Par la force des choses, les besoins ainsi que l’urgence de l’heure et vu l’état de déliquescence atteint par notre pratique footballistique où les odeurs nauséabondes de putréfaction fusent de chaque coin de la pyramide, obligeant les «décideurs» à actionner le levier de rappeler aux premières lignes de départ un ancien rompu à l’exercice de diriger la maison, qui menace ruine, pour y avoir passé plus de deux mandats dedans.
La raison pour laquelle, on évoque avec persistance son retour aux commandes du football national pour tenter personnellement ou aidé par son équipe avec comme principal objectif de sauver ce qui reste à sauver de notre football sinistré dans toute sa composante et ses démembrements.
Certaines personnes avides de repositionnement à l’orée de chaque élection de la FAF, même ceux poussés pour un débrayage forcé, n’ont pas hésité à reprendre leur tenue de combat avec leur arsenal de guerre prêts encore et toujours à faire vivre à notre football d’autres misères.
Car, Dès l’annonce de son retour parmi les candidats potentiels à la haute magistrature du football national, un ballet s’est installé aussitôt autour de lui et également auprès de ses liens et proches pour tenter d’être parmi ses soldats et hommes de confiance pour la nouvelle mission.
Mais malchance pour eux, tous ceux présents parmi les membres de l’AG aux AGO et AGE sous sa coupe et qui avaient levé les deux mains et même parmi eux ceux qui s’étaient mis debout juste pour qu’il les voit voter avec un grand «OUI» le projet de construire un hôtel grand standing propriété de la fédération.
Seulement voilà, quelques jours après son départ précipité (2017), voire imprévu de la forte bâtisse sise à Dely Ibrahim, ceux-là même, se sont mis en ligne pour avec la proposition d’annuler le projet de l’hôtel pour opter corps et âme pour celui des académies de football de la fédération.
Un revirement de 180°, voire de 360° sans même avoir honte aujourd’hui pour affronter le retour annoncé de celui trahi par les mêmes personnes qui sont encore dans le circuit. Pour rester dans la vitrine du football national, ils sont prêts à tout, même à monnayer ce qui reste de ce minime semblant de dignité.
Même certains ex-arbitres priés de rentrer chez eux en 2008 sans avoir eu le réflexe de solliciter le parquet de manière à enfoncer ou à innocenter les congédiés, sont revenus petit à petit par les ligues de wilaya, de régions et il y a même parmi eux ceux à qui on a confié la gestion de certains départements de la CFA.
Rien que ça ! Les faits sont têtus. C’est juste pour dire que le paysage laissé en 2017 est encore là avec certaines arrivées à partir des ligues ayant hérité des «valeurs et vertus» de leurs prédécesseurs et même ceux parmi les ex- arbitres «remerciés» pour sont revenus occupant avec pouvoir de décision en rapport au destin de jeunes arbitres habitués également à être prêts «à tout» pour être tout le temps au-devant de la scène arbitrale nationale et de figurer sur la liste FIFA à expédier avant le 25 septembre prochain.
En conclusion, et connaissant la faculté de revirement du côté du plus fort du moment à la FAF en sachant surtout bien nager parmi la composante et certains arrivés parmi les membres de l’AG ne doit plus représenter aux candidats à la haute magistrature de la FAF de danger.