Un riche programme prévoyant des galas artistiques, des représentations théâtrales, des spectacles d’humour et des projections de films religieux et d’histoire a été concocté par la direction de la culture et des arts de la wilaya d’Ain Defla pour l’animation des soirées du ramadan, a-t-on appris, samedi, auprès de cette institution.
Une convention de partenariat a été signée entre la direction de la culture et des arts de Médéa, le rectorat de l’université Yahia Fares et la direction des œuvres universitaires pour l’encadrement, l’accompagnement et la collaboration en matière d’organisation et d’animation d’activités culturelles, a-t-on appris, samedi, auprès de la direction locale de la culture et des arts.
Depuis le début du mois de Ramadhan, les chaînes TV rivalisent entre séries et feuilletons, avec du bon et du moins bon. Du cinéma ? Pour certaines séries, on s’en approche, pour d’autres, c’est encore de la télévision, mais devant le vide pédagogique, le Ramadhan restera l’école de formation pour tous les métiers du cinéma.
Quelle fabuleuse manière que de célébrer, la semaine dernière, la Journée nationale des personnes aux besoins spécifiques, que de faire monter sur les planches du Théâtre régional d’Oran des comédiens talentueux, non-voyants et malentendants, pour interpréter une pièce de haute facture, en l’occurrence l’Antigone de Sophocle.
Dans le cadre des Nuits du Ramadhan, l’ambassade d’Espagne en Algérie et l’Institut Cervantès d’Alger ont élaboré un riche programme culturel et artistique pour célébrer le mois sacré du Ramadhan.
Pour la première fois dans l'histoire du festival britannique de Glastonbury, deux des trois têtes d'affiche sont des femmes, à savoir Dua Lipa et SZA. Le groupe de rock Coldplay complète le podium.
l Ce Ramadhan 2024 à Oran, pareillement à ceux des années précédentes, réserve une place de choix à la culuture.
Nous nous verrons en août», grâce à Internet j’ai lu quelques pages du roman inédit de Gabriel Garcia Marquez publié à titre posthume, dix ans après sa mort.
L’Algérie a procédé jeudi à la signature d’une lettre d’intention de coopération dans les domaines de la culture, de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de la formation professionnelle avec la fondation italienne Med Or du groupe industriel mondial Leonardo, spécialisée dans la coopération avec le Moyen-Orient et la Méditerranée.
La poésie de Mohamed Amokrane dénonce l’injustice, la violence, la bêtise humaine, l’ignorance et l’hypocrisie sociale, pour ne citer que ceux-là. Le poète, à ce titre, est un témoin gênant d’une société qui a tourné le dos à son histoire, ses traditions et ses valeurs…», dit Fayçal Medjahed, auteur et journaliste, à propos de Mélodie de l’espoir.
l La 13e édition du Festival culturel national de la chanson chaâbie aura lieu du 28 au 31, au palais de la culture Moufdi Zakaria (Alger), a-t-on appris mardi auprès du commissaire du festival, Abdelkader Bendaamache.
L’interprète de musique andalouse Lila Borsali donne rendez-vous à ses mélomanes, le 15 mars à 22h, à la salle Ibn Khaldoun, à Alger, où elle présentera son nouveau spectacle Madyan.
L’infatigable artiste peintre et plasticienne Djahida Houadef à l’Institut Cervantès à Alger avec une nouvelle collection de peinture très colorée.
Un constat s’impose : les traductions d’œuvres algériennes sont rares. Il y a eu certes les traducteurs «historiques» (Marcel Bois, Said Boutadjine, Mohamed Sari, Merzak Begtach), mais ces expériences n’ont guère suscité un véritable mouvement, comparable à celui enclenché dans le monde arabe (Liban, Egypte…)
Dans l’entretien accordé à El Watan, Mohamed Sari revient sur l’acte de traduction, ses exigences et les moyens à mettre en œuvre pour impulser un vrai mouvement de traduction dans le pays. «C’est en forgeant qu’on devient forgeron. Et c’est le même processus dans tout acte d’apprentissage, et la traduction est un vrai champ d’apprentissage pour peu que le traducteur puisse trouver un champ fertile où il puisse forger son talent et mettre en pratique les différentes théories de traductologie qu’on lui a inculquées dans les années de sa formation universitaire.»
Je suis tellement heureuse, ça veut dire que les films traversent les frontières», a-t-elle déclaré à la presse dans les coulisses de la cérémonie. «C’est un énorme soulagement pour tout le monde car nous avons commencé la course en septembre», a-t-elle confié à l’AFP.
Le numéro 14 de la revue Cinéma Horizons, perspectives cinématographiques, édité par le laboratoire d’index des films de guerre dans le cinéma algérien de l’université d’Oran 1 Ahmed Ben Bella, a porté sur des contributions traitant l’image de l’émigré dans le documentaire et la spécificité du cinéma de l’exil.
Le chef-d’œuvre de Christopher Nolan est un grand film à l’ancienne : casting éclatant, budget colossal, effets spéciaux faits maison et grands enjeux. Il retrace en plus de trois heures les moments-clés de la vie de Robert Oppenheimer, le physicien, qui fait entrer la planète dans l’ère nucléaire, précipite la fin de la Seconde Guerre mondiale avant de se voir assailli par le doute face à sa création devenue outil de toute puissance.
La maison d’édition Random House a annoncé que le roman inédit de Gabriel Garcia Marquez est publié dix ans après sa mort par ses fils.
La galerie Baya du palais de la culture a accueilli une collection artistique comprenant plus de 80 tableaux réalisés par 21 artistes plasticiennes participant à cette exposition collective qui leur est dédiée, à l’occasion de la Journée internationale de la femme, célébrée le 8 mars de chaque année.