La femme et la mère de l’activiste et blogueur Merzoug Touati lancent un véritable cri d’alarme.
Le décret portant le nouveau point indiciaire des traitements et le régime de rémunération des fonctionnaires, vient d’être publié au dernier Journal Officiel (n°23). Le décret présidentiel n° 22-138 du 31 mars 2022 modifiant le décret présidentiel n° 07-304, n’a pas touché la valeur réelle du point indiciaire mais a augmenté le nombre de points, 50 supplémentaires, pour chaque catégorie et 3 points pour chaque échelon. La valeur du point indiciaire reste inchangée.
Debout et imperturbable, l’ancienne ministre de la Culture, Khalida Toumi, semblait préparée à cette condamnation à six ans de prison ferme assortie d’une amende de 200 000 DA, prononcée jeudi dernier par le pôle financier près le tribunal de Sidi M’hamed, à Alger, dans le cadre de l’affaire liée à la gestion des manifestations politico-culturelles : «Alger, capitale de la culture arabe», «Tlemcen, capitale de la culture islamique», le Festival panafricain et la préparation du film sur l’Emir Abdelkader, entre 2006 et 2014.
Le mufti général des groupes terroristes, Leslous Madani, capturé récemment à Skikda, a appelé les résidus du terrorisme à se rendre et à revenir dans le droit chemin, indiquant qu’il se repentait et qu’il regrettait d’avoir rejoint les groupes terroristes qui «ont fait du tort au peuple algérien».
Une bâtisse de R+2, se trouvant au quartier dit "5 juillet" à Bordj Bou Arreridj, s'est effondrée aujourd'hui jeudi 7 avril, suite à une explosion causée selon toute vraisemblance par une fuite de gaz.
Une bâtisse de R+2, se trouvant au quartier dit "5 juillet" à Bordj Bou Arreridj, s'est effondrée suite à une explosion causée selon toute vraisemblance par une fuite de gaz.
Une peine de 6 ans de prison ferme assortie d'une amende de 100 000 DA a été infligée à l'ancienne ministre de la Culture, Khalida Toumi, après avoir été reconnue coupable "d'abus de fonction, d'octroi d'indus avantages et de dilapidation de deniers publics".
Le cyberespace est devenu un lieu d’affrontement entre Etats. Les cybercriminels sont de plus en plus compétents et les attaques sont de plus en plus sophistiquées.
La numérisation doit permettre aux citoyens d’exploiter les opportunités offertes par les technologies numériques : travail à distance, soins médicaux à distance, enseignement à distance, actes administratifs dématérialisés,...
Une cyberattaque désigne tout acte malveillant portant atteinte à un système IT pour des raisons d’ordre politico-économique. EIle cible les Systèmes d’information (SI) ou les entreprises dépendant de la technologie et de réseaux afin de voler, modifier ou détruire un système sensible.
L’utilisation d’internet pendant le mois de Ramadhan enregistre une augmentation sensible par rapport aux autres mois de l’année, notamment des réseaux sociaux qui sont pris d’assaut par les jeûneurs.
En visant un outil phare de Google, leader de la mesure d’audience sur internet, l’Europe tente de tarir le torrent de données qui se déverse constamment vers les Etats-Unis, mais les professionnels de la vie privée hésitent entre débrancher cet instrument ou miser sur une solution politique.
C’est fini ! Le quotidien Liberté cessera de paraître mercredi prochain. La décision, déjà annoncée il y a quelques jours, a été confirmée hier par son propriétaire, Issad Rebrab, mettant ainsi fin à la vie d’un journal qui devait fêter, dans deux mois, son trentième anniversaire.
La présidente de l’UCP, Zoubida Assoul, convoquée par la Sûreté de wilaya d’Alger (SWA), a refusé de répondre aux questions des officiers des RG. L’objet de la convocation : les activités du parti, notamment ses rencontres avec des diplomates accrédités en Algérie, précise-t-elle. L’UCP a dénoncé une «dérive autoritaire».
Le président de l’association SOS Bab El Oued, Nacer Meghnine, a quitté la maison d’arrêt d’El Harrach, mardi soir, après avoir purgé sa peine d’un an de prison ferme, il devait quitter la prison le 20 avril. Arrêté le 17 avril 2021, lors de la marche du vendredi, Meghnine avait été placé en détention provisoire trois jours plus tard (le 20 avril).
La solidarité qui entre en action pendant le Ramadhan est déjà mise à rude épreuve par la crise économique et financière qui secoue sévèrement le pays, aggravée par celle de la Covid-19.
Prévus pour être ouverts dès le début du mois de Ramadhan, les marchés appelés «Souk Errahma», devenus une tradition ancrée en Algérie, peinent encore à voir le jour dans la wilaya de Constantine.
Les modalités d’ouverture du concours pour l’accès à la formation pour l’obtention du Certificat d’aptitude à la profession d’avocat (CAPA) viennent d’être fixées par un arrêté publié au Journal officiel (n°21).
Au quatrième jour du mois de Ramadhan, les associations caritatives peinent à atteindre leurs objectifs. Les appels aux dons se font rares. Les dons également. Le phénomène est nouveau lorsque l’on sait que les opérations de solidarité pullulaient sur les réseaux sociaux. Que s’est-il réellement passé cette année ? Les Algériens sont-ils moins généreux ?
Nous pensons fortement que la plus grande violence que les hommes s’infligent entre eux c’est la misère. Les conséquences du confinement sanitaire dû à la pandémie de Covid-19, l’arrivée du mois de Ramadhan vont encore mettre les familles dans une situation insoutenable.