Lors de sa dernière réunion de vendredi dernier, convoquée par l’Algérie, après l’assassinat de six travailleurs de l’Unrwa, le représentant de l’Ocha (bureau onusien des affaires humanitaires), a fait état d’une situation humanitaire extrêmement difficile, notamment à Toulkarem et à Toubas, ciblées par une offensive de l’armée sioniste, tuant «une douzainede Palestiniens, selon les informations reçues».
A deux semaines de l’expiration du délai accordé par la Cour internationale de justice (CIJ) à Israël pour remettre un rapport sur les mesures prises pour empêcher «les risques de crimes de génocide, de discours de haine et d’appel au génocide» et permettre l’accès de l’aide humanitaire à la population civile, l’armée d’occupation a non seulement pas arrêté sa machine de guerre génocidaire contre les habitants de Ghaza, mais intensifié les actes les plus barbares.
Lors d’une conférence presse commune, Me Barihim Tairi, président de l’Union des barreaux d’Algérie (Unba) et Laidi Aoudeche, président du Syndicat national des magistrats (Snm) ont parlé d’«un grand défi» et d’«une longue bataille judiciaire» qui les attend.
Des témoignages de jeunes toxicomanes, qui luttent pour se libérer de leur ravageuse addiction à la drogue qui les tue à petit feu, donnent le frisson. Ils ont l’âge de croquer la vie à pleines dents, mais leur vécu est devenu un infini cauchemar. Rencontrés au centre de désintoxication de Bouchaoui, ils viennent de toutes les régions du pays, mais partagent les mêmes souffrances et la même douleur.
Le procès en appel du colonel Chouaib Oultache, auteur présumé de l’assassinat d’Ali Tounsi, ancien patron de la police, a été renvoyé hier à la prochaine session criminelle. Prise par la chambre criminelle près la cour d’Alger, cette décision a provoqué la colère de l’accusé qui s’en est pris à sa défense.
A l’issue de l’assemblée générale de son conseil national, le Syndicat national des magistrats (SNM) s’est doté, jeudi dernier, d’un nouveau bureau exécutif composé de 12 membres mais aussi d’un président, Laidi Oudache, membre du CSM (Conseil supérieur de la magistrature), ancien président du tribunal administratif à El Taref, qui était dans l’équipe de son prédécesseur, Issad Mabrouk, dont il était intérimaire, depuis sa démission le 19 septembre dernier.
Une peine de 8 ans de prison ferme a été infligée à Said Bouteflika, par le pôle financier d'Alger et une autre de 4 ans de prison à Ali Haadad, avec le paiement solidaire d'une amende de 3 millions de dinars, au trésor public.
Said Bouteflika est relaxé dans l'affaire des SMS, liée notamment à l'annulation des mandats d'arrêt lancés contre l'épouse et les deux enfants de Chakib Khellil, ancien ministre de l'Energie, en fuite aux USA.
Une peine de 10 ans de prison ferme assortie d’une amende de 1 million de dinars a été requise aujourd’hui contre l’ancien ministre de la Justice, Tayeb Louh, son inspecteur général, Tayeb Benhachem et l’homme d’affaire, Tarek Noah Kouninef.
Une peine de 6 ans de prison ferme assortie d'une amende de 100 000 DA a été infligée à l'ancienne ministre de la Culture, Khalida Toumi, après avoir été reconnue coupable "d'abus de fonction, d'octroi d'indus avantages et de dilapidation de deniers publics".
Une peine de 10 ans de prison ferme et une amende d'un million de dinars a été requise tard dans la soiree de dimanche contre l'ancienne ministre de la Culture, Khalida Toumi, et une autre de 8 ans de prison ferme et un million de dinars contre l'ordonnateur Abdelhamid Benblidia.
Une peine de 3 ans de prison ferme assortie d'une amende d'un million de dinars a été infligée à l'ancien ministre de la Justice, Tayeb Louh par le pole financier prés le tribunal de Sidi M’hamed à Alger.
Une peine de 20 ans de prison ferme, assortie d'une amende de 2 millions de dinars et confiscation de tous ses biens et ceux des membres de sa famille, en Algérie et ceux ayant été évoqués dans les commissions rogstoires et situés à l'etranger, a été requise contre l'ancien ministre de l'énergie, Chakib Khellil, dans le cadre du procès GNL3 qui se tient devant le pole financier d'Alger, avec confirmation du mandat d'arrêt international.
Ali ghediri est condamné à 4 ans de prison ferme à l'issue de son procès en appel qui s'est tenu aujourd'hui jeudi 27 janvier devant la cour d'Alger. Son co-accusé Hocine Gasmi a quant à lui écopé d une peine de 10 ans de réclusion criminelle.