Au cours de l’année écoulée, le conflit au Moyen-Orient a entraîné une forte volatilité des cours du pétrole, en raison notamment de la crainte de dommages aux infrastructures pétrolières et gazières des principaux producteurs si le conflit venait à s’intensifier.
Les réunions annuelles du printemps de la Banque mondiale (BM) et du Fonds monétaire international (FMI) ont débuté, hier, à Washington, en présence du ministre des Finances, Laaziz Faid, et du gouverneur de la Banque d’Algérie, Salah Eddine Taleb, dans un contexte particulier marqué par les tensions géopolitiques et les inégalités entre pays.
Outre l’inflation, la directrice général du Fonds monétaire internationale (FMI), Kristalina Goergieva, appelle à combattre la dette.
La Banque mondiale a publié récemment les nouvelles données pour booster l’investissement sur les marchés émergents, lesquels témoignent de la résilience et du potentiel inexploité.
Dans son rapport intitulé «Les femmes, l’entreprise et le droit», le groupe de la BM constate que l’écart entre les genres en matière d’opportunités économiques est tel que la moitié de l’humanité, 3,9 milliards, se heurte à des obstacles juridiques qui entravent sa participation à la vie économique.
Le Groupe de la Banque mondiale a annoncé fin février une refonte majeure de ses activités dans le domaine des garanties qui permettra de gagner en simplicité, en accès et en rapidité d'exécution dans le cadre d’une nouvelle plateforme centralisée et adaptée.
Le ministre des Finances, Laaziz Faid, a reçu, hier à Alger, l’administrateur représentant la circonscription à laquelle appartient l’Algérie au niveau du Conseil d’administration du groupe de la Banque mondiale (BM), Sayed Tauqir Hussain Shah, avec lequel il a évoqué les défis économiques et sociaux de l’Algérie et de la région.
L’appui au programme transition énergétique en Algérie, notamment l’énergie éolienne et l’autoproduction d’électricité à partir de sources d’énergie solaire, a été au menu de la visite à Alger, d’une délégation de la Banque mondiale (BM), du 22 au 24 janvier courant.
«La hausse de la production de pétrole résultant de l’assouplissement des mesures de réduction début 2024 devrait contribuer à une croissance plus rapide en Algérie», analyse la Banque mondiale dans son rapport sur les perspectives économiques mondiales pour 2024, publié début janvier.
Les transferts de fonds des diasporas vers leurs pays d’origine ont augmenté en 2023 de 3,8%, indique la dernière note d’information de la Banque mondiale (BM) sur les migrations et le développement.
Dans son analyse de l’évolution de l’économie algérienne, la Banque mondiale (BM) prendra désormais en compte les données sur l’éclairage nocturne par image satellite notamment au niveau des sites pétroliers et gaziers.
Un récent rapport de la Banque mondiale (BM) fait ressortir une baisse des transferts de fonds vers l’Algérie. Une baisse entamée depuis quelques années et qui s’est accentuée en 2022 puisque l’Algérie occupe, selon la même source, la neuvième place en termes de fonds reçus. Elle arrive bien après la Tunisie l’Egypte, le Maroc et le Nigeria.
Le PIB de l’Algérie a retrouvé son niveau d’avant la pandémie en 2022, tandis que les prix élevés du pétrole et du gaz ont permis une amélioration marquée de ses soldes extérieurs et budgétaires.
A long terme, l’emploi est le moyen le plus sûr de réduire la pauvreté et les inégalités.» C’en est là une des conclusions des travaux de la Banque mondiale ayant choisi, pour cette édition, de célébrer le 17 octobre, la Journée internationale de l’élimination de la pauvreté, sous le thème «Travail décent et protection sociale pour mettre la dignité en action».
La Banque mondiale s’est intéressée cette fois-ci au précieux liquide d’eau douce en période de rareté dans le monde. Dans une étude rendue publique cette semaine, ayant pour thème «La richesse cachée des nations : l’économie des eaux souterraines en période de changement climatique», elle affirme que «les nappes phréatiques sont notre principale ressource en eau douce, notamment en période sécheresse».
Selon les prévisions de la BM, d'ici à la fin 2024, l'activité économique dans les pays émergents et en développement devrait en effet être inférieure d'environ 5% aux projections établies à la veille de la pandémie. Dans les pays à faible revenu, en particulier les plus pauvres, les dégâts sont considérables : dans plus d'un tiers de ces pays, le revenu par habitant à l’horizon 2024 sera inférieur aux niveaux de 2019.
La demande sur la main-d’œuvre devra augmenter sensiblement durant les prochaines décennies. Et la migration est une fatalité à bien gérer pour que les pays, d’origine ou de destination, en tirent profit.
Selon les projections de la Banque mondiale, «d’ici à 2030, les ressources en eau disponibles par an et par habitant dans la région MENA tomberont sous le seuil de pénurie absolue de 500 mètres cubes par personne et par an».
Après la table ronde dédiée à la restructuration de la dette des pays les plus endettés, tenue la semaine dernière en présence des principaux pays créanciers, dont la Chine, et des représentants des créanciers privés et la Zambie, l’un des pays concernés par les discussion en la matière, depuis plus de deux ans, le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale (BM) ont ouvert officiellement le 13 avril leurs réunions conjointes de printemps.
L’économie mondiale patauge de plus en plus dans l’incertitude malgré la quasi-fin de la pandémie de Covid-19. Hier se sont ouverts, à Washington, les travaux des réunions de printemps des institutions de Bretton-Woods, Fonds monétaire international et Banque mondiale, dans un climat économique mondial marqué par des perspectives inquiétantes accentuées par l’enlisement du conflit russo-ukrainien et la crise financière américaine.