Le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, a reçu, lundi à Alger, une délégation de la société norvégienne Marine Water Production (MWP) qui a exposé un projet de réalisation de stations flottantes de dessalement de l’eau de mer.
Les prix du pétrole ont entamé la semaine de cotation en baisse, l’incertitude sur l’évolution de l’économie chinoise l’emportant sur les réductions de production mises en œuvre par l’OPEP+.
Les contrats à terme TTF- référence européenne- ont grimpé jusqu'à 49 en raison de nouveaux problèmes d'approvisionnement.
Le président-directeur général de Sonatrach, Toufik Hakkar, a souligné que la signature de ce contrat traduit «la volonté des parties de poursuivre leur partenariat sur le périmètre contractuel de Menzel Lejmat et de renforcer leur coopération dans le domaine de l'exploration et de la production des hydrocarbures».
Le rapport mensuel de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) indique que la production de pétrole de l’Opep avait chuté en mai, reflétant l’impact des réductions de production antérieures promises par l’Opep+.
Les contrats à terme sur le Brent ont grimpé hier à plus de 73 dollars le baril en début de cotation, alors que le brut américain West Texas Intermediate (WTI) était à plus de 68 dollars le baril. Les deux indices de référence ont chuté d’environ 3 dollars le baril lundi après que les analystes ont souligné la hausse de l’offre mondiale et les inquiétudes concernant la croissance de la demande.
Lors de l’entrevue accordée jeudi au patron de Terramin Australia, le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, a insisté sur «l’impératif de valoriser les produits miniers locaux pour obtenir une valeur ajoutée supérieure à travers l’installation des unités de transformation et le recrutement de la main-d’œuvre locale ainsi que le transfert des connaissances et de la technologie».
L’OPEP+ pompe environ 40% du brut mondial et a réduit son objectif de production d’un total de 3,66 millions de bpj, soit 3,6% de la demande mondiale.
La réunion de l’Opep et de ses alliés s’est avérée très ardue hier, au vu des tractations difficiles qui se sont poursuivies pendant plus de sept heures.
La rencontre à laquelle prendra part le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, se déroulera dans un climat tendu, le marché étant fortement perturbé par des signaux contradictoires et des perspectives incertaines, sur fond de tiraillements entre pays consommateurs et pays producteurs.
Les promesses d’investissement ont été suffisamment nombreuses pour que l’Afrique soit en bonne voie de voir sa capacité totale d’exportation de gaz passer du niveau actuel de 80 millions de tonnes par an (Mtpa) à environ 110 Mtpa d’ici à 2030.
Selon le site internet officiel dédié au projet, le SoutH2Corridor offre plusieurs avantages, dont notamment «une capacité de transport importante pour l’hydrogène, un moyen de transport efficace, compétitif et durable, favorisant la sécurité d’approvisionnement en hydrogène grâce à des raccordements aux stockages tout au long du parcours».
Les prix du pétrole sont repartis à la hausse hier, prolongeant les gains de la session précédente. La remontée des cours, très instables depuis quelques semaines, a été constatée dans le sillage de la conclusion par le gouvernement américain d’un accord provisoire sur le plafond de la dette.
Le président iranien Ibrahim Raisi a appelé à l'unité des membres de l'Opep face aux pressions occidentales, tout en espérant que les producteurs de pétrole membres de l’Opep pourraient «calmer le marché».
Le Cercle d’action et de réflexion autour de l’entreprise (Care) estime que «plus l’information économique et financière sera disponible, plus les entreprises et autres acteurs nationaux ou étrangers seront incités à transiger entre eux au sein de notre économie».
L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et ses alliés, dont la Russie, connue sous le nom d'Opep+, continueront d'être un régulateur responsable du marché, a indiqué le ministre saoudien de l'Energie.
Premier exportateur de gaz d'Afrique du Nord, l'Algérie produit environ 100 milliards m3/an, dont un peu moins de la moitié est exportée et le reste est consommé sur place.
Le sous-investissement dans le secteur pétrolier et gazier pourrait entraîner une volatilité du marché à long terme et mettre en péril la croissance mondiale, a notamment déclaré Haitham Al Ghais, secrétaire général de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep).
La déclaration des dirigeants du G7 rendue publique samedi, à l’issue de leur sommet à Hiroshima, au Japon, a ainsi inclus l’importance des investissements dans le gaz, soulignant «le rôle important que l’augmentation des livraisons de gaz naturel liquéfié (GNL) peut jouer».
Petrofac est active en Algérie depuis 1997. La société a depuis développé certains des actifs pétroliers et gaziers les plus importants du pays, avec un palmarès impressionnant dans l’exécution de projets avec succès, conforté par un engagement à soutenir le programme de nationalisation et à développer la main-d’œuvre locale.