La confrontation ayant opposé le MCA à l’ESS entrant dans le cadre de la quatrième journée du championnat de Ligue 1 professionnel (la troisième pour l’Entente) a connu une lourde chute des Sétifiens, ce qui a été différemment commentée par les supporters sétifiens.
Devant l’attente et les regards des milliers de supporters du Mouloudia d’El Eulma braqués sur l’APC d’El Eulma pour venir en aide à leur cher Babia et prêter main forte aux dirigeants élus, voilà que Abdelahamid Hamoudi, le président de l’Assemblée populaire communale de la ville, répond favorablement à cette attente.
Demain, le public sportif aura droit à une confrontation riche en couleur devant opposer le MCA à l’ESS sur la pelouse du stade de Dar El Beïda, à Alger. Car, de tout temps et en dépit des périodes difficiles qu’ont pu subir ces deux grands clubs prestigieux et populaires, aussi bien le Mouloudia que l’Entente, leurs prestations et ébauches sans calcul sur le terrain ont été fournies évidemment pour la gagne mais plus pour plaire.
e match retour entre l’USM Alger et la FUS Rabat entrant dans le cadre du 2e tour préliminaire avant la phase des poules de la Coupe de la Confédération et pour compléter la retrouvaille maghrébine, la CAF a préféré mettre sur ce chaud derby décisif une équipe d’arbitres tunisiens, conduits par l’expérimenté Sadok Selmi. Cela s’est passé sur la pelouse du stade Miloud Hadefi à Oran.
Qu’en est-il réellement de la situation administrative de Ghiles Guenaoui ? Rappel des faits. Le joueur était sous contrat d’engagement avec l’ESS pour trois saisons sportives (2022/2023, 2023/2024, 2024/2025), il a joué sous les couleurs de l’ESS durant neuf mois, jusqu’au mois de mai dernier, exactement jusqu’au 8 mai, où il fut poursuivi pour enquête par la Justice algérienne pour une affaire civile. Et depuis, il n’a plus été vu à Sétif.
Après un travail minutieux de plus de six mois accompli par une société algérienne spécialisée en la matière avec ses jeunes techniciens, l’accès au stade du 8-Mai-45 de Sétif s’effectue avec billet électronique, depuis d’hier, à l’occasion de la rencontre ayant opposé le MCEE à l’ASAM pour le compte de la 1re journée du championnat amateur groupe Centre-Est.
L’ancien arrière droit de l’AS Khroub, du CSC et de l’EN (64/69), Messaoud Belloucif, est décidé jeudi à Annaba, où il habitait depuis quelques années, à l’âge de 80 ans, des suites d’une longue maladie.
L’arrivée de la nouvelle équipe fédérale et les déclarations de son président, à chacune de ses interventions, nous renseignent de sa parfaite connaissance du milieu footballistique et celui relatif à la sphère arbitrale, lesquelles se sont avérées décisives et fort révélatrices.
Beaucoup de parcours de sportifs devenus plus tard des hommes d’Etat ont eu une histoire d’enfance habile ayant influencé leur issue dans la vie civile.
La situation qui a prévalu la saison dernière, à l’orée du début du championnat Amateur 2022/2023 pour le club du Mouloudia d’El Eulma, est pratiquement la même que pour la présente saison 2023/2024. Il s’agit du problème de l’octroi des licences des joueurs recrutés à l’intersaison.
Les appréhensions de la famille des Ententistes avant cette difficile deuxième confrontation de la saison disputée à Sétif face à l’accrocheuse formation du Mouloudia d’El Bayedh se sont grandement dissipées au coup de sifflet de la fin du match.
C’est aujourd’hui à partir de 10h, au siège du club à la cité Tlydjène, que l’ex-DG du club, Karim (El Hadj Brahim) Larbaoui, procèdera à la traditionnelle formalité de passation de service, en sa première partie avec Nabil Gouasmia, l’actuel DG de la filiale ESS sous le groupe Sonelgaz.
La deuxième journée du championnat de Ligue 1 professionnel propose aux amateurs et férus du ballon rond un match qui s’annonce (déjà) capital pour le club local devant opposer cette soirée l’Entente de Sétif à la coriace formation du Mouloudia d’El Bayadh, sur la pelouse du 8-Mai 45 de Sétif, à partir de 19h dans une joute à huis clos.
A l’instar des autres segments vitaux liés intimement à la pratique footballistique, la famille arbitrale active et passive attend beaucoup du changement (très) attendu à la tête de la Fédération algérienne de football qui donnera ses conclusions, cet après-midi, à la suite de l’AG élective.
Il y avait du beau monde et de l’animation inhabituelle en cet après-midi de samedi dernier à la piscine du centre de loisirs de la DJS de Birtouta, wilaya de Blida.
La grande finale de Supercoupe d’Afrique, édition 2023, ayant opposé la National Ahly du Caire à l’USM Alger sur la belle pelouse du complexe Roi Fahd, à Taif, en Arabie Saoudite, a tenu toutes ses promesses tant côté jeu, suspense, fortes émotions que particulièrement du côté arbitrage. Il est vrai que la joute avait plus une dimension de gala et de prestige entre deux clubs historiques, mais revêtait discrètement une importance capitale et de parrain chez les deux grandes entités footballistiques qui étaient en face sur le terrain.
Pour beaucoup de fans de l’Entente, et à quelques heures du début du championnat national, alors que l’équipe était sur la route de Khenchela, la manœuvre de pouvoir qualifier les nouveaux joueurs recrutés à l’intersaison paraissait impossible à accomplir surtout que c’était la puissante instance de la FIFA qui interdisait l’octroi des fameuses licences.
La Confédération africaine de football, sur proposition de la commission des arbitres, a désigné pour ce grand rendez-vous du football africain, l’arbitre gabonais Pierre Ghizlan Atcho (31 ans).
Même si c’était dans l’air bien avant cette fatidique journée de mardi dernier, la relation de travail du coach Abdelkader Amrani et de son staff technique (Lotfi Amrouche, Lyes Benhaha et Belaid Medjahed) qui le liait à l’ESS est arrivée à son terme, à trois jours de la première journée du championnat de Ligue 1 de football professionnel.
Pourquoi cet acharnement du banc des remplaçants des Verts et particulièrement du coach Djamel Belmadi contre l’arbitrage du Béninois Louis Djindo ? D’ailleurs, c’est cette pression négative exercée sur les décisions arbitrales qui a failli provoquer une fin de partie houleuse provoquée, après l’écart de conduite condamnable de Mohamed El Amine Amoura, après son entrée comme remplaçant. A chacune des sanctions arbitrales, il était fautif.