Des professeurs en médecine émérites se sont succédé à la tête du ministère de la Santé avec l’ambition de remettre sur pied un secteur névralgique resté en souffrance durant de longues années.
Une autre année scolaire touche à sa fin avec les mêmes constats à répétition depuis de nombreuses années. Trente ans après le triste constat établi par le défunt président de la République Mohamed Boudiaf, déplorant que «l’école algérienne est sinistrée», qu’est-ce qui a vraiment changé ?
Le compte à rebours est enclenché pour les épreuves du BEM (Brevet d’enseignement moyen) et du baccalauréat, respectivement du 6 au 8 juin et du 12 au 16 juin.
Jamais la scène politique n’a été aussi figée, singulièrement au niveau du Parlement, qui est en principe le cœur de la vie publique nationale. Dans cette enceinte doit s’exercer la noble notion de séparation des pouvoirs et doit s’appliquer le contrôle sans concessions de l’activité gouvernementale, ce que fixent bien tous les textes fondamentaux.
Le FMI vient de mettre en garde les pays dépendants des marchés d’importation des produits alimentaires contre les risques d’une aggravation du phénomène de l’inflation et de la crise suite à la poursuite de la guerre en Ukraine.
Les cycles de dialogue ont été, dans l’histoire récente du pays, réédités sous plusieurs formes et appellations.
Il faut beaucoup pour une jeune nation pour s’émanciper du rôle mineur auquel elle est astreinte dans la division internationale du travail, et son corollaire de sous-développement et de dépendance économique.
L’Afrique fait face à présent à un grand défi sanitaire. La pandémie de Covid-19 a montré l’importance de produire localement des vaccins et des médicaments vitaux.
Rien ne transparaît dans le projet de la «main tendue» du président de la République, ni dans ses interventions publiques, ni dans les propos de ses interlocuteurs conviés au palais d’El Mouradia.
Le 22 mai, lundi, le monde a célébré la Journée mondiale de la Biodiversité (BD) dans un contexte anxiogène pour la planète.
Des chiffres ahurissants qui doivent nous pousser à réfléchir. Plus de 5100 incendies pour les années 2020 et 2021. Plus de 100 000 hectares de forêt ravagés par les incendies rien que pour l’été passé.
La nouvelle réforme contenue dans le projet d’amendement du code de l’investissement constitue une avancée indéniable visant à permettre à la fois d’assurer l’attractivité du pays pour l’implantation des entreprises étrangères et débureaucratiser l’acte d’investir pour se mettre au diapason des pratiques internationales en la matière.
Face aux bouleversements géostratégiques profonds qui secouent le monde, induisant une redéfinition systémique des rapports de forces internationaux, comme c'est le cas aujourd'hui avec la guerre en Ukraine, l’Algérie se cherche et s’emploie laborieusement à tirer son épingle du jeu.
C’est aujourd’hui que doit se tenir un Conseil des ministres entièrement consacré à l’avant-projet du code des investissements.
La menace du stress hydrique dans notre pays est une réalité bien connue de tous. Certaines études nous placent parmi les 30 nations mondiales se trouvant sous le couperet de la sécheresse.
Ce qui est qualifié de «dialogue politique» se résume, au stade actuel, à une rencontre entre le chef de l’Etat et des leaders de parti et des personnalités diverses.
L’actuel avant-projet de réforme de la loi relative à l’investissement prône «la liberté d’initiative» et promet surtout de «débureaucratiser» l’investissement.
Le régime tant honni de Bouteflika avait entamé son règne par la mise en place d’«associations citoyennes» qui avaient pour mission de casser les ressorts de la société civile et de la remodeler à l’image du système de gouvernance en construction. L’opération de charme avait fonctionné un moment et a eu le temps de causer quelques retentissants dommages collatéraux dans des régions qui affichaient un dynamisme démocratique de bon aloi.
Ce samedi 14 mai, un mois déjà se sera écoulé depuis la disparition du quotidien Liberté, dont le dernier numéro, rappelez-vous, a été imprimé le jeudi 14 avril 2022.
Une fois encore, de prestigieuses publications internationales font l’éloge de la beauté de notre pays. Une beauté fortement marquée par sa diversité.