Depuis quelques mois, les deux premières économies au monde, la Chine et les USA, tentent de renouer le dialogue, même s’ils continent à s’opposer sur un certain nombre de dossiers, dont l’accès aux technologies de pointe, l’avenir de Taïwan ou encore l’application TikTok, menacée d’interdiction aux Etats-Unis.
Le pouvoir malien poursuit ses gestes inamicaux à l’égard de l’Algérie. Après avoir provoqué une crise diplomatique entre les deux pays, le chef de la junte au pouvoir dans ce pays, le colonel Assimi Goïta, s’attaque désormais à l’Accord de paix d’Alger, signé par les différentes parties maliennes en 2015.
Une telle initiative peut éviter à la région le pire des scénarios qui la guette en raison de sa proximité avec de nombreux pays en crise.
Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ahmed Attaf, a abordé avec la secrétaire d’Etat adjointe américaine en charge des organisations internationales, Michele Sison, sa visite prochaine à Washington à l’invitation de son homologue Antony Blinken.
Le syndicat de l’EPIC Netcom dénonce la situation de «tension et d’instabilité» qui prévalait au sein de l’établissement. Il a réaffirmé être ouvert au dialogue avec la direction.
Le parti Talaiou El Houriyat, formation fondée par l’ancien chef de gouvernement, Ali Benflis, lance, lui aussi, une nouvelle initiative politique. Les contours de cette dernière ont été esquissés par le bureau politique de ce parti, dans un communiqué rendu public, hier.
Le secrétaire à la Défense américain, Lloyd Austin, a jugé hier «essentiel» de renouer le dialogue avec la Chine pour éviter des «malentendus» pouvant mener à un conflit entre les deux puissances, selon des propos recueillis par l’AFP.
Le dossier Tunisie n’a certes pas été examiné, lors des dernières Assises du printemps des instances financières internationales la semaine dernière à Washington, il n’empêche que l’aide à la Tunisie est au milieu de plusieurs rencontres de haut niveau en marge de ces Assises.
L’Algérie accueille dans ses «murs» le haut représentant de l’UE pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité, Josep Borrell. Une visite qui s’inscrit d’emblée dans le cadre de l’accord d’association entre l’Algérie et l’Union européenne, signé il y a près de dix ans sous le «règne» de l’ancien président, aujourd’hui disparu, Abdelaziz Bouteflika.
Succès Masra, un opposant à la junte au pouvoir au Tchad, a appelé hier, jour de l’ouverture du dialogue, à «la résistance pour la justice et l’égalité». Wakit Tamma, une coalition de partis de l’opposition et de membres de la société civile, a refusé de participer au dialogue, accusant la junte de perpétuer des «violations des droits humains» et de préparer une candidature à la présidentielle du général Déby.
Le Front des forces socialistes (FFS) a appelé à l’ouverture d’un «dialogue inclusif» en vue d’engager un «véritable processus politique et démocratique de changement».
Le FFS a toujours fait du dialogue constructif son principe fondamental. Ce sont les pouvoirs publics qui refusent le dialogue et c’est dans cette perspective que nous avons répondu favorablement à l’invitation du président de la République», a assuré d’emblée Youcef Aouchiche, premier secrétaire du Front des forces socialistes (FFS), lors d’une conférence de presse animée hier au siège national du parti à Alger.
Les cycles de dialogue ont été, dans l’histoire récente du pays, réédités sous plusieurs formes et appellations.
Oui, il y a du nouveau dans la Nouvelle Algérie, «l’instauration de la culture de la concertation et du dialogue entre l’Exécutif, les syndicats, la société civile et les personnalités indépendantes», selon les termes utilisés par Soufiane Djilali
Les médias viennent de faire part de la volonté du président Abdelmadjid Tebboune de proposer une action politique inscrite dans un esprit de rassemblement national pour répondre à une pressante demande interne et aux nouvelles exigences de la conjoncture internationale.
Après sept mois de protestation, le Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l’éducation (Cnapeste) affirme être prêt à négocier la fin de ses actions.
L’Arabie Saoudite sunnite et l’Iran chiite ont coupé leurs liens en 2016, après l’attaque de missions diplomatiques saoudiennes par des manifestants dans la République islamique à la suite de l’exécution par Riyad d’un célèbre religieux chiite.
Dans l’entretien accordé à El Watan, le président du Syndicat autonome des travailleurs de l’éducation et de la formation (Satef) et frais émoulu coordinateur de la Confédération des syndicats autonomes (CSA), Boualem Amoura, revient sur le constat fait par les syndicats autonomes réunis dernièrement : érosion du pouvoir d’achat et «insignifiances» des dernières augmentations salariales. Pour Amoura, les représentants des travailleurs, réunis au sein de la CSA, plaident pour un SNMG de 80 000 DA. Le syndicaliste est favorable à l’ouverture d’un dialogue «sérieux» afin d’éviter une explosion sociale. «Nous devons être associés à toutes les questions qui concernent la vie et l’avenir des travailleurs. Nous sommes pour l’inclusion et non pour l’exclusion», affirme-t-il.
Le président par intérim du Burkina Faso, le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba, auteur d’un coup d’Etat le 24 janvier, a annoncé la création de comités locaux de dialogue avec des groupes armés djihadistes qui frappent son pays depuis 2015.
Les huissiers dénoncent un nouveau régime fiscal «injuste envers la profession et qui pourrait mener à la faillite de leur activité».