a connu plusieurs interruptions dues à certains aléas, mais surtout à la défaillance des entreprises en charge des travaux.
Le manque de pluviométrie suscite moult inquiétudes chez les agriculteurs de la wilaya de Boumerdès. Les effets de la sécheresse se font sentir même au niveau des périmètres irrigués.
Une réalisation-pilote, l’unique en son genre pour une unité privée, de la Conserverie Amor Benamor (CAB). Un projet qui a été concrétisé au mois de juillet 2021, avec la mise en service de deux stations de filtration et d’épuration des eaux industrielles qui seront déversées dans l’oued pour être réutilisées pour l’irrigation des terres agricoles exploitées par les fellahs de la région. Reportage.
L’entreprise SAPTA est chargée de la réalisation d’un tronçon de route menant du deuxième rond-point de Safsafa vers l’autoroute de la Côte, en passant par un pont dit pont de Gué de Constantine ou pont El Abki.