Aujourd’hui, des secteurs stratégiques, comme l’énergie et la pétrochimie, commencent à lâcher du lest, nombre de boîtes privées qui se livraient bataille, cherchant chacune à être la plus prompte à y déployer son influence, sont appelées à «rendre les armes».
De par ses multiples avantages, notamment en termes de taux d’intérêt et autres facilités, comparativement à la finance classique ou conventionnelle, la finance islamique connaît ces derniers temps un engouement sans cesse croissant un peu partout dans le monde, un encours de plus de 6000 milliards de dollars, confirmant le caractère attrayant du concept.
L’Algérie, de par sa position géostratégique au carrefour de l’Europe et de la Méditerranée et considérant les flux migratoires à destination de l’Europe y transitant, avait signé des accords bilatéraux de réadmission avec certains pays européens.
epuis près une semaine, le monde entier a les yeux rivés sur le Panama, ce petit Etat de l’Amérique centrale, où se tient depuis lundi 8 avril, dans un tribunal pénal, le procès des Panama Papers. Accusées d’avoir orchestré l’un des plus grands scandales financiers de l’histoire, plus d’une vingtaine de personnes, à leur tête Jürgen Mossack et Ramon Fonseca Mora, les deux fondateurs du cabinet Mossack Fonseca, épicentre du séisme fiscal qui a frappé toute la planète en avril 2016, devraient répondre des charges d’«atteinte à l’ordre économique» et de «blanchiment d’argent».
Bien qu’abritant plus de 1,4 milliard d’habitants, soit environ 18% de la population mondiale, l’Afrique dispose d’à peine 34,6% de médecins, infirmières et sages-femmes nécessaires. On prévoit que d’ici 2030, le continent aura besoin de 6,1 millions de médecins, d’infirmières et de sages-femmes supplémentaires.
Au plan international, l’engagement de l’Algérie en faveur de la préservation des ressources récifales en Méditerranée est perceptible.
Jusqu’en 2030, des financements annuels d’au moins 200 milliards de dollars devraient être mobilisés par l’Afrique afin qu’elle puisse être en mesure d’atteindre les objectifs énergétiques et climatiques du «Scénario pour l’Afrique durable».
Remis en exploitation il y a quelques jours, cet imposant établissement entame une ère nouvelle où l’excellence et l’innovation sont les maîtres-mots.
Strident coup de gueule de la Chambre africaine de l’énergie (AEC) : à peine quelques jours après la clôture de la 30e édition de l’Investing in African Mining Indaba qui s’est tenue du 5 au 8 février au Cap (Afrique du Sud), cette instance représentant la voix du secteur de l’énergie du Continent africain s’est fendue d’un sévère communiqué où elle «rejette avec véhémence la notion et l’état d’esprit selon lesquels les Africains ne sont en quelque sorte pas qualifiés pour diriger et accueillir des événements importants tels que Investing in African Mining Indaba sur leur propre territoire».
Il s’agit de «concrétiser le potentiel minier en véritable levier de développement pérenne, tout en préservant les intérêts des Etats face aux investisseurs étrangers. A cet effet, l’Afrique doit naviguer avec un mélange de prudence et d’audace entre aspiration légitime à un meilleur partage des revenus miniers et nécessité de maintenir un climat favorable aux investissements étrangers».
L’ICOM réitère son appel à «la cessation immédiate de toute action mettant les civils en danger et exposant leur patrimoine culturel à des risques de dommages, de destruction, de vol, de pillage ou de trafic illicite».
L’Algérie vient enfin de s’offrir l’un des trophées les plus convoités mondialement, à savoir Les Stevie Awards, programme de récompenses reconnaissant les professionnels des ressources humaines et les meilleurs employeurs au monde.
Avec en moyenne plus de 8 milliards de mètres cubes de gaz torchés chaque année, l’Algérie occupe le quatrième rang mondial en matière de volumes de gaz brûlé sur les sites de production pétrolière.
Comme si les carnages perpétrés contre les populations civiles de Ghaza ne lui suffisaient pas, l’armée sioniste est déterminée à laisser l’enclave exsangue de son patrimoine archéologique et historique. Depuis le début de cette guerre barbare, plusieurs monuments et sites culturels ont été ciblés par les bombardements aveugles, suscitant l’inquiétude de nombre d’organisations internationales des droits de l’homme mais aussi et surtout celles œuvrant pour la protection du patrimoine mondial.
D’après nombre de plateformes spécialisées dans l’aéronautique, comme le FlightAware, citées par la presse internationale, pas moins de 1000 vols ont déjà été annulés après que plusieurs compagnies aient décidé de clouer au sol des dizaines de Max 9 en exploitation.
Seulement 2% des recherches mondiales sur les nouvelles infections sont conduites en Afrique alors que le continent a, à son sinistre actif, plus du quart de la morbidité globale mondiale. Moins de 10 universités proposent des cours de vaccinologie et seules deux universités mènent des études précliniques liées aux vaccins.
«La situation à Ghaza est soumise à la loi vae victis (malheur aux vaincus). Fort malheureusement, la loi du plus fort continue de prévaloir. La justice pénale internationale n’est qu’un mécanisme partiel dans un système de droit international, fondamentalement inégalitaire, globalement et dans le détail. Elle n’est que la consécration de la force militaire et de la force tout court», soutient Me Nasr-Eddine Lezzar.
Presque la moitié (46%) des Africains déclare que «la plupart» ou «tous» les fonctionnaires de police sont corrompus, la pire appréciation des 11 institutions et leaders sur lesquels portait l’enquête.
Avec moins de 1% des plus de 2200 milliards de dollars émis en 2022, les gouvernements, entreprises, les banques ou les collectivités, toujours aussi sceptiques lorsqu’il s’agit de financements de projets climatiques et environnementaux, hésitent encore à s’engager activement sur le marché des obligations vertes.
Début octobre dernier, notre rédaction, s’appuyant sur les affirmations d’experts agricoles, indiquait que le marché irlandais pouvait être une option pour diversifier les sources d’approvisionnement en viandes bovines mais aussi et surtout parer à la difficulté de satisfaire les besoins nationaux, et parvenir à en baisser les prix, sans cesse croissants, et ce, suite, notamment, au déficit provoqué par l’interdiction, depuis le 25 septembre des importations de bovins en provenance du traditionnel principal fournisseur sur le marché international, la France, confrontée, à l’instar d’autres pays européens, à la maladie hémorragique épizootique (MHE), une pathologie virale, considérée par l’Organisation mondiale de la santé animale (OMSA) comme «potentiellement mortelle pour le bétail».