Publié fin 2023 par la maison d’édition et de distribution Dar El Mothakaf, le roman Khamissa El Badaouia (Khamissa la bédouine), de l’écrivain et enseignant en histoire Mohamed Azza, est une halte littéraire et historique sur les sacrifices des mères des chouhada durant la guerre de Libération nationale, tout en constituant un apport significatif pour l’effort national de documentation de la mémoire et de l’histoire locale et nationale.
Mario, le plombier moustachu vedette de Nintendo, reviendra au cinéma pour de nouvelles aventures en 2026, a annoncé dimanche Nintendo, après le succès du premier film d’animation, qui s’est classé deuxième au box-office mondial l’an dernier.
l Le mangaka Akira Toriyama, créateur des célèbres Dragon Ball et Dr Slump, est décédé à l’âge de 68 ans d’un hématome sous-dural.
La troupe de chant traditionnel Tighri Idourar du village Ath Adella, dans la commune d’Illilten, à l’extrême sud-est de Tizi Ouzou, a remporté mercredi le premier prix de la deuxième édition du Festival du chant populaire féminin Urar Lkhalat.
Auréolé de 13 nominations, son portrait du père de la bombe atomique se présente en immense favori pour la statuette du meilleur film, et quantité d’autres récompenses.
Le musée Picasso de Paris, qui abrite la plus importante collection publique d’œuvres du maître, présente à partir de mardi un accrochage entièrement renouvelé, avec un tout premier hommage à son ex-compagne et peintre Françoise Gilot.
Les dénominations des rues de l’ancienne médina d’Alger sont considérées, selon le registre de la littérature «algérianiste», comme une énigme incompréhensible, voire un exotisme pittoresque et original.
l Contrairement à ce qu’on pense, le mythe du héros de la révolution est bien tardif dans le cinéma algérien, parce qu'un seul héros, le peuple, slogan non négociable adopté collectivement au lendemain de l’indépendance l Comment le traduire au cinéma et réaliser des biopics par définition centrés sur le héros individuel ?
-C’est difficile de jouer Larbi Ben M’hidi ? Plus difficile que de jouer un héros anonyme de la Révolution ? Pas vraiment, c’est un rôle, une fois qu’on est dedans, on y est, d’autant qu’il n’y a pas vraiment de documents sur sa personnalité, donc on a le droit de prendre quelques marges, l’essentiel étant de ne pas le rendre éteint. C’est un faux calme, grâce, je pense, à un travail volontaire sur lui-même.
l L’Institut culturel italien à Alger (L’Istituto Italiano di Cultura di Algeri, IICA) organise plusieurs activités artistiques et académiques jusqu’à la fin août 2024.
L’Algérie sera au rendez-vous du 3e Salon du livre africain qui se déroulera du 15 au 17 mars à Paris.
Il est un bel ouvrage du regretté Mostapha Lacheraf portant le titre de Des noms et des lieux dont l’intitulé de la présente chronique s’inspire. Dans cet essai, parmi les plus remarquables consacrés à l’algérianité, Lacheraf, avec l’esprit et la plume alertes qu’on lui connait, dresse un tableau textuel qui consacre tant l’anthroponymie que la toponymie de notre beau pays, au fil d’un récit autobiographique aussi dense que représentatif, puisqu’épousant l’histoire de tout un pays et du pays profond qui en est la sève.
Dans le cadre du projet «Tlemcen, territoire en devenir» l’association La Grande Maison et l’association culturelle pour le développement communautaire lancent un appel à candidature à destination des personnes qui ont entre 18 et 30 ans et qui sont intéressées à participer à un programme d’accompagnement autour de la photographie.
La grille des programmes qui seront diffusés durant ce Ramadhan sur les neuf chaînes de l’Etablissement public de télévision (EPTV) s’annonce riche et variée à la fois.
l La comédienne, scénariste et metteuse en scène Rym Takoucht est montée, mardi soir, sur la scène de la salle des spectacles de la maison de la culture Ali Zamoum de Bouira, pour présenter son monologue Le noir dans l’espoir à l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes.
Présidant, aux studios du Centre algérien de développement du cinéma (CADC), à El Achour, la cérémonie du coup d’envoi du tournage des films dans le cadre de l’atelier «Algérie avec amour» dédié au développement de projets cinématographiques de création féminine, la ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji, a affirmé que «le lancement de ces sept projets intervient à la veille de la Journée internationale des femmes célébrée le 8 mars, dans le but de souligner l’intérêt accordé par l’Etat, notamment le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, à la femme algérienne pour lui permettre de s’affirmer dans tous les domaines, y compris le domaine culturel, artistique et cinématographique».
l Comment Alger, qu’on croyait prise en étau entre ciel et mer, devient pour l’artiste Benyaa une ville qui a conquis astucieusement l’espace, sublimant ces deux grands bleus.
Le Festival culturel national de la poésie féminine est «l’aboutissement d’une quête constante de la préservation du statut des femmes créatives», a souligné, mardi après-midi à Constantine, la ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji, dans un discours lu en son nom par le directeur du développement et de la promotion des arts du même ministère, Cheddad Bezie.
Le film Ben M’hidi de Bachir Derais sort plus de six ans après sa mise au placard. Le long métrage a été projeté à l’Opéra d’Alger Boualem Bessaih.
Un vibrant hommage a été rendu, dimanche dernier, au défunt plasticien, décorateur et costumier de cinéma algérien, Arezki Larbi, à la maison de la culture Ali Zamoum de la ville de Bouira.